dimanche 27 avril 2008

Google : la marque la plus puissante au monde

Pour la deuxième année consécutive, la marque Google est intronisée marque la plus populaire voire puissante du monde.

C’est donc la deuxième année consécutive que Google peut s’enorgueillir d’être la marque la plus populaire au monde, du moins si l’on s’en réfère au classement établi par la société d’études en marketing, Millward Brown Optimor. Il ne s’agit toutefois là que de la troisième publication du genre, la première ayant consacré Microsoft qui ne récupèrera donc pas la médaille d’or en 2008.

Pour classer les 100 marques, la donnée financière a été prise en compte d’où finalement le titre ronflant de marque la puissante au monde. Plus précisément, les critères principaux pour établir ce classement ont été :
  • Dynamisme : gains financiers générés grâce à la marque
  • Recettes : résultats financiers de l'entreprise possédant la marque
  • Contribution : influence de la marque sur la décision d'achat des consommateurs (sondage auprès de plus d'un million de personnes)
Le Top 10 tous secteurs confondus :

Google : 86,057 (valeur en milliards de dollars)
General Electric : 71,379
Microsoft : 70,887
Coca-Cola : 58,208
China Mobile : 57,225
IBM : 55,335
Apple : 55,206
McDonald’s : 49,449
Nokia : 43,975
Malboro : 37,324

Concernant le domaine de la High-Tech, on retrouve notamment HP à la 16ème place, Cisco à la 22ème, Oracle à la 26ème, Intel à la 27ème et SAP à la 28ème . A noter également la 50ème place d’Orange (14,093 milliards de dollars).

» Classement complet

Texte : GNT

vendredi 18 avril 2008

Google réalise un 1er trimestre 2008 solide

Google défie les sceptiques avec des résultats trimestriels solides. Le bénéfice net de la multinationale a augmenté de 30% à 1,31 milliard de dollars au premier trimestre 2008, ou 4,12 dollars par action, contre 1 milliard de dollars, ou 3,18 dollars par action à la même période il y a un an.

Quant à son chiffre d'affaires, hors commissions reversées aux sites partenaires, il a augmenté de 46% à 3,7 milliards de dollars. Ce résultat est supérieur aux 3,59 milliards de dollars attendus par les analystes, indique Bloomberg. Malgré les inquiétudes concernant l'activité publicitaire de Google, les revenus générés par les liens/bannières placés sur le moteur ont augmenté de 49%. Moins impressionnantes, les recettes provenant des bannières placées sur les sites partenaires de Google ont augmenté de 25%.

Enfin, l'activité de Google hors des Etats-Unis représente désormais 51% du CA du moteur de recherche et spécialiste des liens sponsorisés. Résultat des courses, Google a rassuré Wall Street. A l'annonce des résultats, jeudi soir, l'action Gooogle a gagné près de 20% en après bourse pour atteindre 533,50 dollars.

Texte : Clubic

Yahoo! favorable à un partenariat avec Google

Yahoo! continue de faire parler de lui et de son histoire pour le moins tumultueuse avec Microsoft.

Après avoir refusé plus d’une fois la proposition de rachat de ce dernier, le voilà sur le point de signer un partenariat de longue durée avec Google, son concurrent historique.

Yahoo ! va vers Google pour fuir Microsoft

Voilà qui va bien au-delà de la simple provocation envers le géant des logiciels. Yahoo!, après avoir refusé l’offre de près de 45 milliards de dollars de Microsoft, est donc sur le point de signer un partenariat avec un autre concurrent : Google. Les deux entreprises ont déjà testé un partenariat publicitaire durant une quinzaine de jours, afin de tester la viabilité d’un tel accord. Aujourd’hui, le Wall Street Journal révèle que Yahoo! serait intéressé par un partenariat de plus longue durée avec Google.

Les deux entreprises se sont rapprochées alors que Microsoft se montrait pressant dans son désir de racheter Yahoo! Pendant, Microsoft est parti demander et obtenir le soutien de News Corp., réseau propriétaire de MySpace. Un partenariat entre Google et Yahoo! pourrait donc bien compromettre les plans de Microsoft…

Texte : IDN

TF1 demande 100 millions d'euros à YouTube

Au lendemain de la “victoire” de Dailymotion dans l’affaire qui l’opposait à Jean-Yves Lafesse, voilà une nouvelle procédure qui risque de faire beaucoup de bruit : TF1 attaque officiellement YouTube et réclame 100 millions de dommages et intérêts au leader mondial du partage de vidéos en ligne.

