samedi 29 décembre 2007

Windows Live Messenger et Google Talk compatibles ?

A en croire plusieurs rumeurs et essais de la Beta, il s'avèrerait que la prochaine version de la messagerie instantanée Windows live Messenger (WLM 9) soit compatible avec le client Google Talk (qui utilise le protocole Jabber, il me semble).

WLM est déjà compatible avec AIM/ICQ et Yahoo! Messenger... ça serait une bonne nouvelle si tout ce petit monde peut dialoguer ensemble, sans avoir à changer de logiciel.

Source : Clubic

Marque déposée : Google épargné par la justice chinoise

Un tribunal chinois vient récemment de rejeter la demande d'une entreprise du pays accusant Google de violation de marque déposée.

La Cour d'Haidian a débouté le 26 décembre une plainte de la part de Beijing Gu Ge Technology accusant Google d'avoir enfreint une marque déposée, a indiqué Chinacourt.org relayé par CNet et Pacific Epoch.

Le groupe chinois a en effet argué du fait que le nom chinois de Google, " Gu Ge ", est identique au nom de la compagnie. Cependant, il a été établi que Google a utilisé cette nomination spécifique à la Chine le 12 avril 2006, soit...une semaine avant que Beijing Gu Ge ait déposé cette marque de manière officielle.

Dès lors, la demande de dédommagements que demande l'entreprise chinoise, éditrice d'un moteur de recherche de biens de consommation, ne peut pas être valable, même si Google China n'a officiellement déposé ce nom que le 24 novembre 2006.

Suivant les traductions, Gu Ge signifie " chanson de la vallée " ou " chanson des récoltes " en chinois.

Texte : GNT

Google à nouveau devant la justice pour défendre sa barre d'outils

Nouvelle procédure judiciaire en perspective pour Google : le moteur de recherche est accusé de violation de brevets par la société HyperPhrase Technologies. Elle lui reproche d'utiliser plusieurs de ses brevets dans les technologies publicitaires Adsense et AutoLink.

En décembre 2006, Google avait gagné en première instance, mais il vient de subir un revers puisque la cour d'appel de Washington a renvoyé une partie de l'affaire - celle concernant la technologie AutoLink - devant le tribunal du Wisconsin. Elle estime que celui-ci s'est trompé dans son interprétation sur ce dossier.

Rappelons qu'AutoLink est une des fonctionnalités présentes dans la barre d'outils de Google, qui s'intalle dans les navigateurs internet. Elle est capable de rajouter des liens sponsorisés sur une page web, en fonction de ce qui s'y trouve ou des termes de recherche de l'utilisateur. Elle reconnaît, par exemple, les adresses ou les numéros d'identification des livres, et fournit des liens vers des plans en ligne ou vers Amazon pour acheter les ouvrages.

L'autre volet de l'accusation, portant sur le système publicitaire AdSense, est en revanche définitivement clos. La Cour d'appel a conclu, à l'instar du tribunal de première instance, que Google ne violait aucun des brevets d'Hyperphrase Technologies avec ce service. Une bonne nouvelle pour le moteur de recherche dont le modèle s'appuie essentiellement sur ce système et les AdWords pour générer des revenus.

Texte : ZDNet France

vendredi 28 décembre 2007

Google se met à dos les utilisateurs de son lecteur de flux RSS

Le moteur de recherche a mis en place une fonctionnalité très intrusive, qui partage automatiquement sa liste de flux RSS dans Google Reader, avec ses contacts de Google Talk. Malgré les protestations d’utilisateurs, il refuse de modifier ce système.

Google a déclenché un tollé dans la blogosphère américaine, en modifiant soudainement les conditions d'utilisation de son interface Google Reader. Créée en 2006, elle fait office de lecteur de flux RSS, avec une fonctionnalité particulière : les liens choisis peuvent être partagés avec d'autres internautes, sélectionnés par l'utilisateur. Le système permet donc d'échanger toutes sortes d'informations avec une communauté bien identifiée.

Mais la semaine dernière, Google a modifié son système, afin que les flux de Google Reader soient également partagés automatiquement avec les contacts Google Talk d'un utilisateur. Il s'agit du logiciel de messagerie instantanée proposé par le moteur de recherche.

Problème : l'ensemble des contacts d'une messagerie instantanée ne correspond pas forcément à la communauté avec laquelle on souhaite partager une liste de liens ou de flux RSS. Ces contacts peuvent, par exemple, contenir des connaissances professionnelles, tandis que l'internaute utilise Google Reader pour partager des informations personnelles avec ses amis.

Google avoue, mais persiste

Ce changement imposé à tous a provoqué la colère de blogueurs américains, qui estiment que Google aurait dû introduire cette fonctionnalité sous la forme d'un « opt-in » (demander la validation expresse de l'utilisateur avant d'activer le partage des données).

Sur le blog officiel du Google Reader, le moteur de recherche tente de calmer les esprits : « Nous espérions que vous trouveriez utile et intéressant une fonctionnalité qui vous permette de partager plus facilement [des liens] avec les personnes avec qui vous discutez en ligne, mais nous avons sous-estimé le nombre d'utilisateurs qui utilisent [Google Reader] en partage avec un nombre limité de gens », peut-on y lire.

Malgré cet aveu et le mécontentement visible des utilisateurs, la société ne retirera pas sa fonctionnalité ; elle se contente de donner le mode d'emploi pour nettoyer sa liste de liens partagés et pour réduire le nombre de personnes à qui elle est rendue disponible.

Google choisit donc d'imposer ses propres choix, sans tenir compte des protestations de ses utilisateurs, contrairement à Facebook qui a préféré modifier son application publicitaire Facebook lorsqu'il fut confronté à une vaste vague de contestation de ses membres.

Texte : ZDNet France

Mon avis : Je suis tout aussi contre cette fonctionnalité qui s'impose sans distinction. Ma liste Google Talk est à la fois professionnelle et personnelle et en aucun cas on ne mélange les deux...

jeudi 27 décembre 2007

Google devant le tribunal pour viol de brevets

C’est lors d’une procédure judiciaire entamée depuis 2006 que Google vient de prendre un revers cette semaine.

