samedi 30 août 2008

Android Market : enfin une boutique en ligne

Google avait annoncé au mois de juin dernier l’arrivée prochaine d’un service de téléchargement dédié à Android, son système d’exploitation mobile (voir Google veut une boutique de logiciels pour Android).

Voilà aujourd’hui que cela se confirme, alors que l’Android Market, puisque c’est son nom, se dévoile...

Android va avoir sa boutique en ligne
Les utilisateurs devraient donc y retrouver des applications classées par catégories, et vont ainsi pouvoir noter les programmes et les commenter directement sur le service. Dans un premier temps, les applications de ce service devraient être gratuites, du moins tant que celui-ci est en version bêta. C’est ensuite que les premiers programmes payants devraient faire leur apparition.

Bien entendu, ces applications devraient être compatibles avec tous les téléphones qui utilisent Android. Cependant, Google n’a pas annoncé de contrôle particulier sur son service (contrairement à Apple, qui applique un contrôle draconien aux applications), alors que des éditeurs pourront librement y diffuser des programmes. La plateforme se veut cependant très ouverte.

Texte : Tom's Guide France

vendredi 29 août 2008

Des sous-titres pour YouTube

On pourrait croire qu'il s'agit d'une énième news sur les sous-titres dans YouTube, mais cette fois-ci, c'est une option pour les utilisateurs qui permettra d'ajouter un fichier de sous-titre à l'une de leurs vidéos (anciennes ou nouvelles) aux formats SUB (Subviewer) et SRT (Subrip). Bien plus simple que l'édition de la vidéo.

La manipulation est très simple : dans la rubrique « Mon Compte » l'utilisateur doit se rendre dans la partie « Mes Vidéos » puis sélectionner une vidéo, cliquer sur Modifier et se rendre dans l'onglet Sous-titres.

» Rubrique d'aide

Source : Clubic

samedi 23 août 2008

Google bientôt sur les mobiles de Verizon ?

Selon le Wall Street Journal, Google et Verizon seraient sur le point de conclure un partenariat financier par lequel le géant de la recherche viendrait s'installer sur les téléphones de l'opérateur américain. Selon les termes de cet accord, Verizon obtiendrait une partie des revenus générés par la publicité de Google.

Avec 67,8 millions de clients, Verizon se positionne en seconde place sur le marché de la téléphonie mobile aux Etats-Unis. Pour reconstruire son portail mobile, l'opérateur aurait initialement envisagé de se tourner vers Microsoft. Cependant, il semblerait que Verizon entende tirer partie du succès phénoménal de Google dans le domaine de la recherche sur Internet. En effet, selon une analyse du cabinet d'études Comscore M:Metrics, sur les 16,7 millions d'utilisateurs affirmant effectuer des recherches sur Internet à partir de leur téléphone, 63% d'entre eux utilisent le moteur de Google contre 34% pour Yahoo! Search. Les moteurs de recherche conçus spécifiquement par les opérateurs ne représentent que 25%. Pour cette raison, Medio System INC, en charge du moteur actuel de Verizon, se verrait recentrer sur les recherches multimédias (fonds d'écran, sonneries...)

Google est l'un des pionniers dans le domaine de la publicité mobile. D'ailleurs, Google a aussi largement profité de l'intégration de son moteur sur l'iPhone, le téléphone d'Apple plébiscité à travers le monde. Le magazine eMarketer estime que l'année dernière, 224 millions de dollars ont été investis dans ce domaine. Mais pour le géant de la Toile, il s'agit avant tout de maintenir sa position. En effet, si des accords ont déjà été signés avec l'opérateur Sprint, AT&T, en pôle position du marché mobile US, projette d'utiliser le moteur de Yahoo!

Par le passé, plusieurs tensions entre Google et Verizon avaient empêché l'aboutissement de discussions similaires. Google avait estimé que la part des revenus publicitaires exigée par l'opérateur était disproportionnée. Aussi, Google avait soutenu les autorités dans leur requête auprès des opérateurs pour qu'ils puissent ouvrir d'avantage leur réseau à plus de services et plus de téléphones. Enfin Verizon n'a jamais montré d'intérêt sur l'adoption d'Android, un système d'exploitation mobile soutenu par Google.

Aucun chiffre n'a été mentionné sur les revenus éventuels d'un tel partenariat. Cependant, cet accord pourrait s'étendre au portail Internet de Verizon ainsi que sur son service de télévision numérique, FiOS TV. Plusieurs compagnies ont déjà formé des partenariats avec Google. En 2005, sur les 52,9 millions de dollars générés par la Fondation Mozilla, 50,51 millions étaient issus des liens sponsorisés Google.