Déjà au mois de décembre TF1 a porté plainte contre Dailymotion et avait alors demandé près de 40 millions de dommages et intérêts au site français. Pourquoi de telles actions ?

Une exclusivité mise à mal

Nos confrères des Echos révèlent que Les premières rumeurs d’une telle action en justice remontent au mois de décembre dernier.

Un porte-parole de YouTube confirme la nouvelle aux Echos : « nous avons reçu cette plainte il y a quelques jours en Californie mais le jugement aura lieu devant le tribunal de grande instance de Paris. »

TF1 reproche à YouTube de laisser en ligne des vidéos provenant de programmes (productions maison comme séries) dont la chaîne a bien évidemment l’exclusivité. TF1 espère cette fois arriver à faire changer les mentalités même si la chaîne va devoir justifier la somme de 100 millions d’euros qu’elle réclame.

Un précédent existe. L’an passé, Viacom (qui détient entre autre la Paramount et Dreamworks) avait demandé un milliard de dollars a YouTube. Résultat : la justice ne lui a rien accordé du tout ! TF1 arrivera-t-elle à inverser la tendance ?

Texte : IDN

mercredi 16 avril 2008

Google à la chasse aux pédophiles

Le moteur de recherche Google a annoncé la mise en place d’un nouveau type de filtre sur ses services de recherche d’images et de vidéos.

Celui-ci se concentre sur les contenus pédopornographiques, et devrait notamment servir au National Center for Missing and Exploited Children (NCMEC).

Google fournit des outils au NCMEC

Google espère donc par ce biais non seulement faire reculer les contenus pédopornographiques sur Internet, mais également remonter la trace des pédophiles qui auraient posté ces contenus. « Une de nos forces ici à Google est notre capacité à traiter une grande quantité d’informations — qu’il s’agisse texte, des images, de l’audio ou de la vidéo — et de les rendre plus utiles et accessibles pour les utilisateurs. En tant que membre du groupe de recherche de Google, j’ai réalisé que le NCMEC a besoin de nos compétences en matière de recherche », explique Shumeet Baluja, chercheur chez Google, sur le blog de Google.

Chaque semaine, le NCMEC répertorie un grand nombre de fichiers pédopornographiques, qui peuvent être réutilisés pour confondre un pédophile en justice ou retrouver des enfants disparus. Le partenariat qui le lie à Google va donc permettre une meilleure recherche de ces fichiers. « Les criminels ont recours à des technologies de pointe pour commettre leurs méfaits, dans l’exploitation sexuelle d’enfants, et pour résoudre cette situation et protéger les enfants, nous devons nous servir des mêmes armes », indique Ernie Allen, CEO du NCMEC.

Texte : IDN

jeudi 10 avril 2008

Le navigateur Opera Mini bientôt sur Google Android

Opera Software annonce avoir développé une version de son navigateur mobile Opera Mini pour la future plate-forme Google Android.

Opera Mini est un navigateur mobile Java gratuit compatible avec un très grand nombre de téléphones portables et téléchargé plus de 40 millions de fois dans le monde. Sa force réside dans cette souplesse d'utilisation touchant à la fois les smartphones et les téléphones portables grand public, et dans le suivi de son développement, qui lui assure des améliorations régulières.

Et Opera Mini ne devrait pas s'arrêter en si bon chemin puisque son éditeur vient d'annoncer une pré-version de son navigateur mobile destinée à fonctionner sur la future plate-forme Linux Google Android. Les développeurs sont ainsi invités à tester cette mouture et à faire remonter des commentaires pour l'améliorer.

En attendant les premiers terminaux
Si les premiers terminaux mobiles Android ne verront pas le jour avant le deuxième semestre 2008, Opera Software pourra proposer dès leur lancement une alternative pratique aux navigateurs mobiles plus lourds des smartphones. Cette initiative repose également sur la volonté d'être présent sur à peu près tous les systèmes d'exploitation du marché.