L’entreprise californienne est accusée d’avoir violé des brevets qui appartiennent à la société HyperPhrase Technologies. Parmi eux, on retrouve les solutions utilisées pour les programmes publicitaires AdSense et AutoLink.

Google dans la tourmente

Les technologies AdSense et AutoLink de Google vont-elles devoir disparaître momentanément des services fournis par Google ? Rien n’est moins sûr, si on en croit la cour d’appel de Washington, qui vient de renvoyer l’affaire opposant Google à HyperPhase Technologies devant le tribunal du Wisconsin. C’est particulièrement AutoLink qui est concerné par ce renvoi au tribunal, alors que Google avait gagné en première instance. Cette technologie permet à l’entreprise d’insérer de la publicité sur certains mots-clés dans un texte.

Google est, en revanche, un peu plus rassuré en ce qui concerne sa technologie AdSense. La cour d’appel a en effet statué que la firme ne viole pas les brevets d’HyperPhase Technologies avec ce programme, et a donc confirmé le non-lieu.

Texte : Infos-du-net

mercredi 26 décembre 2007

NTT DoCoMo va s'allier à Google

L'opérateur japonais NTT DoCoMo envisage de s'allier avec Google pour proposer les services du moteur de recherche sur son portail mobile, apprend-on de sources internes.

Jusqu'à présent, le premier opérateur japonais de téléphonie mobile n'avait pas recherché de partenaire, mais depuis quelques mois DoCoMo séduit moins de nouveaux abonnés que ses concurrents, plus petits.

Avec cette alliance, Google aura accès aux 48 millions d'utilisateurs du portail de service mobiles "i-mode" de DoCoMo, au moment où le géant américain cherche à se développer au Japon et grignoter des parts de marché à Yahoo Japan, premier portail de recherches internet dans l'archipel.

Ce rapprochement pourrait éventuellement aboutir au développement de nouveaux services et combinés, a-t-on ajouté.

"Nous étudions actuellement la possibilité d'une alliance dans les services de recherches avec des partenaires japonais ou étrangers, mais rien n'a été décidé", a déclaré le porte-parole de DoCoMo, Hiroto Nakagawa.

Avec un service proposé dès le printemps, les abonnés au service i-mode de DoCoMo pourront accéder aux services de recherches de Google, aux fonctionnalités telles que l'email, l'agenda et le stockage de photos, peut-on lire mardi dans le quotidien économique Nikkei.

Les services de recherche et de courrier électronique de Google sont déjà présents sur les téléphones portables du principal concurrent de NTT DoCoMo, KDDI, mais le premier opérateur mobile japonais envisage de nouer un partenariat plus avancé dans les services et les technologies, comme le développement d'une nouvelle génération de combinés équipés du système d'exploitation "Androïd" que prépare Google, rapporte le journal.

DoCoMo, qui contrôle plus de 50% du marché mobile au Japon, perd des parts de marché dans un contexte de guerre des prix acharnée.

Softbank, nouveau venu sur le marché de la téléphonie mobile, a enregistré en novembre 191.600 abonnés supplémentaires, surclassant ses concurrents pour le septième mois consécutif. DoCoMo n'a enregistré que 48.200 nouveaux abonnés, moins que Softbank et KKDI.

Texte : 01men

Gmail dispose désormais de 6 Go d'espace de stockage

Selon certains et d'après les calculs de progression de l'augmentation d'espace affiché sur la page d'accueil de Gmail, Noël serait la période où le Webmail de Google dépasserait les 6 Go... c'est chose faite.

L'image “http://img245.imageshack.us/img245/7127/6044gosd4.png” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

A un tel rythme, on peut penser qu'en 2008, l'espace disponible sera établi à 15 Go.

Source : PC INpact

lundi 24 décembre 2007

Elizabeth II sur YouTube

« The Royal Channel » c'est le nom de la chaîne ouverte sur YouTube par la Reine du Royaume-Uni.

Pour la première fois, elle présente ses vœux de Noël sur Internet. En 1957 déjà, elle innovait en présentant ses vœux à la télévision nationale.

Cette vidéo reprend d'ailleurs les premiers « vœux télévisés » de la Reine de 1957, en noir et blanc, puis apparaît progressivement le décor de 2007 et la Reine en couleur.

Elizabeth II souhaite par ce procédé toucher les jeunes, moins enclins aux traditionnels « vœux de la Reine ».

Source : 20Minutes

samedi 22 décembre 2007

Google Orkut touché par un virus, 700 000 membres concernés

Le réseau communautaire de Google a été récemment touché par un virus qui a affecté des centaines de milliers d'internautes.

Ce sont près de 700 000 utilisateurs d'Orkut qui ont été touchés par ce virus exploitant une vulnérabilité dans des applications Web du réseau communautaire de Google.

Certains membres ont en effet reçu un courriel leur indiquant qu'ils avaient eu un nouveau message dans leurs profils de la part d'une autre membre Orkut. Pour être infecté, il suffisait simplement de cliquer sur le lien contenu dans ce message électronique, ce qui les ajoutait ensuite à un groupe Orkut dénommé " Infectados pelo Vírus do Orkut " et comprenant ceux qui ont été infectés, a écrit le blogueur Kee Hinckley sur son site TechnoSocial.

Rappelons que Google Orkut est relativement populaire au Brésil, à peu près autant que peut l'être MySpace aux Etats-Unis. Selon le groupe, ce virus a été conçu pour montrer combien Orkut pouvait être dangereux pour ses membres, même s'ils ne cliquent pas sur un lien malveillant, a ajouté Hinckley. D'après les premiers examens relayés par InfoWorld, le ver n'avait pas pour objectif de collecter des données personnelles.

Au plus fort de son activité, le virus engendrait une centaine de nouveaux membres infectés par minute, a indiqué le blogueur qui a déclaré que le problème semble désormais résolu.

Texte : GNT

vendredi 21 décembre 2007

Le rachat de DoubleClick par Google autorisé aux Etats-Unis

La Federal Trade Commission (FTC) américaine a approuvé jeudi soir le rachat pour 3,1 milliards de dollars de DoubleClick par Google, indiquant que cet accord ne représentait pas une menace pour la concurrence sur le marché de la publicité sur internet.

