samedi 31 mai 2008

« split A/B testing », la botte secrète de l'interface épurée de Google

L'interface du moteur de recherche comme le nombre de requêtes par page résultent d'une méthode baptisée « split A/B testing ». Une méthode qui va parfois à l’encontre des désirs des internautes, mais qui a prouvé son efficacité.

Google a levé un coin de voile sur la stratégie qui l'a amené à proposer à ses utilisateurs une page d'accueil et une présentation de résultats totalement épurées. Le moteur de recherche utilise la méthode appelée « split A/B testing » pour identifier les modifications qu'il doit apporter à son site web, a expliqué Marissa Mayer, vice-présidente de la division recherche et expérience utilisateur de Google, lors d'une conférence organisée par la société à San Francisco.

Google a notamment cherché à savoir combien de résultats devaient être affichés par défaut sur les pages de résultats : 10, 20, 25 ou 30 ? En interrogeant directement les utilisateurs, la réponse était claire : le maximum. Mais les tests « split A/B testing » ont démontré le contraire : à 30 résultats par page, les internautes menaient 20 % de recherches en moins.

En analysant ses logs, Google a découvert la raison de cette anomalie : il faut deux fois plus de temps pour afficher 30 résultats, et la vitesse d'affichage a une importance cruciale. « Plus Google va vite, plus les gens font des recherches, et si l'affichage prend plus de temps, ils cherchent moins », a souligné Mayer.

Réduire le poids des pages fait décoller les recherches

Sur d'autres parties du site, le rapport est quasiment mécanique et visible : lorsque Google a réduit de 30 % le poids des pages Google Maps, son service de cartographie, le moteur de recherche a vu les requêtes décoller de 30 % sur ce service.

Google utilise aussi sa méthode « split A/B testing » pour définir exactement le positionnement de son logo sur les pages, ou encore la façon dont sont affichées les publicités.

Aujourd'hui, son design est rentré dans les habitudes des internautes. Mais il n'en a pas toujours été ainsi. Marissa Mayer raconte qu'au début, les utilisateurs étaient très déconcertés par la présentation simplissime des pages. Certains restaient devant une page de résultats plusieurs dizaines de secondes, parfois même une minute, sans réagir.

Après enquête, Google a découvert que les internautes, habitués aux interfaces « flashy » des concurrents, n'étaient pas sûrs que la page soit totalement chargée, et attendaient donc de voir d'autres éléments s'afficher.

Simplifier et personnaliser ses services

Pour contourner ce problème, la solution a consisté a ajouter une mention avec son copyright. « Elle n'est pas là pour des raisons légales, c'est juste une sorte de ponctuation », indique Marissa Mayer. « C'est pour signaler à l'utilisateur qu'il n'y a rien d'autre à attendre, qu'il peut commencer sa recherche immédiatement. »

Google aimerait pouvoir appliquer ce principe de simplicité à l'ensemble de ses services. Mais dans sa hâte à sortir de nouveaux produits (recherche d'images, de vidéos, de livres, de blogs...), le moteur s'est, au fil du temps, complexifié. Selon Mayer, la société doit désormais se concentrer sur deux priorités : ramener tous les résultats quelle que soit la source (texte, vidéo, image...) sur une seule et même page, et accentuer la personnalisation des services.


Texte : ZDNet France

Google Android: première démonstration publique du HTC Dream

Google a fait hier une nouvelle démonstration de son système d'exploitation mobile Android lors de la conférence développeurs Google I/O qui se tenait à San Francisco. Le smartphone utilisé est une présérie du très attendu HTC Dream.

Retrouvez les premières images sur Business Mobile

vendredi 30 mai 2008

Google relance les rumeurs sur son projet de navigateur Web

Un de ses vice-présidents s'est agacé de la lenteur des éditeurs de navigateurs Internet, relançant du même coup les rumeurs d'un supernavigateur signé Google.

Pour Google, c'est Internet ou rien. Toutes les applications, qu'elles soient relativement simples (messagerie, calendrier, cartographie...) ou plus complexes (avec la gestion de plusieurs formats multimédias par exemple), doivent aussi bien fonctionner au sein d'un navigateur Internet comme Firefox, Internet Explorer ou Safari que nativement sous Windows ou MacOS.