Opera Software indique que le même code a été employé pour cette version spéciale, les APIs JavaME ayant été transcrites en APIs Android via l'outil open source MicroEmulator, ce qui était facilité par le fait que le chef de projet d' Opera Mini Android est aussi le développeur principal de l'outil.

Opera Mini Mobile est livré en l'état et n'a pas été testé dans d'autres conditions que celles de l'émulateur fourni dans le kit de développement. La question de la réactivité du navigateur sur du vrai matériel utilisant Android reste donc pour le moment sans réponse.

Texte : GNT

mercredi 9 avril 2008

Pour résister à Microsoft, Yahoo! teste une alliance avec son rival Google

En nouant un début de partenariat avec son rival Google, le groupe internet Yahoo! joue son va-tout pour pousser Microsoft à relever son offre d'achat, trois jours après que le géant du logiciel lui eut lancé un ultimatum.

Yahoo! intègrera dans les pages de son moteur de recherche des publicités placées par Google, pendant un test de deux semaines au plus, qui sera limité au site américain Yahoo.com et ne concernera pas plus de 3% des recherches effectuées sur Yahoo!, a précisé le groupe mercredi.

Dans un accord de ce genre, selon le WSJ, Yahoo! gardera la majorité des recettes et Google une minorité à titre de commission.

Yahoo! n'a pas caché que cet accord s'inscrivait dans sa "recherche d'alternatives stratégiques" à l'offre d'achat de Microsoft.

Microsoft a proposé le 1er février de racheter Yahoo! moitié en cash moitié en actions, pour un montant correspondant à environ 29 dollars par action (au cours actuel de Microsoft), soit un total d'environ 42 milliards de dollars.

[...]

Devant le refus obstiné de Yahoo! qui juge l'offre trop basse, Microsoft a haussé le ton le week-end dernier en donnant à la direction de Yahoo! trois semaines pour accepter, et menacé sinon de diminuer son offre.

En répliquant par une ébauche de partenariat avec Google - grand rival à la fois de Yahoo! et Microsoft - le groupe californien montre sa capacité de résistance, sachant qu'un tel partenariat serait pour lui une vraie source de revenus supplémentaires.

[...]

Une demie-heure après cette annonce, Microsoft a répliqué en jugeant anti-concurrentiel un partenariat Yahoo!-Google sur la publicité en ligne.

"Tout accord définitif entre Yahoo! et Google concentrerait dans les mains de Google 90% du marché des publicités placées à côté des recherches sur internet", a averti le directeur juridique de Microsoft Brad Smith.

"Cela rendrait le marché bien moins concurrentiel, en contraste flagrant avec notre proposition d'acquérir Yahoo!", a-t-il poursuivi.

Selon le cabinet Comscore, sur les 10 milliards de recherches sur internet en février 2008 aux Etats-Unis, Google a représenté 59,2% et Yahoo! 21,6%. Ensemble, ils détiennent 80,8% du marché américain des recherches sur internet.

L'extrême modestie de ce partenariat n'empêcherait pas une éventuelle vente de Yahoo! à Microsoft mais Yahoo! cherche encore d'autres solutions, selon une source proche du dossier citée par le Wall Street Journal.

[...]

Les analystes sont partagés sur l'issue finale de ce bras de fer, mais beaucoup pensent que les actionnaires de Yahoo! accepteront le prix initial offert par Microsoft, de peur que cette offre diminue ou disparaisse et que l'action Yahoo! retombe à son niveau de fin janvier, soit 19,18 dollars. L'action a clôturé mercredi à 27,77 dollars.

Texte : 20Minutes

Google Earth pointe les camps de réfugiés gérés par l'Onu

Google Earth, le service de cartographie du premier moteur de recherche, tente de convaincre les experts des Nations unies qu'il pourrait permettre d'éveiller les consciences sur la situation dans les camps de réfugiés à travers le monde et, potentiellement, de drainer des fonds.

Les utilisateurs du site, sur lequel on peut visionner des images en trois dimensions et zoomer sur des lieux géographiques, peuvent désormais découvrir des plans resserrés de camps de réfugiés gérés par l'Onu et des projets humanitaires en cours.

Rebecca Moore, qui dirige Earth Outreach chez Google, a déclaré que les photos en haute définition des zones en crise permettaient de sensibiliser un large public qui, sans ce service, ne les aurait jamais vues.