La FTC a mis fin à une enquête de huit mois sur un vote à quatre voix contre une en faveur de l'accord entre Google, leader de la publicité au clic, et DoubleClick, leader sur le marché de la publicité par bandeaux et fenêtres émergentes.

"Après avoir étudié ce dossier avec attention, nous avons conclu que le rachat de DoubleClick envisagé par Google n'était pas de nature à menacer la concurrence de manière substantielle", a écrit la FTC dans un communiqué.

La commission a néanmoins précisé qu'elle "regarder(a) de près ce marché et que si Google développe une action anti-concurrentielle, elle agira rapidement".

Ce rachat doit toujours recevoir le feu vert des autorités de la concurrence européenne qui ont ouvert mi-novembre une enquête de quatre mois. Il a déjà été approuvé par les autorités australiennes et brésiliennes.

Le secteur de la publicité sur internet est entré ces derniers mois dans une phase de consolidation. Microsoft a ainsi racheté aQuantive pour 6 milliards de dollars, Yahoo a pris le contrôle de BlueLithium pour 300 millions de dollars et AOL de Time Warner a acquis Tacoda pour un montant non révélé.

Texte : 01men.

jeudi 20 décembre 2007

Un nouveau cheval de Troie détourne les pubs de Google Ads

Les analystes des laboratoires antivirus de BitDefender préviennent de l'arrivée d'un cheval de Troie qui prend pour cible le système de publicités textuelles de Google. Un détournement qui attaque directement les revenus du webmaster et du moteur de recherche en redirigeant l'utilisateur vers d'autres fournisseurs de publicités.

Le logiciel en question infecte un ordinateur et remplace les adresses IP de destination des publicités de Google sur les nombreux sites web qui en hébergent. L'adresse originale devrait commencer par un 6 (6x.xxx.xxx.xxx), celles détournées débutent toutes par un 9. L'utilisateur de l'ordinateur infecté qui clique sur le lien publicitaire de Google arrivera donc vers des annonceurs qui n'ont rien à voir avec les clients du moteur de recherche.

En considérant l'étendue et le succès des publicités textuelles de Google chez les sites Internet, l'idée est plutôt bonne : exploiter la très large diffusion des publicités Google pour détourner le réseau de publicité du géant américain à son profit.

« C'est une situation sérieuse qui affecte autant les utilisateurs que les webmasters. Les utilisateurs sont touchés parce que la publicité et les sites liés contiennent des codes malins, ce qui est très probable, car ils utilisent déjà un malware pour leur promotion. Les webmasters sont aussi concernés parce que le cheval de Troie détourne des visites publicitaires et fait occasionnellement perdre des sources de revenus de leur site web » explique Attila-Mihaly Balazs, analyste de virus chez BitDefender.

Texte : PC INpact

mardi 18 décembre 2007

Google Talk : Traduction instantanée pour messagerie instantanée

Le logiciel de messagerie instantanée de Google, GTalk vient de subir une mise à jour.

Dorénavant, il est possible de traduire à la volée un texte dans la langue de votre choix (ou presque).

Le principe ?

C'est simple, il suffit de faire joindre un contact particulier, un bot (robot) traducteur. Très pratique lorsque vous discutez avec un étranger et que vous ne comprenez pas tout ce qu'il raconte...

Il faut choisir le bon bot, bien évidemment (peut-être que dans le futur, les bots GTalk seront capables de détecter la langue dans laquelle sont rédigés les messages... allez savoir !). Prenez les deux premières lettres de la langue à traduire (ex. fr pour français, en pour english), rajoutez "2" (ex. fr2 — 2 signifie "to" (vers)) puis mettez les deux premières lettres de la langue traduite (ex. de pour deutch, ru pour russe). Voilà ce que cela peut donner pour une traduction Anglais > Français : en2fr

Il ne reste plus qu'à rajouter @bot.talk.google.com à ce que vous venez de taper.

Pour faire plus simple, voici la liste des bots aujourd'hui disponibles :

  • ar2en,
  • bg2en,
  • de2en,
  • de2fr,
  • el2en,
  • en2ar,
  • en2de,
  • en2el,
  • en2es,
  • en2fr,
  • en2it,
  • en2ja,
  • en2ko,
  • en2nl,
  • en2ru,
  • en2zh,
  • es2en,
  • fi2en,
  • fr2de,
  • fr2en,
  • hi2en,
  • hr2en,
  • it2en,
  • ja2en,
  • ko2en,
  • nl2en,
  • ru2en,
  • uk2en,
  • ur2en,
  • zh2en.
Bien entendu, la traduction obtenue sera sûrement imparfaite, mais c'est surtout un outil d'aide, il permettra de comprendre l'essentiel de ce que raconte votre contact.

Source : PC INpact

lundi 17 décembre 2007

Encore des nouvelles fonctionnalités dans Google Webmaster Tools

Google Webmaster Tools permet maintenant de diagnostiquer les titres et meta descripiton d'un site afin d'évaluer si ceux-ci sont optimaux.

Cette nouvelle fonctionnalité aidera encore une fois les équipes de référencement à mieux comprendre comment Google voit les différentes pages d'un site. À titre d'exemple, le nouvel outil nous a permis de voir que nous utilisions le même titre pour 9 pages et que certaines de nos Meta Descritpion étaient trop courtes.

Comme le mentionnait un internaute sur Webmasterworld, Google lance encore une fois une fonctionnalité qui permet de trouver des problèmes dans ses applications. En effet, il semble que Blogger (l'outil de blogue de Google) ne permet pas d'afficher une Meta Description différente pour chaque page...je suis donc pas certain qu'un blogue de cette plate-forme obtiendrait une bonne note en diagnostiquant son contenu avec Webmaster Tools.

Texte : Benefice.net
Source : Google Webmaster Central

Chine : Google poursuivi pour la traduction de son nom, Guge

Une entreprise chinoise vient de poursuivre en justice le moteur de recherche Google en Chine. Objet du litige : la traduction que Google a fait de son nom, tout spécialement pour la Chine.