Texte : NetEco

Gmail : Google corrige une faille

Google travaille actuellement à la correction d’une faille qui affecte les comptes Gmail de ses utilisateurs, et qui a été découverte par des experts en sécurité qui l’ont rendue publique.

Cette faille, dévoilée la semaine dernière lors de la conférence sur la sécurité DefCon par le chercheur Mike Perry, permet de tromper le service d’authentification du site et de s’approprier le compte de sa victime.

Un problème de cookie
Gmail n’est décidément pas dans un mois qui lui est propice. Cette fois, il s’agit du système d’identification du service qui est victime d’une faille critique de sécurité, alors que le site sort à peine de quelques soucis importants d’accessibilité sur ses serveurs (voir Gmail : panne du service). Cette faille vient du fait que l’authentification n’est chiffrée qu’à la première connexion de l’utilisateur. Ensuite, un cookie stocké dans le navigateur Web remplace cette identification pendant deux semaines, ou jusqu’à ce que l’utilisateur se déconnecte. Ainsi, ces connexions en utilisant le fameux cookie ne sont pas chiffrées, et Mike Perry a trouvé le moyen de trouver les identifiants d’un internaute à partir de la transmission de ce cookie, du navigateur vers le site.

En réaction, Google travaille sur des solutions fiables pour empêcher une fuite des mots de passe de ses utilisateurs. Ainsi, le site propose désormais une option à confirmer soi-même dans les options, qui consiste à forcer une connexion chiffrée en permanence, rendant impossible le vol d’informations. Un correctif plus efficace devrait être créé par Google, pour qui l’utilisation de connexions chiffrées en permanence représente une charge importante. Selon Mike Perry, Google n’est pas seul à utiliser cette méthode, et des sites comme Amazon ou Facebook pourraient représenter le même danger. Enfin, il est à noter que les entreprises qui ont souscrit à un compte payant ne sont pas affectées par une telle faille.

Texte : Tom's Guide France

jeudi 21 août 2008

Goopilation : les blogs Google traduits en français

« Les équipes de chez Google adorent écrire sur leurs divers produits, et ont créé un blog pour chacun d'eux. Cela fait beaucoup de blogs à lire !

Avec Goopilation (Google Compilation) retrouvez les principaux titres de l'actualité Google, et le tout en français.
»

C'est ainsi qu'est présenté le site Goopilation, créé par Kaayru.

A noter que les billets destinés uniquement aux internautes américains ne sont pas traduits sur Goopilation (services disponibles seulement aux Etats-Unis, politique américaine, etc.).

Je trouve que c'est une excellente initiative.

» Goopilation.com
» Netvibes de Goopilation

Google Dictionnaire mis à jour

Le service Google Dictionnaire, peu connu mais au combien utile, a été légèrement revu et l'équipe a rajouté de nouvelles paires de langues (nécessaires pour la traduction d'une langue à une autre).

Ce service permet donc de trouver la définition et la traduction d'un mot dans la langue de votre choix (parmi celles disponibles, bien sûr).

Pour les francophones, la traduction et la définition des mots reste toujours limitée à Anglais > Français et Français > Anglais, mais pour les anglophones, il est possible de traduire en allemand et en russe (en plus des dizaines d'autres langues déjà possible dont espagnol, coréen, italien, chinois, hindi...).

» Google Dictionnaire.

Source : AccessOWeb

mercredi 13 août 2008

Se connecter à YouTube sous son compte Google ?

Il semblerait que YouTube ait décidé de fusionner les comptes Google et YouTube (comme FlickR et Yahoo! après le rachat). En gros, ça permettra à ceux qui disposent d'un compte Google ET d'un compte YouTube de n'avoir qu'un seul compte pour ces deux sites.

C'est en effet le message que Kaayru de NeoNet France a pu lire en se connectant à son compte YouTube (personnellement, je n'ai pas le message, même en étant sur la version internationale...) :

Image Hosted by ImageShack.us

Les avantages que cela peut offrir sont listés ici :

Image Hosted by ImageShack.us

Comme NeoNet, je m'interroge sur les « services Google que nous intégrons dans YouTube ».

Source : NeoNet

vendredi 8 août 2008

Google se met au service des JO

Que les passionnés de BMX, de badminton, de triathlon, de lancer de disque ou de lutte gréco-romaine se rassurent. Pour que vous ne manquiez rien de ces disciplines de référence des Jeux olympiques, Google a mis les petits plats dans les grands.