Parmi les 350 millions de personnes qui ont téléchargé Google Earth, beaucoup l'utilisent pour scruter leur destination de vacances ou pour découvrir d'autres endroits du monde vus du ciel. Les images satellites sont en général actualisées tous les mois, mais pour certains endroits il n'existe aucune photo publique.

Moore a plaidé pour Google Earth devant des spécialistes de l'aide humanitaire réunis au siège du Haut commissariat des Nations unies pour les Réfugiés (HCR), arguant que des interviews vidéo de réfugiés, des photos de déplacés et des textes pédagogiques pouvaient être ajoutés en toile de fond pour informer les visiteurs.

"Utilisez Google pour raconter votre histoire", leur a-t-elle dit.

Tout en zoomant sur des images de camps de réfugiés au Tchad, en Irak et en Colombie - à des degrés divers de précision qui vont du relief général aux tentes -, Moore a déclaré que les développeurs avaient d'abord conçu cet outil comme "l'ultime jeu vidéo".

Puis, a-t-elle dit, "nous avons réalisé que Google Earth avait le potentiel pour être un outil beaucoup important et éloquent".

Crises
L'ancienne présidente irlandaise Mary Robinson, qui a également travaillé comme Haut commissaire de l'Onu pour les Droits de l'homme, a déclaré que la technologie pouvait aider le public à mieux comprendre les crises liées aux personnes déplacées.

"Nous avons besoin de tous les moyens de communication possibles pour changer la dynamique, pour que cela devienne quelque chose de très personnel", a-t-elle déclaré lors de la conférence par vidéo.

Karl Steinacker, qui dirige la section information et coordination du HCR, a déclaré que le commissariat cherchait à "systématiquement dresser la carte" des quelque 150 camps de réfugiés qu'il gère.

"C'est la première fois que nous utilisons ces cartes pour informer le public", a-t-il dit, remarquant que les responsables du HCR utiliseraient également ces données pour s'assurer que les camps sont bien conçus et qu'ils fonctionnent bien.

Ces images, qui ne sont pas des transmissions en direct, permettent aussi de survoler des zones de troubles, comme celles où les viols sont fréquents ou celles touchées par le paludisme, a dit Steinacker.

Certains experts de l'Onu ont estimé que les images satellites pourraient permettre au personnel humanitaire de suivre les déplacements des communautés de réfugiés et de voir où l'aide doit être distribuée. Mais d'autres ont fait valoir que cet outil ne serait pas très utile sur le terrain où il n'y a pas d'accès à l'internet haut débit.

Texte : 01men

Avec son « App Engine », Google veut attirer les développeurs d’applications

Face à Microsoft ou dans une moindre mesure Facebook, Google poursuit son offensive pour attirer les développeurs d'applications. Après son moteur ‘Google Code' ou l'initiative ‘Open Social', la firme vient d'officialiser la naissance de son ‘App Engine', un environnement permettant d'héberger une application sur sa propre infrastructure.

Réservé dans un premier temps à 10 000 développeurs et proposant 500 Mo de Stockage pour un trafic maximal de 5 millions de pages vues, ce « moteur » n'accueille pour le moment que les applications programmées en Python 2.5 et exploitant la base de données ‘Big Table', deux des technologies utilisées par les propres équipes de Google.

Création de trafic, Monétisation et désormais hébergement d'applications... Google confirme en tout cas son ambition de devenir un acteur global de l'internet. Une ambition d'ailleurs également partagée par Amazon, une société historiquement présente dans le commerce électronique mais qui propose également la mutualisation de sa propre infrastructure informatique via des webservices tels que EC2 (Elastic Compute Cloud ) ou S3 (Simple Storage Service).

lundi 7 avril 2008

Google Email Uploader : transfert de mails et contacts

Google Email Uploader est un nouveau logiciel de Google qui permet de transférer vers Gmail tous vos e-mails et vos contacts à partir de vos comptes Outlook ou Thunderbird.

Il est à noter que ce programme n'est utilisable à la seule condition de posséder un compte Google Apps (pas Gmail). Ceci étant, un compte de ce type est totalement gratuit.