Pour tenter ce tour de force, les ingénieurs de Google misent sur le projet open source Gear. « Gear a commencé comme une simple extension qui ajoute le mode déconnecté à un navigateur et qui fera partie du standard HTML 5. Mais Gear a évolué pour devenir une suite généraliste de plug-in qui étend les fonctions des navigateurs pour exécuter des applications Internet riches comme par exemple la 3D, la géolocalisation, le téléchargement multiple, etc. », explique Vic Gundotra, l'un des vice-présidents de l'ingénierie au sein de Google.

Gear et WebKit

Cependant, lors de la conférence développeur Google I/O, le responsable de Google n'a pas caché son mécontentement devant la lenteur des progrès réalisés par les éditeurs de navigateurs, Firefox compris, dans l'intégration de nouvelles fonctions et a menacé de se lancer dans la course et de créer son propre navigateur Web. Une nécessité pour l'entreprise de Mountain View qui mise sa croissance future dans l'explosion des applications riches sur le Web.

« On supporte le standard HTML 5 [prévu dans environ deux ans, NDLR], mais il ne faut pas oublier que nous avons désormais un super navigateur Web avec notre version de WebKit [également à la base du navigateur Safari d'Apple, NDLR] dans Android », ajoute Vic Gundotra. Et avec WebKit et Gear, sur le poste de travail et le mobile, Google a déjà toutes les pièces du puzzle pour lancer son supernavigateur. A quand alors ?

Texte : 01net.

Nouvelle favicon pour Google

Google vient de changer son favicon - cette icône qui s'affiche dans la barre d'adresses, à gauche et qui permet de reconnaître facilement un site Internet.

L'ancienne icône, qui ressemblait à ça : http://www.fabricoffolly.co.uk/images/google_favicon.gif (G) ressemble désormais à ça : L'image “http://www.google.fr/favicon.ico” ne peut être affichée car elle contient des erreurs. (g)

Une icône plus petite, plus moderne aussi, basée sur le "g" minuscule du logo.

Comme s'interroge un lecteur de Google Blogoscoped : "Est-ce que maintenant la firme au grand G va s'appeler la firme au petit g ?".

C'est un changement très discret mais qui augure peut-être un redesign de certaines parties des pages et logos de Google ?

jeudi 29 mai 2008

Mettez du Google Earth dans votre navigateur

Lors de la conférence Google I/O, dédiée aux développeurs, Google a dévoilé un plug-in pour les navigateurs Internet Explorer (6 et 7) et Firefox (2.x, 2.0x et 3.0) permettant d’accéder à la plupart des fonctionnalités de Google Earth sans installer le logiciel.

Voici une petite vidéo de présentation du plugin Google Earth :

Plug-in Google Earth : http://code.google.com/apis/earth (uniquement pour Windows)

Source : Google-Latlong


Écologie : Google Maps sert de balai géant à deux Estoniens

L'écologie doit primer en ce bas monde et Google Maps va y aider, ont estimé deux Estoniens Ahti Heinla, l'un des créateurs de Skype et Rainer Nolvak, fondateur de Microlink et Delfi. Suite à une journée nationale de nettoyage lancée le 3 mai en Estonie, l'idée leur est venue de recourir à Google Maps pour détecter des décharges sauvages : données GPS, photos envoyées par téléphone, en tout 11000 décharges ont été détectées sur les 45 000 km² du pays.

Près de 10 000 tonnes de détritus ont alors été récoltées par 50 000 personnes, soit presque 4 % de la population totale. « Nous planifions maintenant une étape suivante : partager notre expérience avec la communauté internationale. Le logiciel que nous avons créé et notre pratique peuvent s'appliquer facilement pour faire la même chose dans n'importe quel autre pays, avec des volontaires qui veulent nettoyer la nature », précise Rainer.

Sur le site teeme2008.ee, on pourra bientôt voir une démonstration des techniques utilisées, et l'on trouvera également un guide How to clean a State. Mais l'Estonie n'est qu'un premier pas désormais puisque les deux compères souhaitent s'attaquer à l'Inde, pays particulièrement pollué, et l'Europe. Pour cette dernière, « l'idée d'étendre notre initiative d'un logiciel de nettoyage à toute l'Europe est très tentante, mais elle exige beaucoup de préparatifs » nuance toutefois Nolvak.

On s'en doute, l'initiative a fait du bruit et des groupes écologistes ont contacté les deux hommes afin d'obtenir les coordonnées d'autres décharges dans divers pays comme l'Allemagne, l'Irlande, le Canada ou l'Afrique. Les bénévoles qui travaillent actuellement sur ce projet n'ont que la joie de rendre service à la planète pour objectif.