À peine installé en Chine, Google décidait de s'appeler « Gu Ge », un nom plus familier et évocateur pour les Chinois. Cette traduction, à la base faite pour s'adapter à un nouveau marché, n'est finalement pas du goût de tous.

La plainte vient d'une entreprise de Pékin, nommée Guge Sci-Tech Co., et qui opère dans le même secteur technologique que Google. Ce nom fut enregistré le 19 avril 2006 auprès de la Chambre de Commerce et d'Industrie de Pékin, avant l'enregistrement de Google, effectué le 24 novembre suivant. « Guge » ou « Gu Ge », la différence ne semble pas jouer en chinois, puisque les mêmes caractères sont utilisés à l'écrit.

Guge Sci-Tech affirme que Google provoque ici une confusion qui nuit à son commerce, et souhaite donc que le moteur américain change son nom chinois, tout en payant des dédommagements. Selon les documents déposés au tribunal, la défense de Google se résume à dire que Guge Sci Tech a enregistré son nom en sachant pertinemment que Google allait bientôt l'adopter, puisque l'information était publique à l'époque.

Pendant ce temps, le concurrent chinois Baidu se rapproche d'Intel

De son côté, le premier moteur de recherche chinois, Baidu.com, vient de signer un accord avec Intel pour la création d'un laboratoire commun de recherche pour le développement des nouvelles technologies en Chine. D'autre part, Intel va aider Baidu à économiser 35 millions de kilowatts dans l'année qui vient grâce à de nouveaux serveurs.

Texte : PC INpact

vendredi 14 décembre 2007

Google Open Social peut-il s'imposer face à Facebook ?

C'est la question à laquelle ZDnet a tenté de répondre dans un dossier consacré à Google Open Social.

« Sur le marché en effervescence des applications pour réseaux sociaux, Google a pris du retard face à Facebook. Un retard qui pourrait lui être préjudiciable, d’autant que LinkedIn, Friendster et Bebo, lancent leur plate-forme de création d'applications. »

» Lire le dossier sur ZDNet France

Google Zeitgeist 2007

Comme tous les ans, Google publie le "top" des recherches les plus souvent tapées dans le fameux moteur, son classement "Zeitgeist".

Ce classement veut seulement représenter une tendance, les mots-clés qui ont subi des pics de recherche, notamment. Les mots-clés qui reviennent le plus (qui sont assurément en rapport avec le sexe) ne sont pas présents.

Voilà le classement mondial :
  1. iphone
  2. badoo
  3. facebook
  4. dailymotion
  5. webkinz
  6. youtube
  7. ebuddy
  8. second life
  9. hi5
  10. club penguin
L'iPhone, véritable phénomène mondial vaut bien sa première place.
Suivent 2 réseaux sociaux à forte expansion.
Puis le premier concurrent de YouTube, le français DailyMotion.
Webkinz, un site pour élever des animaux virtuels.
YouTube, le portail vidéos de Google.
eBuddy, pour se connecter à sa messagerie instantanées de partout.
Second Life, le premier jeu de réalité virtuelle.
Hi5, encore un réseau social.
Et enfin, Club Penguin, un monde virtuel pour les enfants où discussions se mêlent aux jeux en ligne.

» Retrouvez le Google Zeitgeist 2007.

Google Knol : un adversaire à Wikipédia ?

Lancé cette semaine, le projet "Knol" (pour "Knowledge" — Connaissances) de Google est un service qui ressemble étrangement à la plus grosse encyclopédie en ligne Wikipédia.

Néanmoins, quelques différences :
  • Une seule personne peut créer et modifier sa page "Knol"
  • L'auteur est clairement identifié (photos, biographie, nom, profession...)
  • L'auteur prend en compte ou non les remarques des lecteurs
  • L'article peut être subjectif plutôt qu'objectif puisqu'une seule personne décide des informations qu'il contient
  • L'auteur d'un article peut être récompensé par le biais des publicités qu'il aura mises sur sa page (son "knol")
Google fournit un exemple en image de ce à quoi pourrait bien ressembler ce service.

Source : Le Figaro

jeudi 13 décembre 2007

La nouvelle barre d'outils de Google a de la mémoire

La dernière version de Google Toolbar pour Internet Explorer permet de retrouver sur n'importe quel PC ses bookmarks et de stocker images et textes.

Une barre d'outils Google accessible depuis n'importe quel ordinateur et capable de stocker des informations : ces nouvelles fonctions développées par le célèbre moteur de recherche sont bien pratiques, pour peu que l'internaute n'ait pas un sens trop aigu du respect de sa vie privée.

En effet, la dernière version de Google Toolbar (Voir la vidéo ci-dessous) pour le navigateur Internet Explorer, une fois téléchargée sur l'ordinateur utilisé, permet, en activant son compte GMail, de retrouver immédiatement ses « préférences » : bookmarks, boutons personnalisés, historique de navigation.

La barre sert aussi à récupérer les informations renseignées dans la fonction « Autofill » (remplissage automatique), qui permet de remplir automatiquement certains champs de formulaires demandés par des sites Web, comme le patronyme, l'adresse e-mail ou postale. Google rappelle que toutes les données sont stockées sur des serveurs sécurisés. L'utilisateur peut choisir de ne pas activer cette fonction.

Archivage de textes et de photos

Autre nouveauté, le bouton Notebook permet d'archiver directement depuis la barre d'outils des documents comme des textes ou des images sur les serveurs de Google.

L'internaute peut aussi personnaliser la barre d'outils avec de nouveaux boutons qui permettent d'accéder en un clic aux services de Google, tel le site de partage de vidéos YouTube ou encore celui de cartographie, Google Maps, etc. La nouvelle barre d'outils pratique aussi la suggestion, en cas de faute de frappe ou de recherche infructueuse, comme sur le traditionnel moteur de recherche.


Texte : 01net.

TF1 attaque YouTube en justice

Le groupe TF1 va assigner en justice la plate-forme de vidéos YouTube pour « contrefaçon et défaut de lutte contre le piratage ».

Le groupe porte plainte pour contrefaçon et concurrence déloyale étant données les nombreuses séries ou émissions diffusées sur TF1 et accessibles gratuitement sur YouTube. Il réclame à la filiale français de YouTube 100 millions d'Euros.