Pour fonctionner, vous devez être équipé au minimum :
  • Windows XP
  • Outlook 2003
  • Un compte Google Apps
» Google Email Uplader
» Google Apps
» Google Apps Edition Standard

Source : AccessOWeb

Les Rolling Stones et YouTube lancent une chaîne musicale

Les Rolling Stones et YouTube se sont associés pour lancer une nouvelle chaîne de divertissement à prédominance musicale sur le célèbre site de partage de vidéos.

Selon un communiqué du groupe britannique et de la maison de disques Universal, les fans peuvent mettre en ligne sur cette chaîne baptisée Living Legends des questions à destination des Stones sur "Shine a Light", un nouveau documentaire sur les vétérans du rocks réalisé par Martin Scorsese, ainsi que sur "toute autre question brûlante".

Les meilleures questions publiées sur cette plate-forme feront l'objet d'une réponse personnelle de la part de Mick Jagger ou Keith Richards et les images inédites des Rolling Stones ainsi produites seront ensuite visibles en exclusivité à l'adresse www.youtube.com/livinglegends pendant quelques semaines.

Un petit vidéo clip de Jagger et Richards fait la promotion de la chaîne sur la page d'accueil de YouTube aux Etats-Unis et dans une grande partie de l'Europe et de l'Asie.

Les Rolling Stones sont le premier groupe à participer à Living Legends, une chaîne sur internet lancée par YouTube, qui invite des stars de la musique du monde entier à y communiquer avec leurs fans.

Texte : 01men

Google : nouvelle version de Gtalk avec alertes services

Google vient de mettre en ligne une nouvelle version de son client de messagerie instantanée, Gtalk. Rappelons que Google utilise le protocole de communication Jabber pour ses échanges textuels. La nouvelle version est intitulée Labs Edition et est un peu particulière.

L’éditeur a en effet fait le choix étrange de donner à son logiciel la même apparence que la fonction incluse dans Gmail. Même si le look de l’application est du coup relativement spartiate, les utilisateurs seront peut-être rassurés par l’apparence cohérente du client logiciel et de sa version en ligne.

Gtalk Labs Edition n’ajoute pas de fonctionnalités à la messagerie, mais sera capable par contre d’afficher les alertes pour les services Gmail, Calendar et Orkut, le réseau social made in Google. On notera tout de même que la même fenêtre sert pour la liste des contacts et les conversations, le tout étant disposé dans des onglets.

Texte : PC INpact

dimanche 6 avril 2008

La recherche universelle de Google va-t-elle changer les règles du référencement ?

« Créer un site internet est une chose, attirer les internautes dessus en est une autre et tous les leviers du webmarketing ne se valent pas. Comme l'a récemment montré une étude Xiti Monitor, la principale source de trafic reste les liens depuis l'index naturel des moteurs de recherche, une source à l'origine de 33,6% du trafic des sites web contre 32,5% pour les accès directs (saisie de l'URL dans son navigateur), 13,3% pour les liens depuis d'autres sites web et 12,2% pour les liens sponsorisés, un format publicitaire lui même contrôlé par les moteurs de recherche comme Google, générant à lui tout seul près de 83% de ce trafic. »

Une très bonne étude de ce qui va changer avec la recherche universelle de Google sur le site NetEco.

» Accéder à la page

samedi 5 avril 2008

Google Maps a désormais son blog

Google France vient de lancer BloGoMaps, le Blog désormais officiel de Google Maps.

À travers ce nouveau site, les passionnés de cartographie et utilisateurs réguliers de Google Maps vont pouvoir avoir accès à des informations pratiques et des trucs pour mieux utiliser ce service au quotidien.

Conseils et partage... à sens unique

Plans, services, itinéraires, BloGoMaps est là pour vous renseigner sur toutes les nouveautés liées à Google Maps, et la meilleure manière de l’aborder, sur votre ordinateur ou en version mobile.

Les responsables du blog nous annoncent leur volonté de partager avec les utilisateurs de Google Maps toutes les dernières fonctionnalités du service et de leur donner fréquemment des conseils pratiques, afin de les aider à trouver plus rapidement et facilement l’information qu’ils cherchent (un commerce, une simple adresse ou un itinéraire).

Le blog est tout neuf et ne comporte pour le moment que deux billets, mais il devrait rapidement devenir un favori pour les fans du service de cartographie de Google.

Il est tout de même regrettable que pour le moment nous ne puissions pas poster de commentaires. Laissons-lui le temps d’évoluer, doucement...