Texte : PC INpact

mercredi 28 mai 2008

Les journaux belges repartent en guerre contre Google

Google n’en a pas fini avec les journaux belges francophones. Réunis au sein de la société Copiepresse, ces derniers lui réclament de « 32 à 49 millions d'euros » pour reproduit des articles durant deux ans sans autorisation. En février 2007, la justice belge avait estimé que Google violait les droits d'auteur en diffusant depuis 2006 sur son portail d'actualités Google News le contenu rédactionnel des journaux affiliés à Copiepresse, dont Le Soir, La Libre Belgique ou La Dernière Heure.

A la suite de ce jugement, Google avait cessé de répertorier ces contenus (articles, photos, graphiques), mais annoncé qu'il ferait appel. Dans le même temps, le puissant groupe internet s'était engagé dans un difficile dialogue avec Copiepresse pour régler leur contentieux passé et fixer les règles de leurs futures relations.

Ces discussions « se sont achevées fin janvier sans résultat », a expliqué mercredi la présidente de Copiepresse, Margaret Boribon, qui évalue à une somme comprise entre 32 et 49 millions d'euros le préjudice causé par Google aux journaux francophones belges.

« Certains chez Google ne voulaient pas aboutir »

« Mon sentiment, c'est que certains chez Google ne voulaient pas aboutir, qu'ils préféraient essayer d'obtenir un résultat plus favorable pour eux en appel. Il y avait aussi la volonté de ne pas faire une offre acceptable, car ils savent que tout accord conclu avec nous donnerait lieu à des accords similaires avec d'autres journaux en Europe et dans le monde », a ajouté Margaret Boribon.

Copiepresse a donc signifié à Google qu'il lui réclamait des dommages-intérêts pour violation des droits d'auteur et envoyé le 22 mai à la société américaine une « citation par huissier ». L'affaire pourrait être examinée en septembre par le tribunal de première instance de Bruxelles.

Texte : L'Expansion

Google augmente capacités et tarifs d'App Engine

Google veut enrichir App Engine. Lancé en février dernier, cet environnement permet d'héberger et d'exécuter des applications web depuis l'infrastructure du moteur. Réservé, pour son lancement, aux 10.000 premiers développeurs inscrits, App Engine propose à chacun un accès gratuit à 500 Mo de stockage pour un trafic max de 5 millions de pages vues.

Google ne s'arrête pas là... Le spécialiste américain des technologies de recherche et des liens sponsorisés a indiqué mardi, à la veille d'une conférence développeurs à San Francisco, vouloir élargir son offre avant la fin 2008 et permettre aux nombreux impatients d'y accéder (une liste d'attente d'environ 150.000 développeurs).

Au-delà de l'offre gratuite à 500 Mo qui restera disponible, le service sera facturé en fonction des capacités (stockage et bande passante) souhaitées, soit, chaque mois, : de 0,10 à 0,12$ par heure d'utilisation CPU, de 0,15 à 0,18$ par Go de stockage, de 0,11 à 0,13$ par Go de bande passante sortante et de 0,09 à 0,11$ par Go de bande passante entrante.

Rappelons-le, Google App Engine vient compléter les outils mis à disposition des développeurs (Google Code) - interfaces de programmation, programmes open source ou encore initiative OpenSocial - par la multinationale internet d'origine américaine. A travers ces initiatives, Google confirme ses ambitions sur un marché où s'activent des acteurs comme Microsoft, Yahoo et, dans une moindre mesure, Facebook.

Texte : NetEco

samedi 24 mai 2008

Google ouvre à tous son outil gratuit de création de sites wikis

Jusque-là accessible aux professionnels, Google Sites s'ouvre au grand public. Un outil simple, limité et uniquement en anglais.

Né du rachat de la société Jotspot, l'un des pionniers des services collaboratifs dits « wikis », Google Sites s'adressait en priorité aux associations et aux PME, inclus dans la version payante dite « Premium » de Google Apps. Le moteur de recherche américain a décidé de rendre disponible à tous gratuitement cet outil en ligne.

Pour l'utiliser il suffit de posséder un compte Gmail. L'internaute crée son site Web en mode « wysiwig » (pour « what you see is what you get »), c'est-à-dire sans connaître une ligne de code. Après lui avoir donné un nom, renseigné les descriptions (tags), qui serviront à référencer le site, et après avoir choisi la présentation de la page d'accueil, le webmaster en herbe n'a plus qu'à mettre le contenu en ligne. Un éditeur de texte lui permet de mettre en forme ses écrits, auxquels il peut ajouter des images ou des vidéos.