Source : Clubic

mercredi 12 décembre 2007

USA : Google Street View couvre 8 nouvelles villes

Alors qu'il est attendu pour 2008 en Europe, Google Street View, le service de Google qui permet de visionner des rues comme si on y était, continue de se bonifier aux Etats-Unis. La base d'images qui compose Street View a un peu pris du poids avant même le début des fêtes puisque le service couvre à présent 8 nouvelles villes américaines.

Les internautes du monde entier peuvent désormais « voguer virtuellement » dans certaines rues de Dallas, Detroit, Indianapolis, Fort Worth, Boston, Minneapolis, St. Paul et Providence via Street View. Ces villes rejoignent donc New-York, San Diego, Los Angeles, San Francisco Bay, Portland, Phoenix, Las Vegas, Houston, Tucson, Philadelphia, Chicago, Orlando, Pittsburgh, Miami et Denver. En tout, 23 villes américaines profitent de cette navigation virtuelle. En sus de cela, Google offre la possibilité d'intégrer ses panoramas de rues dans le site / blog de son choix (voir l'exemple ci-dessous) comme la firme le propose déjà pour Google Maps (voir Google Maps : publier des cartes sur son site/blog).

Voici les différents liens pour accéder au module Street View des différentes villes couvertes par le service de Google (pour changer de vue, il suffit glisser / déposer le bonhomme dans la rue de son choix et de cliquer ensuite sur ce même bonhomme pour ouvrir le module Street View. A noter que seules les rues accompagnées d'un liseré bleu peuvent profiter du module Google Street View - pour afficher ce liseré, pensez à vérifier que le bouton Street View en haut à droite est bien activité - il doit s'afficher avec un texte en gras) :
Source et liste : Clubic

Stockage : le disque dur virtuel pourrait rapporter gros à Google

Si la rumeur se confirme, le moteur de recherche pourrait réaliser des marges supérieures à celles des fabricants de disques durs eux-mêmes.

Selon les experts et si la rumeur se confirme, le lancement d’un service de disque dur virtuel permettrait à Google de réaliser des marges supérieures à celles des fournisseurs de disques durs physiques tels que Seagate Technology. iSuppli pense en effet que le lancement d’un tel service serait certes très utile pour les consommateurs, mais surtout extrêmement lucratif pour le moteur de recherche.

"Le plan de Google répond à une logique économique simple : le groupe peut réaliser davantage de bénéfices sur le marché du stockage que les fabricants de disques durs eux-mêmes”, souligne Krishna Chander, analyste pour les systèmes de stockage chez iSuppli.

Certains articles laissent entendre que Google s’apprêterait à offrir un service permettant aux utilisateurs de stocker des fichiers de leurs disques durs sur ses serveurs. Le service fournirait ainsi un espace de stockage pour le moins bienvenu pour tous les utilisateurs souffrant d’un manque d’espace sur des disques durs saturés de musique, de vidéos et d’images, mais il permettrait également aux abonnés d’accéder à leurs fichiers depuis n’importe quel PC, en entrant simplement leur mot de passe sur le site de Google.

L’analyste remarque toutefois que le concept de stockage virtuel en ligne n’est pas tout à fait nouveau. Yahoo, Xdrive LLC ainsi que d’autres proposent déjà des services similaires, avec généralement 5 Go de stockage gratuit assortis d’un forfait pour l’accès à un espace supplémentaire.

Mais Google pourrait bien leur couper l’herbe sous le pied en proposant peut-être 50 Go de stockage gratuit, estime Krishna Chander, ajoutant que Google pourrait générer des profits importants en plaçant des publicités sur le site de son service de stockage.

Selon l’analyste, environ 4,2 millions d’utilisateurs pourraient à terme utiliser le système de stockage en ligne de Google. En supposant que Google perçoive $50 par utilisateur et par an grâce aux recettes publicitaires collectées auprès des utilisateurs de la version gratuite du système, le moteur de recherche pourrait dégager environ 210 millions de dollars de recettes chaque année.

Côté dépenses, Krishna Chander estime que chaque Go de stockage gratuit coûtera 25 cents à Google. Google risque en effet de devoir installer une capacité de stockage d’environ 210 000 To, ce qui supposerait l’achat d’environ 210 000 disques durs d’1 To, soit un investissement d’environ 52,5 millions de dollars.

“Cela représente un excellent retour sur investissement pour Google”, ajoute l’analyste. “Là où un fournisseur de disques durs réalise une marge bénéficiaire brute de 18 % sur un disque dur pour PC de bureau, Google pourrait dégager une marge de 75 %. Son retour sur investissement serait ainsi quatre fois supérieur à celui des fournisseurs de disques durs.”

Texte : VNUnet.fr

YouTube ouvre son système de rémunération à tous

Auparavant limité à ses partenaires professionnels et à quelques contributeurs, YouTube généralise enfin son système de rétribution. Pour l'instant accessible uniquement aux Canadiens et aux Étatsuniens, le YouTube Partner Program permet aux créateurs de la plateforme d'être rémunérés en fonction de la visibilité de leur contenu.

Les membres du programme choisissent ainsi eux-mêmes quelles vidéos ils souhaitent voir accompagnées d'une publicité, et par conséquent quelles vidéos leur permettront d'arrondir leur fin de mois. Bien entendu, pour faire partie du programme, il faut obligatoirement créer soi-même son contenu. Il est donc hors de question d'être rémunéré en mettant en ligne une vidéo soumise à un droit d'auteur autre que le vôtre, qu'il s'agisse de la vidéo ou du son par ailleurs.

YouTube opte donc pour le système gagnant-gagnant, afin d'appâter non seulement les plus importants créateurs de vidéos, mais aussi les entreprises désireuses de montrer leurs produits sur la fameuse plateforme. Et avec plusieurs millions de visiteurs quotidiens, YouTube, et donc Google, ne devrait pas avoir de mal à attirer les investisseurs.

Ce système, qui permet notamment de cibler aisément chaque visiteur, a cependant été adopté depuis longtemps, avec succès, par des concurrents comme Revver et MetaCafe.