Texte : IDN

jeudi 3 avril 2008

Google veut vendre l'unité marketing de recherche de DoubleClick

Google veut scinder en deux la branche marketing de DoubleClick, Performics, pour séparer les activités de marketing traditionnelles de celles spécifiquement liées aux moteurs de recherche, afin de vendre ces dernières.

Performics est basé à Chicago et emploie quelque 200 personnes sur les 1.500 salariés que compte DoubleClick, la régie publicitaire en ligne rachetée par Google l'an dernier pour 3,4 milliards de dollars (2,2 milliards d'euros).

Tom Phillips, en charge de l'intégration de DoubleClick à Google, a indiqué que le leader mondial de la recherche sur internet voulait céder cette activité pour effacer la perception selon laquelle Google pourrait favoriser cette unité dans les résultats des requêtes lancées sur son moteur.

"Il est clair pour nous que nous ne voulons pas être sur le marché du marketing liées aux moteurs de recherche", a écrit Phillips. "Maintenir son objectivité à la fois en matière de recherche et de marketing est une mission clé pour Google et un élément central de la confiance que nous sollicitions vis à vis de nos utilisateurs".

L'activité de marketing traditionnelle continuera à réaliser des opérations de DoubleClick sur le web.

Le marketing lié aux moteurs de recherche consiste à choisir des mots clés vers lesquels pointent des liens publicitaires ciblés lorsque ces mots font l'objet de requêtes.

DoubleClick envisage de continuer à exercer cette activité de manière indépendante, jusqu'à ce qu'elle soit vendue.

La consolidation à l'oeuvre sur le marché de la publicité en ligne a fait naître des inquiétudes parmi les publicitaires quant au pouvoir de croissant dans ce secteur de Google et Microsoft.

Ce dernier a acquis l'année dernière aQuantive, le rival de DoubleClick, pour quelque six milliards de dollars (3,9 milliards d'euros) et vient de lancer une offre de plus de 40 milliards de dollars (25,7 milliards d'euros) sur Yahoo.

En début d'année, Advertising Age a publié une contribution de l'analyste Danny Sullivan égratignant Google et les conflits d'intérêt potentiels entre son activité de recherche sur internet et l'activité de marketing liée aux moteurs de recherche de Performics.

"Est-il normal que Google contrôle une société dont l'activité est d'améliorer le placement publicitaire sur Google ?", s'y interrogeait-il.

Sullivan a salué sur son blog Search Engine Land la décision de Google de vendre cette unité et a appelé Microsoft à en faire autant avec Avenue A/Razorfish, acquis en même temps qu'aQuantive.

Texte : 01men

mercredi 2 avril 2008

Fitna provoque le blocage de YouTube en Indonésie

Des extraits du film polémique sur le Coran de Geert Wilders sont disponibles via YouTube. L'Indonésie demande à ses FAI de prendre les mesures qu'elle juge nécessaire en bloquant l'accès au site de Google.

Le court-métrage Fitna n'en finit pas de susciter la polémique, ce dont son réalisateur le député néerlandais d'extrême droite Geert Wilders, devait bien évidemment se douter. Après la suspension temporaire (toujours effective) de son site où il escomptait diffuser son film d'une quinzaine de minutes liant terrorisme et islam et demandant l'interdiction du Coran, Wilders est parvenu à ses fins par l'entremise d'un site d'échange de vidéos britannique souvent peu regardant quant à le teneur du contenu proposé. Sans grande surprise, des extraits de Fitna sont désormais disponibles sur le populaire YouTube.

L'Indonésie bloque YouTube à cause de Fitna
Pour le gouvernement indonésien qui a interdit la diffusion de Fitna, cette situation semble intolérable. Alors que les manifestations hostiles de radicaux musulmans se multiplient devant l'ambassade des Pays-Bas située dans la capitale Jakarta, le ministre de l'Information a pris sa plume pour demander à YouTube le retrait du film ou de ses extraits. L'agence de presse Reuters rapporte par ailleurs que les autorités indonésiennes ont également demandé aux fournisseurs d'accès à Internet de bloquer l'accès à YouTube. Une mesure dont la mise en oeuvre a débuté même si pour l'heure, plusieurs abonnés au principal FAI du pays, PT Telekomunikasi Indonesia, ont indiqué que ce blocage n'était pas effectif.