Uniquement en anglais pour le moment

Google Sites est compatible avec les autres services en ligne du moteur de recherche, comme le partage de photos Picasa, l'éditeur Document, ou encore le tableur Spreadsheet. Tout ce contenu, hébergé sur les serveurs de Google, ne doit pas excéder un poids total de 100 Mo.

Une fois le site créé, son concepteur peut choisir de le rendre accessible à tous, ou uniquement à ses connaissances. Ces dernières pourront, s'il les y autorise, ajouter à leur tour des photos, des vidéos, des billets d'humeur, etc.

Plutôt sommaire, Google Sites n'offre pas les richesses d'un outil d'édition comme Google Page Creator. Les feuilles de styles et les javascripts, par exemple, ne sont pas pris en charge. Autre bémol : pour le moment, Google Sites n'est disponible qu'en anglais.

Présentation de Google Sites en vidéo :



Texte : 01net.

jeudi 22 mai 2008

Une couche supplémentaire sur Google Earth : Google News

Google ajoute une nouvelle couche d'information dans son application Google Earth, les actualités de Google News.

Les infos des 4500 sources d'information de Google News se retrouvent désormais situées directement sur le lieu géographique de leur sujet. Une idée plutôt bonne, qui permet de réviser sa géographie tout en s'informant sur l'actualité quotidienne.

Chaque article d'actualité sera indiqué sur la carte mondiale par une icône Google News. Un encadré s'ouvre dès que l'on cliquera sur l'icône, et un lien vers Google News permettra d'obtenir plus d'infos sur le sujet.

Il faudra choisir l'affichage de cette couche d'information sur le menu gauche de Google Earth. Nous n'avons pas vu une telle option dans la version française du programme. Pour l'instant, il est possible d'afficher d'autres informations dans la même logique, concernant le réchauffement planétaire, la protection des animaux, ou même la terre vue du ciel, les photos de Yann Arthus-Bertrand. Dans une prochaine version certainement ?

Texte : PC INpact

mercredi 21 mai 2008

Les changements climatiques sur Google Earth

Si vous aimez Google Earth et que vous êtes sensibilisé aux changements climatiques, alors nous vous invitons à découvrir un nouveau plugin à installer sur votre logiciel favori.

Dorénavant, vous pouvez suivre via Google Earth les effets du changement climatique en partenariat avec le gouvernement anglais, le Met Office (service national britannique de météorologie.) et le BAS (British Antarctic Survey). Il s’agit-là d’une initiative lancée par directement par Gordon Brown.

Atmosphère, atmosphère...

La fonte des glaces sur Google EarthLe projet s’appelle “Climate Change in Our World” et il présente deux vues de la terre aux utilisateurs de Google Earth. Pour en profitez, vous devez dans chaque cas télécharger et installer un petit fichier KML.

Tout d’abord, vous pourrez alors voir une animation montrant la prévision des changements de températures dans le monde sur les 100 prochaines années en tenant compte des émissions de gaz à effet de serre actuellement observées. Pour cela, faites défiler la ligne de temps en haut à droite de l’image.

Une autre vue, développée par le BAS permet de visualiser au fil des ans la fonte des glaces en Antarctique, depuis les années 50.

Enfin, en cliquant sur les images que vous trouverez au fil de votre survol du globe, vous pourrez également avoir accès à des informations sur les actions menées pour lutter contre le changement climatique.

Texte : IDN

Docteur Google se dévoile

Google Health, le service de santé en ligne de Google, continue de faire parler de lui après s’être quelque peu dévoilé au début de l’année.

Celui-ci est aujourd’hui accessible aux utilisateurs de Google, et propose plusieurs services en rapport avec la santé de ses internautes.

Quoi de neuf, docteur Google ?

Les utilisateurs de Google Health vont donc pouvoir se créer un profil, dans lequel ils vont déjà pouvoir renseigner les maux dont ils souffrent et les éventuels traitements qu’ils suivent déjà, de même que leurs allergies et autres vaccins. Il est également possible de transférer son suivi médical directement depuis son profil sur un autre centre médical en ligne (pour l’instant centré principalement sur les États-Unis). Enfin, ce site regroupe une banque de liens vers plusieurs autres services médicaux en ligne, comme des sites dédiés aux risques d’attaques cardiaques, ou un suivi de vos vaccins. Ce service propose également de trouver l’adresse d’un médecin, bien réel cette fois, près de chez vous.