Reste à vérifier quelle somme peuvent espérer récolter les plus gros contributeurs. Selon YouTube, ceux générant plus d'un million de visiteurs gagnent plusieurs milliers de dollars chaque mois. Sans plus de précision.

Texte : PC INpact

Yann Arthus-Bertrand sur Google Earth

[Article écrit sur la base d'un communiqué de presse Google France] Près de 500 photos du célèbre photographe et environnementaliste Yann Arthus-Bertrand sont aujourd'hui accessibles sur Google Earth, donnant une image inédite de l'état de la planète. Présentées sous forme de layer (calque géographique d'informations), ces photos sont accompagnées de chiffres clés et d'informations sur l'état du monde.

Yann Arthus-Betrand et son ONG GoodPlanet.org ont pour but de promouvoir le développement durable en mettant en valeur - à travers ces photographies - la beauté de la planète et les enjeux environnementaux auxquels nous devons faire face.

Ce layer, intitulé "La Terre vue du Ciel", sera mis à jour régulièrement : de nouvelles photos seront ajoutées et les informations relatives seront actualisées, grâce aux données de divers organismes mondiaux. Il sera accessible dans la catégorie "Sensibilisation Mondiale" de Google Earth, laquelle héberge déjà de nombreux layers mettant en exergue des enjeux humanitaires et environnementaux.

Pour accéder à ces informations, il suffit de se rendre dans le dossier appelé « Infos Pratiques » qui se trouve dans une barre d'outils à gauche dans Google Earth.

Ce layer sera disponible en 14 langues : Français, Anglais, Allemand, Arabe, Chinois, Coréen, Espagnol, Italien, Japonais, Néerlandais, Polonais, Portugais, Tchèque et Russe.

Les internautes retrouveront également les photos de Yann Arthus-Bertrand sur iGoogle, la page d'accueil personnalisée de Google. En ajoutant le gadget « La Terre vue du Ciel » sur leur page iGoogle, ils découvriront chaque jour une nouvelle photo, qu'ils pourront localiser sur Google Maps.

Pour sa part, Yann Arthus-Bertrand déclare : « Chaque fois qu'une de ces photos s'affiche sur l'écran, un chiffre clé sur l'état du monde l'accompagne.. Avec mon association GoodPlanet.org, j'essaie de faire en sorte que l'émerveillement soit surtout une porte d'entrée à la prise de conscience et à l'engagement. »

Rebecca Moore, responsable de Google Earth Outreach souligne : « Le travail de Yann Arthus-Bertrand n'est pas seulement, magnifique il souligne également des problèmes environnementaux urgents à travers le monde. Google Earth est une excellente plateforme pour illustrer le travail de GoodPlanet.org et pour souligner ces enjeux d'une façon visuelle et facile à comprendre. C'est vraiment extraordinaire de voir notre technologie utilisée à des fins si utiles. »

Texte : Abondance

Regardez quelques photos sur Abondance : http://actu.abondance.com/2007/12/yann-arthus-bertrand-sur-google-earth.html

Notre mémoire organisée comme Google ?

L’algorithme de recherche PageRank, qui a fait le succès de Google, pourrait un jour servir de modèle à tous les psychologues qui veulent comprendre les mécanismes de la mémoire humaine. C’est la conclusion à laquelle est parvenu le psychologue Tom Griffiths en constatant que le PageRank pouvait également servir à prédire les mots que nous avons le plus de chance de nous rappeler.

De Google au cerveau

Quand on tape un mot dans Google, celui-ci nous retourne une liste de site Web où ce mot est cité. L’ordre des pages dans cette liste est établi en fonction du PageRank, un indice qui évalue la popularité de chaque page web à partir du nombre de liens qui pointent vers cette page. Au cours d’une expérience, Tom Griffiths, de l’Université de Berkeley (Etats-Unis), s’est aperçu que quand on nous demande de produire une liste de mot commençant par une lettre donnée, notre cerveau fonctionne de la même manière que le moteur de recherche.

Réseau internet et réseau sémantique

En s’appuyant sur des dictionnaires psycholinguistiques qui permettent, par exemple, de savoir la probabilité qu’à un mot d’être associé à un autre mot, Griffiths a construit un vaste réseau sémantique où les mots sont reliés les uns aux autres, comme dans le Web. Il a ainsi pu calculer un PageRank pour prés de 1000 mots de la langue anglaise. Ensuite, pour chaque lettre de l’alphabet, il a généré une liste de mot classée en fonction de son PageRank ou de sa fréquence d’usage (nombre de fois ou le mot apparaît dans des textes de langues anglaise).

Rappel libre

Il a ensuite présenté à une cinquantaine d’étudiants des cartes sur lesquelles étaient inscrite une lettre de l’alphabet: le sujet devait fournir, le plus rapidement possible, un mot commençant par cette lettre. La tâche était répétée une dizaine de fois, avec toutes les lettres de l’alphabet. Griffiths a ainsi pu établir, pour chaque lettre, une liste de mot classée en fonction du nombre de fois ou chaque mot avait été rappelé par les sujets.

Un PageRank très prédictif

Il a comparé ce classement «naturel» à ceux, théorique, produits par le PageRank ou par la fréquence d’usage des mots. Le chercheur a ainsi constaté que, contrairement à la fréquence d’usage, le PageRank prédit assez bien les mots produits spontanément par les sujets.

«Dans Google, le PageRank d’une page web est le nombre de fois où cette page sera visitée par un «internaute aléatoire» qui naviguerait sur la toile en cliquant des liens au hasard» explique Griffiths «dans notre expérience, le PageRank d’un mot correspond au nombre de fois où ce mot est activé lors d’une sollicitation au hasard de notre réseau sémantique». Donc pour une première lettre donnée, plus le PageRank d’un mot est élevé, plus il est probable que le sujet pense à ce mot plutôt qu’à un .autre.

Selon Griffiths, qui publie cette étude dans la revue Psychological Science, ce résultat montre que les techniques utilisées pour retrouver de l’information dans les grandes bases de données doivent inspirer le travail des psychologues qui veulent modéliser le fonctionnement de la mémoire humaine. Et vice versa.