Avec un dispositif et des outils qui permettront aux internautes de suivre en temps réel l'évolution des épreuves sur l'écran de leur ordinateur.

Sur iGoogle, la page d'accueil personnalisée de Google, chacun pourra, grâce au gadget « Jeux d'été 2008 », ajouter des flux d'informations pour se tenir informé des dernières médailles.

Certaines applications sont très ludiques. Sur Google Earth, il est possible de visiter virtuellement et en 3D les grands sites olympiques. Sur Google Maps c'est une mise à jour des résultats pays par pays qui sera disponible.

Les JO sur YouTube dans 77 pays
Enfin, Youtube, la plate-forme de vidéo filiale de Google, a obtenu du Comité international olympique le droit de diffuser gratuitement et en exclusivité les images des compétitions dans 77 pays (dont l'Inde et la Corée du Sud) où les droits de vidéo à la demande (VOD) n'ont pas trouvé preneur.

Pour la France Canal+ et France Télévisions ont mis en place des dispositifs en ligne exceptionnels pour suivre au mieux les épreuves. Avec un bémol du côté de la télévision publique : l'obligation de télécharger Silverlight 2.0, l'équivalent Microsoft de Flash, pour pouvoir profiter pleinement des programmes proposés.



Texte : 01net.

Google estime qu'AOL ne vaut plus 20 milliards

Détenteur d'une participation de 5% dans AOL, Google estimerait-il que son investissement dans le portail américain ne vaut plus le milliard de dollars investi en 2006 ? Dans un document transmis jeudi à la Commission américaine des opérations de bourse (Securities and Exchange Commission), la direction du moteur de recherche a indiqué: « notre investissement dans AOL est déprécié ».

En contrepartie de son investissement annoncé en décembre 2005 (une opération qui valorisait AOL 20 milliards de dollars), Google a assuré le renouvellement de son partenariat publicitaire avec la filiale internet de Time Warner. En deux ans la situation d'AOL s'est dégradée et Time Warner a annoncé séparer les activités de sa filiale en deux pôles : fourniture d'accès internet, d'une part, publicité, marketing et services en ligne, d'autre part. De son côté, Google a fait l'acquisition de DoubleClick et s'est engagé dans un partenariat avec Yahoo. Enfin, conformément à l'accord signé avec Time Warner, Google a la possibilité de céder sa part dans AOL depuis le début de l'été 2008.

Dans ces conditions, pour quelle raison Google conserverait-il sa part dans AOL, si ce n'est pour éviter que Microsoft - lui-même actif dans la publicité sur le Net - ne lui coupe l'herbe sous le pied ?

Texte : NetEco

jeudi 7 août 2008

Publicis acquiert la division Performics de Google

Le français Publicis, 4ème groupe mondial de communication, poursuit son expansion numérique à travers l'acquisition de Performics search marketing. Entité de DoubleClick, régie publicitaire acquise par Google, Performics dispose de bureaux à Chicago (siège), San Francisco, New York, Sydney, Singapour, Pékin, Londres, Hambourg.

A travers cette acquisition, dont le montant n'a pas été précisé, Publicis Groupe déclare dans un communiqué du 6 août 2008 « enrichir les fortes capacités de recherche marketing du groupe et renforcer l'offre de Vivaki Nerve Center ». Née en juin, l'entité VivaKi (Digitas, Starcom, MediaVest, ZenithOptimedia, Denuo, PhoneValley, Webformance, Click2Sales, iBase) travaille à l'optimisation des investissements des annonceurs et au développment de Publicis dans le numérique.

Pour Google l'américain, d'ores et déjà partenaire de Publicis Groupe dans le domaine de la publicité par internet, il s'agit d'adapter son offre aux réalités du marché. La finalisation du rachat de DoubleClick en mars dernier a entrainé une réduction de l'effectif de la société acquise et la réorganisation de Performics. Le but ? Vendre l'activité search marketing, mais conserver l'affiliation.

Le rachat de l'entité par Publicis Groupe devrait être finalisé avant la fin du troisième trimestre 2008.

Texte : NetEco

YouTube, diffuseur officiel des JO dans 77 pays

Le site de partage propose de petits reportages dans les pays qui n'ont pas acquis les droits de diffusion des JO. Le détail avec Anthony Zameczkowski, responsable des partenariats de YouTube.