Google compte donc, grâce à ce service, transmettre les informations renseignées par l’utilisateur à un médecin afin que celui-ci ait directement le suivi complet d’un patient sous les yeux. Bien sûr, ce Google Health entraîne déjà quelques questions sur la vie privée des utilisateurs : ces données, assez confidentielles et personnelles suivant les utilisateurs, vont-elles être exclusivement dédiées au suivi médical des internautes ? Google a déjà plusieurs fois soulevé des problèmes sur la vie privée de ses utilisateurs, notamment en utilisant certaines données privées à des fins publicitaires, par exemple. Aujourd’hui, le lancement d’un tel service, bien que facultatif, relance le débat.

Texte : IDN

lundi 19 mai 2008

API YouTube pour envoyer des vidéos depuis sa PS3

YouTube poursuit le développement de ses interfaces de programmation (API), ouvertes en mars dernier, en annonçant cette semaine la mise en place d'une passerelle entre la console Playstation 3 et ses serveurs.

Concrètement, les développeurs de jeu disposeront donc d'une API dédiée leur permettant de proposer aux joueurs l'envoi direct de séquences vidéo enregistrées en jeu vers le service YouTube. Une fois l'API nécessaire ouverte, cette fonctionnalité pourra être implémentée dans les titres à venir, mais également greffée aux jeux actuels par le biais d'une mise à jour, indique YouTube. Elle serait d'ores et déjà disponible sur le titre Mainichi Issho, distribué gratuitement au Japon.

Texte : Clubic

samedi 17 mai 2008

Audience Web : Google détrône Yahoo aux Etats-Unis

Mauvaise nouvelle pour Yahoo, déjà dans la tourmente suite à l'OPA avortée de Microsoft : selon ComScore, son grand rival Google vient pour la première fois de lui ravir la première place en termes d'audience sur le marché américain, avec 141,1 millions de visiteurs uniques pour l'ensemble de ses sites sur le mois d'avril, contre 140,6 pour ceux de Yahoo!.

Google a depuis longtemps détrôné Yahoo sur le plan de la recherche en ligne, mais cédait jusqu'ici le pas à son concurrent en termes d'audience globale. Moins de 500.000 visiteurs uniques sépareraient les deux sociétés, d'après ces chiffres établis selon la méthode des panels - par essence imprécise. En troisième position arrive Microsoft, avec environ 121 millions de visiteurs uniques sur le mois.

Yahoo resterait toutefois le leader en termes de pages vues, avec 33,6 milliards de pages sur le mois contre 28,7 milliards chez Google. Les internautes évolueraient donc plus longtemps sur les sites Yahoo que sur ceux de Google. Outre leurs moteurs de recherche, les trois géants du Web disposent d'une large palette de sites et de services qui vont de la messagerie aux contenus éditoriaux en passant par la vidéo (YouTube) ou l'hébergement de photos (Flickr, Picasa).

Texte : NetEco

vendredi 16 mai 2008

Zoho accueille les abonnés Google et Yahoo!

Si vous trouvez qu’il est fastidieux de s’inscrire à un service à chaque fois que vous souhaitez l’essayer, alors Zoho peut vous simplifier la vie... sous réserve que vous ayez déjà un compte chez Yahoo! ou chez Google.

L’essayer, pour mieux l’adopter ?
Zoho rassemble un nombre de d’applications assez sensationnel sur le Web. Sur son site, vous avez accès à un traitement de texte, un tableur, un outil de présentation, un bloc-notes, un agenda, un client mail et de nombreuses applications étiquetées “Business” pour les professionnels, le tout dans le même esprit que Google Documents par exemple.

Désormais, plutôt que de s’inscrire et de devoir passer toutes les étapes pour créer un compte, les internautes disposant d’une adresse chez Yahoo! ou chez Google peuvent accéder à tous ces services en deux clics. Vous voilà donc en quelques secondes immergé dans l’univers Zoho.

Voilà un bon moyen pour Zoho de gagner de nouveaux adeptes, d’autant que ses services en ligne sont de qualité. Nous vous conseillons de profiter de cette facilité d’inscription pour tester leurs services.

Découvrir Zoho

Texte : IDN

jeudi 15 mai 2008

Google s'engage sur IPv6

L'éditeur du plus fameux moteur de recherche inaugure une nouvelle version, uniquement accessible aux utilisateurs d'IPv6. Cette technologie d'adressage prend peu à peu son essor.