Texte : 20Minutes.fr

Barre de menus Google sur la majorité des pages d'accueil locales

Alors que la version US de Google disposait, depuis plusieurs mois déjà, de la barre de menus "Web Images | Actualités ..." placée en haut à gauche.

Voilà qu'à présent, les versions locales en sont "équipées".

Sur Google France, ça donne ceci :

L'image “http://img337.imageshack.us/img337/411/googlebarrezp4.png” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

Ainsi que le menu "Plus" qui est déroulant :

L'image “http://img337.imageshack.us/img337/5617/googlebarre2pp8.png” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

dimanche 9 décembre 2007

Google optimise ses services pour l'iPhone

Google propose désormais d'accéder à ses différents services et fonctionnalités sur l'iPhone via une interface unique dédiée. Le moteur de recherche s'est basé sur les technologies telles qu'Ajax afin d'« offrir une excellente expérience d'internet mobile », peut-on lire sur son site.

En se connectant sur Google depuis le navigateur Safari, les utilisateurs peuvent accéder à la fonction de recherche, à la messagerie Gmail, ou encore à l'agenda Calendar et aux listings d'actualités.

Fin novembre, Google a également lancé une nouvelle fonctionnalité de géolocalisation pour mobiles, baptisée Ma Position, grâce à laquelle il est possible de connaître sa situation géographique sur un plan en ligne, depuis son téléphone.

Texte : ZDNet France

vendredi 7 décembre 2007

API Google : Créer des graphiques

Un nouvel API de Google, "Chart API", qui permet de créer divers styles de graphiques (en secteur ("camembert"), courbes, histogrammes…).

Les valeurs, le type de graphique, sa taille voire son titre sont paramétrable dans l'URL.

Par exemple :
http://chart.apis.google.com/chart?cht=p3&chd=t:90,49&chs=350x150&chl=Foo|Bar

et voici le résultat (Image PNG) :

Google Graph


Pour plus d'informations, rendez-vous sur http://code.google.com/apis/chart/

Google : Verizon Wireless soutient le projet Android

Android, nouvelle plateforme logicielle pour la téléphonie mobile de Google, dispose désormais d'un nouvel allié. L'opérateur phare Verizon Wireless (Verizon / Vodafone), jusqu'alors réticent face à cette plateforme ouverte, a décidé de soutenir le projet innovant. Ainsi, Lowell McAdam, le PDG de Verizon Wireless, a confié à BusinessWeek qu'il prévoyait d'utiliser Android.

Android avait été annoncée le 05 novembre par l'Open Handset Alliance, un groupement de plus de 30 leaders d'industries dans les domaines technologiques et mobiles, engagé à favoriser l'innovation sur les téléphones mobiles et à offrir une meilleure expérience aux consommateurs.

Texte : Boursier.com

Google lance son application iPhone

En date du 5 décembre, Google a annoncé le lancement d'une application pour iPhone regroupant ses services dans une seule interface. Il est ainsi plus facile à l'utilisateur d'iPhone de trouver et utiliser les applicatons Google Search, GMail, Calendar et autres Reader. Pour utiliser cette application pour iPhone, il est juste besoin de se connecter avec le navigateur internet de l'iPhone à l'adresse http://www.google.com/

Pour accomplir cette petite prouesse, Google s'est aidé de technologies AJAX. L'objectif de Google dans cette application comme dans d'autres est de permettre à l'utilisateur d'accéder à l'information en général et à ses données en particulier où qu'il soit dans le monde.
Pour avoir le périmètre complet des applications Google disponibles sur terminal mobile, connectez-vous à cette adresse : http://mobile.google.com/

Texte : Web-Mobilité.blogspot.com

Audience : YouTube domine toujours le marché US des portails vidéo

Cette semaine, l’institut d’étude américain Comscore a dévoilé les résultats de son indicateur mensuel Video Metrix pour septembre 2007. Selon les données de cette dernière édition,

YouTube, la plate-forme phare de stockage et de partage vidéos de Google (intégrée sous l'étiquette "Google sites" dans le tableau ComScore), continue de dominer très largement le secteur. Quelque 70 millions d’internautes américains ont regardé plus de 2,6 milliards de vidéos sur ce site durant le mois de septembre. La part de marché de YouTube atteint ainsi 28,3% des vidéos regardés par près de 2 internautes américains sur 5. La plate-forme a encore gagné 1,3 point par rapport à juillet dernier.

Loin derrière YouTube, ComScore a placé Fox Interactive, Yahoo, Viacom, Time Warner Network, Microsoft, Disney, ESPN, Comcast et CBS dans son classement des plus grands diffuseurs de vidéo sur Internet.

Les parts de marché des ces autres portails du Top 10 s’échelonnent entre 4,2% et 0,5% en termes de visiteurs uniques et entre 22,6% et 4,5% en termes de pénétration du marché.

Notons la "percée" de Microsoft qui passe de la septième place à la cinquième dans le classement Video Metrix (avec une part de marché de 2,1% de part de marché, +0,5 point par rapport à juillet). Mais c'est un constat : YouTube est indétrônable.

Autres statistiques de ComScore plutôt liées à la consommation de ses plates-formes vidéo : 75% des internautes américains (136 millions de personnes) ont regardé des vidéos sur le Net pour une durée moyenne de 2,7 minutes par vidéo et 181 minutes pour l’ensemble des visionnages sur le mois (stable par rapport à juillet). Chaque utilisateur a vu 68 vidéos en moyenne en septembre, soit plus de deux vidéos par jour.

Texte : VNUNET.fr

Fastueux mariage samedi du cofondateur de Google Larry Page, selon la presse

Le cofondateur de Google, le multimilliardaire Larry Page, 34 ans, doit se marier samedi dans une petite île des Caraïbes appartenant au patron du groupe Virgin, Richard Branson, ont rapporté cette semaine plusieurs journaux américains et britanniques.

M. Branson devrait être le témoin du marié, et parmi quelque 600 invités, sont attendus notamment le chanteur de U2, Bono, de nombreux milliardaires, ainsi qu'Hillary et Bill Clinton, selon la presse.