Offrir à la planète entière la « magie des Jeux olympiques ». Et accessoirement couper l'herbe sous le pied des pirates. C'est le sens du partenariat signé entre YouTube et le Comité international olympique (CIO).

Selon cet accord, YouTube peut diffuser gratuitement dans 77 pays les images des compétitions, dès le mercredi 6 août. Cela concerne les pays qui n'ont pas acquis les droits pour la vidéo à la demande (VOD), comme l'Inde, la Corée du Sud, l'Afghanistan ou encore l'Irak. Un filtrage des adresses IP garantit (en théorie) que seuls les internautes concernés auront accès à la chaîne ouverte par YouTube pour la durée des JO.

Le contenu, fourni par le CIO lui-même, comprend des clips de quelques minutes, des reportages, des best of, des images du jour... mais uniquement en différé. [...]

Texte : 01net.

Dix millions de documents indexés dans le nouvelle Google Search Appliance

En décuplant les capacités d'indexation de sa nouvelle appliance, Google vise clairement les grandes entreprises.

Google a décidé de placer la barre plus haut dans la guerre qui se joue autour de l'information en entreprise avec le lancement d’une nouvelle appliance de recherche, capable de traiter jusqu’à 10 millions de documents dans une seule boîte.

Avec sa capacité d’indexation améliorée, la nouvelle mouture de Google Search Appliance (GSA) pourrait permettre au moteur de recherche d’augmenter sa part de marché auprès des grandes entreprises. Jusqu’à présent, le système n’était capable d’indexer que trois millions de documents et avait besoin pour cela d’être déployé dans des clusters.

La nouvelle version contient également toute une série de nouveautés, notamment de meilleures fonctionnalités de personnalisation qui permettent aux administrateurs d’évaluer les résultats en fonction du groupe d’utilisateurs, afin de les rendre plus pertinents.

A noter également l’introduction d’une nouvelle fonction avancée permettant aux administrateurs de biaiser les résultats en fonction du type de métadonnées. Les utilisateurs peuvent à présent recevoir des alertes Google pour des sujets et documents qui les intéressent, exactement à la manière d’une simple recherche sur le Web.

"Nous avons toujours eu à cœur de rendre les choses simples pour les utilisateurs et les services informatiques", explique Robert Whiteside, directeur de la division entreprises chez Google UK. "Cela nous permet de supprimer la complexité pour les [entreprises]."

Selon Robert Whiteside, les nouvelles fonctionnalités avancées de rapports d'activités fournissent aux administrateurs des informations sur les comportements de recherche, ce qui peut s’avérer utile pour affiner les paramètres et améliorer la pertinence des résultats pour les utilisateurs.

Le nouveau produit bénéficie également d’une sécurité renforcée, avec la prise en charge native de Kerberos, qui fournit une authentification unique pour Windows, SharePoint et les systèmes de contenu autres que Windows.

Texte : vnunet.fr

Google lance Insight for search, chasseur de tendance

Google dévoile aujourd’hui son tout nouvel outil, extrêmement pratique, de recherche et d’étude de tendances : Insights for Search.

Plus fort que Google Trends, qui vous permet de comparer la popularité de plusieurs recherches, Google Insights for Search vous propose une manière simple et efficace d’analyser les tendances, mais aussi de les localiser dans l’espace et dans le temps.

Cet outil très malin s’adresse à tout le monde : grand public, blogueurs, annonceurs, responsables marketing, etc., tous ceux qui s’intéressent aux tendances du Web et à leur évolution.

Tout savoir sur votre requête sur une page
Effectuez vos recherches et analyser en un coup d’œil son évolution dans le temps (avec les pics de popularité et leurs légendes) à travers la planète. En effet une tendance au Brésil pourra passer inaperçue en France, et vice-versa. Pour comparer différentes requêtes, séparez-les par une virgule.

En plus, vous trouverez les recherches les plus fréquentes et celles associées, ce qui peut être particulièrement pratique lorsque l’on est responsable d’un site par exemple. Le tout tient en une seule et même page. Pour accéder à des statistiques détaillées, il suffit de se connecter via votre compte Google.

Yossi Matias, le Directeur de l’ingénierie chez Google, estime qu’il s’agit « d’un nouvel outil qui séduira tous ceux qui veulent mieux connaître les sujets d’intérêts sur Internet. »

» Découvrir Google Insights for Search.

Texte : Tom's Guide France

mercredi 6 août 2008

Google lance un site internet gratuit de musique en Chine

Sur un marché chinois gangrené par le piratage, Google a lancé un site internet permettant de télécharger gratuitement des chansons protégées par le droit d'auteur.