Google suit le mouvement. A l'instar de Free et de 01net., son moteur de recherche est désormais officiellement accessible en version IPv6. Si vous ne disposez pas d'une connexion IPv6 (en direct ou par l'intermédiaire d'un tunneling proposé par des sociétés comme SixXs), pas la peine de cliquer sur ipv6.google.com, votre navigateur vous répondra qu'il ne peut pas y accéder. En revanche, si vous êtes équipé d'une connexion IPv6, vous accéderez au moteur de recherche. D'après, les - encore rares - utilisateurs d'IPv6, le logo de Google est alors animé.

Six des treize serveurs de l'Icann
Rappelons qu'IPv6 est une technologie d'adressage IP, qui devrait remplacer à terme le système actuel, IPv4. Il permettra, en autres, de démultiplier le nombre d'adresses IP disponibles. Si avec une connexion IPv4, on ne peut pas se connecter sur des sites IPv6, l'inverse est en revanche possible.

Aujourd'hui, six des treize serveurs de l'Icann intègrent IPv6. Mais seule une minorité de sites Web s'y essaie. Du côté des utilisateurs, ils sont aussi peu nombreux à disposer d'une connexion IPv6.

Toutefois, les initiatives pour inciter les internautes à passer à IPv6 se multiplient. Parmi les plus incongrues, citons celle de pornIPv6.com, qui vise à proposer des contenus pornographiques gratuits aux internautes IPv6. Encore, en développement, le site devrait être mis en ligne prochainement. Avis aux amateurs.

Texte : 01net.

Google va vous rendre flou

Google vient d’annoncer la prise de quelques mesures à propos de ses photos diffusées sur Google Street View, afin de protéger la vie privée des perosnnes présentes sur les clichés.

En effet, en voulant s’internationaliser, le service se voit également obligé de se plier aux différentes règles sur la vie privée des pays qu’il compte répertorier dans ses images. Ainsi, Google compte entre autres appliquer un « floutage » automatique sur les visages des passants.

Du flou pour votre vie privée
Un homme qui entre d’un pas décidé dans un sex shop, deux jeunes filles nues en train de prendre un bain de soleil ou encore un cambrioleur en pleine action, voilà quelques exemples de clichés insolites qui ont été pris par les fameuses Googles Cars aux États-Unis, et diffusés sur le service Google Street View. Sur certaines de ces photos, toutefois, il est parfaitement possible d’identifier les personnes concernées, ce qui a valu quelques soucis à Google, sans compter les réclamations de l’armée pour que le site retire les clichés jugés indiscrets qu’il avait pris d’une base militaire au bord du désert.

Une voiture Google à ParisAinsi, Google a décidé de réagir. Certains d’entre vous auront sûrement remarqué que des Google Cars, ces voitures noires surmontées d’un étrange appareil, sillonnent les rues de villes comme Paris ou Lille. En effet, Google compte ouvrir son service à d’autres pays dont la France, mais doit pour cela trouver un moyen d’empêcher l’identification des passants sur les images. Depuis plusieurs mois, le site propose de signaler soi-même les contenus sur lesquels des personnes peuvent être identifiées. Mais Google annonce que ce processus va être automatisé. Ainsi, des centaines de visages sont désormais flous dans les rues de Manhattan, et cette technologie devrait être intégrée à la version française dès son lancement.

Google Street View

Texte : IDN

mercredi 14 mai 2008

Lancement officiel de Google Friend Connect

Côté réseaux sociaux, Google n’est désormais plus en reste avec le lancement de sa plate-forme Friend Connect.

C’est à l’occasion de son dernier Campfire One que Google a officiellement présenté cette solution grand public, présentée comme une aide à l’intégration de vos réseaux sur vos pages personnelles. De fait, Friend Connect participe à la portabilité de vos données “sociales” et au phénomène des réseaux sur le Net.

Simplifier les réseaux
Pour faire simple, Friend Connect est un outil qui va vous permettre d’offrir à vos visiteurs des fonctionnalités dîtes sociales telles que l’enregistrement d’utilisateurs à vos services, la mise en place de galeries de photos de membres, le développement de leurs avis, commentaires, etc. En outre, Google Friend Connect doit simplifier l’intégration de services tiers comme par exemple iLike, Orkut (par Google) ou encore Plaxo.