Si l'Indonésie est le pays le plus peuplé du monde musulman, c'est aussi une ancienne colonie des Pays-Bas. Les manifestations hostiles à l'égard de Fitna ont pour le moment été d'une faible ampleur mais il est à craindre que d'autres pays soient gagnés par la violence.

Texte : GNT

Google perd un troisième dirigeant

Un nouveau dirigeant de Google vient de remettre sa démission, cette fois-ci pour rejoindre la maison de disques britannique EMI Music.

La démission de Douglas Merrill, vice-président chargé de l'ingéniérie, est la troisième à survenir depuis la fin de l'été parmi les hauts dirigeants de l'entreprise californienne.

Le mois dernier, Sheryl Sandberg a laissé son poste de vice-présidente chargée des ventes et des opérations pour devenir chef des opérations chez Facebook. En août, c'est George Reyes, le directeur financier de Google, qui a annoncé son départ.

Selon le New York Times, les trois démissions s'ajoutent à une série de départs dans les derniers mois de plusieurs autres ingénieurs et gestionnaires. Google nie cependant qu'il y a actuellement un exode de ses employés. « Nous attirons quotidiennement des gens immensément talentueux », a déclaré l'entreprise dans un communiqué de presse.

Chez Google, Douglas Merrill s'occupait notamment du système de paiement en ligne Checkout. Chez EMI, il deviendra le président du secteur numérique. Il devra notamment s'assurer que la maison de disques trouve de nouvelles façons d'être rentable, alors que les ventes de CD continuent de chuter et que certains artistes comme Radiohead ou Paul McCartney décident de ne pas renouveler leurs contrats.

Texte : Branchez-vous!

Google veut-il s'offrir Skype ?

Selon de nombreuses sources proches du dossier, Google négocierait avec eBay pour racheter ou créer un partenariat autour du plus connu des logiciels de VoIP.

Google va-t-il étendre son empire à la VoIP ? C'est ce qui se murmure ce mercredi aux Etats-Unis puisque la firme de Mountain View serait entrée en contact avec eBay, qui possède Skype depuis 2005.

Deux hypothèses sont avancées : le rachat pur et simple du leader des communications VoIP (on parle d'une offre de 6 milliards de dollars) ou la mise en place d'un partenariat solide, technologique et commercial.

Véritable épine dans le pied dans eBay, Skype n'est pas la poule aux oeufs d'or qu'attendaient les propriétaires du plus populaire des sites d'enchères.

Au contraire, leur filiale a toutes les peines du monde à faire du profit et pèse sur les comptes de eBay. S'en débarrasser à bon prix sera donc une bonne affaire, sachant qu'eBay avait déboursé 3,1 milliards de dollars en 2005 pour l'acquérir.

L'autre solution consisterait dans un partenariat entre Google et Skype, principalement autour de la publicité.

Entre les clients de Skype et les annonceurs de Google, l'alchimie peut facilement se faire et les profits seraient conséquents pour les deux sociétés.

Texte : CNET France

Google Docs, accessible hors connexion

Google va rendre opérationnel Google Documents en mode déconnecté.

Le géant américain va intégrer dans les prochaines semaines Google Gears, une API Open Source et multiplateforme, à ses Google Docs. Les utilisateurs pourront éditer leurs fichiers textes sur leur ordinateur, sans avoir besoin d'être connecté à Internet, grâce à la technologie Google Gears (qui développe des applications accessibles hors connexion) que l'utilisateur devra télécharger.

Les changements apportés à un document sont stockés temporairement sur le disque dur de l'ordinateur. L'API JavaScript gérera ensuite l'exécution locale et la synchronisation avec le serveur, une fois que l'ordinateur est reconnecté à Internet. Les modifications effectuées seront alors automatiquement synchronisées entre l'ordinateur et les serveurs de Google.

Cette solution s'avère pratique lorsque l'ordinateur est coupé du réseau, lors de transports en avion ou en train. GOOGLE souhaite « permettre à davantage d'applications et d'outils Internet d'être accessibles lorsque aucune connexion Internet n'est disponible ». Google Calendar et Google Mail devraient également être disponibles hors connexion à l'avenir.

Texte : Le Figaro