Les revenus publicitaires de ce service seront reversés aux fournisseurs de musique.

Le géant américain espère ainsi défier Baidu.com, numéro un du marché chinois de la recherche sur internet. Celui-ci, ainsi que d'autres fournisseurs d'accès chinois, est actuellement poursuivi en justice, accusé de faciliter le téléchargement de titres protégés.

Google a précisé mercredi que son service permettrait dans un premier temps de chercher parmi des dizaines de milliers de chansons chinoises par interprète ou titre et de les télécharger ensuite depuis Top100.cn, un site chinois de musique cofondé par le basketteur vedette Yao Ming.

Les revenus publicitaires tirés de ce service seront partagés entre Top100.cn et ses partenaires musicaux.
"L'industrie d'internet ne doit en aucune façon être dans le camp adverse de l'industrie musicale", a déclaré dans un communiqué le président de Google Chine, Kai-fu Lee. "Google reste intimement persuadé que l'intérêt commun, plus que le monopole, est la clé d'une croissance durable."

Les téléchargements illégaux de musique et de vidéo sont très fréquents en Chine, le premier marché mondial de l'internet en terme d'utilisateurs. La Fédération internationale de l'industrie phonographique estime que plus de 99% des fichiers musicaux distribués en Chine sont piratés.

Si Google domine le marché mondial de la recherche sur internet, la part de ce marché de Baidu en Chine approche les 63%, contre seulement 26% pour Google, selon les chiffres du deuxième trimestre publiés par iResearch.

Texte : 01Men

samedi 2 août 2008

Google Actualités génère 100 millions de $ par an, sans publicités...

Le service d'agrégation de dépêches de Google a beau être nu comme un ver en termes d'encarts publicitaires ou de liens sponsorisés, il rapporte tout de même 100 millions de dollars par an à la firme de Mountain View.

Google News ne vaut pas que des ennuis judiciaires au géant de l'Internet avec la presse belge, et une affaire récemment relancée susceptible de lui en coûter entre 30 et 50 millions d'euros. Non, Google News fait également gagner de l'argent à Google, ce qui du reste peut paraître surprenant pour un service Web n'affichant aucune publicité. Pourtant, Marissa Meyer n'a pas perdu la tête, et la vice-présidente Produits de recherche et services aux utilisateurs chez Google d'affirmer que ce service d'agrégation de dépêches rapporte à sa société la bagatelle de 100 millions de dollars par an.

Google News a une valeur financière
Pas de magie, et comme elle l'a expliqué à l'occasion d'une conférence organisée par le magazine américain Fortune, tout est histoire de trafic généré sur le moteur de recherche Google. Google News pousserait donc les internautes à poursuivre leur quête d'information sur le moteur principal où les requêtes sont " assujetties " à la publicité. Cette formule faisant apparemment recette, Meyer a également indiqué que la monétisation du service de gestion de dossier médical se fera par le même biais. Il sera donc gratuit pour l'utilisateur.

En termes de monétisation, il n'y a finalement qu'avec YouTube que Google semble être tombé sur un os.

Texte : GNT

vendredi 1 août 2008

Google Street View : « la vie privée absolue n'existe pas »

«La vie privée absolue n'existe pas.» La phrase sonne comme un sujet de bac de philo, mais il s'agit de la réponse des avocats de Google à une plainte d'un couple d'américains qui reprochent au géant du Web d'avoir photographié et mis en ligne leur maison.

Le service Street View, disponible sur Google Maps, propose des photographies très précises des villes du monde entier. Ces clichés ne sont pas pris par satellite mais par de curieuses voitures, armées d'un bras automatique, qui sillonent les rues.

Le couple américain réclame au moins 25 000 dollars de dommages et intérêts. Selon eux, leur maison n'aurait jamais du être photographiée car, pour y accéder, il faut passer par une voie privée. Ces photos leur ont causé des «souffrances psychologiques» et diminuent le prix de leur maison, estiment-ils encore.

Même dans le désert

Dans un argumentaire envoyé au tribunal, les avocats de Google repoussent de manière inédite les frontières de la vie privée: «Aujourd'hui, avec les techniques d'imagerie par satellite, même dans le désert, la vie privée absolue n'existe pas. De toute façon, les plaignants ne vivent pas dans le désert et sont loin d'être des ermites.»

Les avocats ajoutent que le couple d'Américains aurait tout simplement pu demander le retrait des photos, comme le permet les Conditions d'utilisations de Google Street View.

Texte : 20Minutes.fr