Necker Island, qui se loue en principe 46.000 dollars par jour, ne peut loger que quelques dizaines de personnes, aussi le reste des invités sera-t-il logé notamment sur l'île voisine de Virgin Gorda, dans le complexe touristique de Little Dix Bay.

Au niveau actuel de l'action Google, qui cote près de 700 dollars, Larry Page qui détient 32 millions d'actions, soit quelque 10% du capital, possède une fortune de plus de 22 milliards de dollars.

M. Page a créé Google avec son camarade d'université Sergey Brin en 1998. Selon le quotidien londonien Times, il s'est lié d'amitié avec M. Branson, qui avait utilisé le logiciel Google Earth pour tenter de retrouver son ami, l'aventurier Steve Fossett, porté disparu en septembre.

La fiancée de M. Page, Lucy Southworth, 27 ans, est une doctorante de Stanford en informatique biomédicale, qui est aussi diplômée en sciences de l'Université d'Oxford. Selon le Times, elle est la compagne de M. Page depuis un an.

Le groupe Google n'a pas fait de commentaires sur ces articles de presse.

Texte : 20Minutes

mercredi 5 décembre 2007

Alliance TomTom-Google dans les renseignements professionnels

Le fabricant de matériels de navigation TomTom annonce une alliance avec Google afin d'offrir un service de recherche professionnelle sur ses appareils portables.
Les clients du groupe néerlandais pourront, par exemple, chercher l'adresse d'un restaurant ou d'un musée sur Google Maps via un PC et la transférer sur un appareil TomTom, a expliqué le spécialiste de la navigation par satellite dans un communiqué.

"Cette coopération constitue une étape majeure pour TomTom qui cherche à répondre à la demande des utilisateurs en matière de contenus personnalisés", a déclaré Eric Pite, responsable des produits chez TomTom.

Les informations pourront être transférées par un simple clic de souris sur un GPS TomTom via internet, a précisé le groupe, ajoutant qu'il cherchait à nouer d'autres partenariats afin d'offrir des services personnalisés.

Les utilisateurs de TomTom pourront notamment localiser sur leur ordinateur via Google Maps musées et restaurants et transférer les adresses sur leur appareil nomade.
Les appareils TomTom proposent un service baptisé "points à noter", signalant par exemple l'emplacement de stations-service ou de parkings, mais qui nécessite l'achat régulier de mises à jour.

Les analystes du secteur ont également noté que les particuliers étaient davantage enclins à planifier un voyage sur un ordinateur via une connexion internet haut débit que sur le GPS de leur véhicule.

Ces nouveaux services pourraient aider TomTom à résister à l'offensive des fabricants de téléphones portables comme Nokia dans le secteur de la navigation par satellite.
Le spécialiste de la cartographie numérique Navteq a ainsi accepté le mois dernier une offre de rachat de 8,1 milliards de dollars (5,5 milliards d'euros) du fabricant finlandais.

De son côté, TomTom a également lancé le mois dernier une offre de 30 euros par action sur TeleAtlas, valorisant le concepteur de cartes numériques à 2,9 milliards d'euros environ.

Texte : 01men

mardi 4 décembre 2007

Gmail : connectez-vous sous un compte AIM

Gmail continue d'évoluer... aujourd'hui c'est la possibilité de se connecter au service de messagerie instantanée AIM, depuis l'interface de Gmail, qui fait son apparition.

Il suffit pour cela d'avoir un compte en langue US (facilement paramétrable via les options) et d'avoir un compte AIM.

Ensuite, vous cliquez sur "Options" puis "Sign into AIM®"
L'image “http://img360.imageshack.us/img360/7118/gmailaimro5.png” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

On atterrit alors sur cette fenêtre :

L'image “http://img389.imageshack.us/img389/6527/gmailaim2bv9.png” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

... à partir de laquelle on peut se connecter à AIM.

... une fois connecté, voici ce que vous obtiendrez :

L'image “http://img463.imageshack.us/img463/336/gmailaim4sn9.png” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.
(Le message indique que la correspondance avec vos contacts AIM s'est bien effectuée et légende les images d'états)

Dans votre GTalk, c'est cette petite bulle d'information qui s'affiche :

http://img390.imageshack.us/img390/5972/gmailaim3uk7.png

Bon tchat!

» About AIM in Gmail (document Google)

Gmail : libellés en couleur

Une petite mise à jour, passée discrètement, mais qui n'en est pas moins des plus utiles ! Toujours sur la version US de Gmail.

Google a en effet sensiblement amélioré la fonction "Libellés" dans Gmail. Pour rappel, les libellés permettent de filtrer intelligemment (selon plusieurs critères) vos e-mails. Ainsi, si vous souhaitez retrouver rapidement tous vos e-mails des différentes newsletters auxquelles vous êtes abonné, il suffit de créer le libellé 'Newsletter', par exemple, puis de créer de règles de filtrage, en fonction du sujet "newsletter", du contenu "newsletter" voire de l'expéditeur.

Jusqu'à aujourd'hui, ces libellés s'affichaient sans qu'on puisse véritablement les distinguer, étant donné qu'ils avaient tous la même couleur.

Désormais, Google autorise la "colorisation" de vos différents libellés. Vraiment mieux pour pouvoir les distinguer.

Image Hosted by ImageShack.us
A droite se trouvent des flèches lorsqu'aucune couleur n'est sélectionnée. En cliquant sur une flèche, plusieurs styles apparaissent.

L'image “http://img142.imageshack.us/img142/7715/labels2uv4.png” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

Autre nouveauté, liée avec les libellés, la possibilité de voir dans un e-mail à quel(s) libellé(s) celui-ci appartient. On peut voir dans quelle boîte il se trouve (Boite de réception, spam, brouillon...) et aussi de définir que cet e-mail ne doit pas se trouver dans tel ou tel libellé.

L'image “http://img158.imageshack.us/img158/7605/labels3qk4.png” ne peut être affichée car elle contient des erreurs.

En cliquant sur le nom du libellé, on lance une recherche sur tous ces libellés. En cliquant sur la croix, on retire cet e-mail de la liste dans laquelle il a été "labellisé".