La procédure est relativement simple puisqu’une fois inscrit à Friend Connect, vous paramétrez vos gadgets puis il vous suffit de copier/coller le code généré pour les intégrer à vos pages. Le principe est relativement proche de celui de Google Adsense, même si ici il n’est pas question de gagner de l’argent.

Au final vos visiteurs devraient pouvoir interagir entre eux mais aussi directement avec vous. Ce lancement intervient en réaction direct à l’annonce de l’ouverture prochaine des services de Facebook et MySpace…

Le célèbre blogueur Michael Arrington était au Campfire One et propose sur TechCrunch une multitude de photos et de vidéos présentant le service.

Découvrir et s’inscrire à Google Friend Connect

Texte : IDN

Playboy recrute sur YouTube

Décidemment, Hugues Hefner, grand manitou de Playboy, est un homme qui vit avec son temps. Après l’arrivée de son magasine de charme sur l’iPhone ou encore la commercialisation d’un téléphone en partenariat avec Alcatel, voici que l’amateur de blondes à forte poitrine a décidé de recruter ses playmates directement sur le net.

Youtube, tremplin pour Playboy ?
En homme d’affaires avisé, le créateur de la célèbre revue a décidé de faire confiance à un partenaire de renom. C’est le site de vidéos en ligne YouTube qui a été choisi pour un casting mondial qui célèbrera les 55 ans du magazine. Pour postuler, il faut évidement être majeure, réaliser un clip de moins de deux minutes et… ne pas poser nue dans la vidéo. Les filles sélectionnées participeront à la finale mondiale de Los Angeles.

Holly Madison en promo pour Playboy
La vidéo de promotion du casting international met en scène une des playmates emblématiques du magazine en la personne de Holly Madison. A n’en point douter, ce nouveau coup de marketing d’Hugues Hefner aura le double avantage d’attirer encore plus la lumière sur son magazine tout en facilitant la recherche des futures playmates.

La page Playboy sur YouTube

Texte : IDN

vendredi 9 mai 2008

Google travaille pour YouTube et veut coopérer avec Yahoo

Google prévoit de lancer dans les prochains mois de nouveaux produits pour son service de partage de fichiers vidéos YouTube et estime qu'il y a de la place pour une collaboration plus étroite avec Yahoo, selon Eric Schmidt, directeur général du moteur de recherche.

S'exprimant avant l'assemblée générale du groupe, il a ajouté que la rentabilisation de YouTube était la priorité numéro un de Google cette année, sans donner plus de détails sur les nouveaux produits en question.

En avril, Yahoo, qui tentait alors de contrer un offre de rachat de Microsoft abandonnée depuis par l'éditeur de logiciels, a testé pendant deux semaines sur son propre moteur de recherche le système de vente de liens publicitaires développé par Google.

Eric Schmidt a déclaré que cette expérience donnait matière aux deux groupes à poursuivre leurs discussions de coopération, tout en précisant qu'il n'y avait encore aucun accord.

"Nous estimons que ce test a été succès. Cela nous encourage à continuer de discuter avec Yahoo", a-t-il souligné.

Texte : 01net.

vendredi 2 mai 2008

Google veut améliorer la recherche d'images

Des chercheurs veulent appliquer le principe du « PageRank » à la recherche d'illustrations. Les résultats du moteur ne dépendraient plus des descriptions renseignées par leurs auteurs.

Lors de l'International World Wide Web Conference qui s'est déroulée du 21 au 25 avril 2008 à Pékin, deux chercheurs ont présenté un livre blanc sur ce que pourrait être le futur algorithme de recherche d'images de Google.

Leur projet consiste à appliquer le « PageRank » - recette maison de Google qui détermine le classement des résultats lors d'une requête d'un internaute - aux images. Aujourd'hui, la recherche d'illustrations est loin d'être pertinente. Elle s'appuie sur les tags (mots-clés), renseignés par les utilisateurs lorsqu'ils publient une photographie sur la Toile, ou encore sur le nom du fichier lui-même.

Exemple classique : une recherche sur « Paris » remonte, parmi des vues de la capitale française, une photo de Paris Hilton mangeant un hamburger. Tapez « Kermit » dans le moteur et il vous remonte, parmi des clichés de la marionnette du Muppet Show, une (fausse) radiographie. Entrez « Google » comme thème de la recherche d'images et vous obtiendrez, entre autres résultats, des photographies de femmes à forte poitrine...

Jusque-là les travaux menés en matière de reconnaissance d'images n'ont pas permis de faire en sorte d'identifier tous les objets comme le fait l'oeil humain. « Bien que certaines tâches comme trouver des visages ou des objets extrêmement texturés telles les couvertures de CD ont été réalisées avec succès, le problème de reconnaissance et de détection des images demeure complet », estiment Shumeet Baluja et Yushi Jing, les chercheurs de Google dans leur livre blanc PageRank for Product Image Search.

Aucune date de disponibilité

En outre, la multiplication du nombre d'illustrations postées sur Internet ainsi que l'alourdissement du poids de ces mêmes images augmentent le volume de données à analyser compliquant ainsi la tâche d'un moteur de recherche.

Les scientifiques ont convenu qu'il leur fallait définir un algorithme capable d'identifier les éléments communs entre plusieurs images, quelle que soit leur position dans l'image ou leur orientation. La meilleure façon d'y arriver est « de traiter les images comme des pages Web et leur similarité comme des liens hypertextes visuels probables (...) Ceci en considérant que les plus "visitées" devraient avoir un meilleur classement que les autres. »

Ainsi comme pour les pages Web, les images les plus cliquées ou celles vers lesquelles pointent le plus de liens hypertextes apparaîtront en tête de gondole.

Le géant américain a testé son algorithme sur les 1 000 requêtes d'images les plus populaires (iPod, Xbox, Zune...). Après avoir soumis ces résultats à 150 personnes, il s'avère qu'ils sont bien plus pertinents que ceux du moteur de recherche classique. Seul 0,47 % des dix premiers résultats sont sans rapport avec l'objet de la recherche, contre 2,82 % actuellement. Google n'a annoncé aucune date quant à la disponibilité de ce nouvel outil.

Texte : 01net.

jeudi 1 mai 2008

Google Ocean, déclinaison marine de Google Earth et Sky ?

Après la terre avec Google Earth, après l'espace avec Google Sky, les mers et les océans pourraient bien être l'étape suivante, avec Google Ocean. En attendant un Google centre de la Terre ? Selon News.com, Google Ocean – appellation encore non définitive – nous permettra de voir la topographie sous-marine.

Le projet trotte dans la tête de Google au moins depuis l'année dernière. En décembre 2007, de nombreux chercheurs du monde entier ont ainsi été invités au Googleplex, ceci afin de discuter avec des océanographes réunis par Google pour la future création d'une carte en 3D sur les océans.

En sus des fonds marins, Google devrait rajouter certaines informations, à l'instar de Google Earth et Google Sky, comme les conditions météorologiques, les courants, les températures, les épaves, les récifs coralliens et les algues a confié une source proche du dossier à News.com.

Reste que proposer un équivalent marin de Earth et Sky est loin d'être aisé. Les fonds marins ne sont en effet pas tous cartographiés en détail, c'est un euphémisme. Représentant près de 71 % de la surface de la Terre environ, les océans ont de plus une profondeur importante de plusieurs kilomètres. Sonder l'intégralité des fonds marins n'est donc pas chose aisée.

Bilan des courses, seule une petite partie des fonds marins est disponible à un niveau de détail important. Google devra donc s'atteler à réunir les images actuellement disponibles, qu'elles soient réalisées à partir d'un bateau ou d'un satellite.

Reste à faire preuve de patience et à attendre sagement la sortie de Google Ocean, dont le succès pourrait bien surpasser celui de Google Sky.

Texte : PC INpact

La censure de Carrefour en Chine... par Google !

Après les récents événements liés à la torche Olympique traversant la capitale française, la Chine, via Google, a décidé - semble-t-il - de boycotter la marque française la plus célèbre en Chine : les supermarchés Carrefour.

En effet, lorsqu'un internaute chinois souhaitera rechercher "Carrefour", il tombera sur une page ne retournant aucun résultat avec en prime le message "Vous ne pouvez pas accéder aux résultats de cette recherche, merci de revenir sur Google.cn pour plus d'informations"."

Il est à noter que cette mesure est également appliqué aux sites Google Vidéo et Google Actualités du pays.

Comme le remarque Zorgloob, on est amené à s'interroger sur le responsable de ce blocage : "Le fait que le copyright de cette page indique "2006" et qu'un attribut du code source indique "MSHTML", ajouté automatiquement lorsque vous sauvegardez une page web avec Internet Explorer, est très étrange..." est-ce Google Chine ou bien le gouvernement chinois ?

Source : Zorgloob