vendredi 29 février 2008

YouTube : bientôt du direct et des pages personnalisées

Mashable France nous dit que « Cela fait longtemps que c’était au programme, c’est désormais officiel (mais toujours en phase d’expérimentation) : YouTube prépare le lancement des pages personnalisées [...] donnant un accès centralisé à votre expérience sur YouTube (recommandations à partir de vos abonnements, feed d’activité de vos contacts, favoris, chaîne, commentaires…) »

Et l'on apprend aussi que YouTube proposera bientôt du contenu en direct. Steve Chen CTO et cofondateur du site d’hébergement vidéo l’annonce clairement : « Diffuser du contenu en direct, c’est quelque chose que nous avons toujours voulu faire. Nous n’en avions cependant jamais eu les ressources nécessaires, mais maintenant, grâce à Google, nous espérons pouvoir le faire cette année. » (traduction : PC INpact)

N'oublions pas que Microsoft, avec LiveStation, et Yahoo!, avec Yahoo! Live disposent du même type de service.

Google : numéro de téléphone et courrier vocal pour les SDF

Google se prépare à fournir un numéro de téléphone gratuit et un courrier électronique vocal aux sans-domiciles fixes de San Francisco, et ce pour toute leur vie.

Le programme est issu d'une collaboration entre le service téléphonique Grand Central de Google et le programme PHC (Project Homeless Connect) du maire de la ville, Gavin Newsom. Cette initiative de solidarité sociale fut lancée mardi dernier à San Francisco.

« La mise à disposition du téléphone et du courrier [...] est un extraordinaire pas en avant dans la volonté de la ville de combler intelligemment les besoins de cette communauté vulnérable » explique le maire de San Francisco, qui souhaite aussi et surtout trouver un logement pour les SDF de sa ville.

Selon Newsom, le téléphone et le courrier permettront aux SDF d'être plus autonomes, tout en favorisant leur intégration dans la société. Ces derniers pourront ainsi écouter leurs messages électroniques et téléphoniques à partir de n'importe quel téléphone.

« Nous croyons fermement aux capacités de la technologie pour l'amélioration de la vie quotidienne des individus et de la société, et nous pensons que l'accès au téléphone et au courrier vocal est un moyen pour Google d'aider les SDF de San Francisco à rester en contact avec leur famille, leurs amis, les travailleurs sociaux et médicaux, et avec de potentiels employeurs » explique Craig Walker, chez Google.

Texte : PC INpact

Feedburner s’intègre à Google et offrira plus de fonctionnalités

Presque un an après son acquisition par Google, Feedburner sera bientôt complètement intégré aux services de Google. Cette intégration permettra l’utilisation de l’identité Google pour accéder à votre compte Feedburner et apportera son lot de nouvelles fonctionnalités.

Une fois l’intégration complétée, Feedburner devait étendre son service « Ad Network » qui permet de pousser de la publicité sur son flux RSS à l’ensemble des abonnés. De plus, Feddburner améliorera son service de courriel. Lorsque l’un de vos lecteurs s’abonne à votre flux, il a toujours le choix de s’abonner au flux directement ou encore de le recevoir par courriel.

Or, bien que certaines configurations et personnalisations des courriels transmis à vos abonnés soient possibles, ce service est tout de même assez limité en terme de fonctionnalités. Feedburner promet donc l’ajout prochain d’un bon nombre de fonctionnalités à son service de courriel. Vous pourrez entre autre importer une liste d’adresses courriel sur Feedburner.

Curieusement, ce matin, le compteur de Feedburner est nettement à la baisse sur l’ensemble de la blogosphère. [...]

Texte : Benoît Descary

Google Talk lance Chatback

Chatback est une nouvelle fonctionnalité pour Google Talk vous permettant d’intégrer un widget sur votre blog/site connecté directement à votre compte et permettant à vos lecteurs de vous envoyer des messages (sans avoir à disposer de compte Gtalk) qui s’ouvrent dans une nouvelle fenêtre.

Afin d’installer le widget, il vous suffit de copier/coller le code directement à cette adresse, et si vous vous inquiétez du nombre de messages que vous êtes susceptibles de recevoir, changez votre statut en “busy” et vous n’en recevrez aucun.

Texte : Mashable France

Google présente un service de stockage des données médicales

Le directeur général de Google, Eric Schmidt, a présenté lors d'une conférence en Floride son service "Google Health" (Google Santé) destiné à aider les patients à mieux contrôler leurs dossiers médicaux et à favoriser le partage sécurisé des données médicales entre les professionnels de santé.

Ce service en ligne, protégé par un mot de passe, permet de stocker des données médicales comme les antécédents médicaux, les traitements suivis ou encore les résultats d'analyses. "Les informations contenues dans votre dossier médical vous appartiennent et ne seront pas partagées avec qui que ce soit sans votre permission", a insisté Eric Schmidt.

Google Health concrétise l'entrée du géant de l'internet dans le champ très sensible de la santé, une perspective qui faisait depuis longtemps l'objet de rumeurs.

Le numéro un mondial de la recherche en ligne, qui tire la majorité de ses revenus de la publicité sur internet, ne prévoit pas de vendre des espaces publicitaires sur Google Health et projette de financer indirectement ce service lorsque les internautes recherchent d'autres informations médicales.

Google avait annoncé la semaine dernière un partenariat avec des chercheurs de la Cleveland Clinic pour tester un système de partage sécurisé des données et le contrôle du stockage des informations est placé sous la responsabilité du patient. Le groupe avait préciser que quelques mois seraient sans doute nécessaires avant de pouvoir proposer plus largement ce service.

Des accords ont également été conclus avec des établissements hospitaliers et différentes entreprises, dont le laboratoire Quest Diagnostics, les sociétés d'assurance santé Aetna et Walgreens, ainsi que les pharmacies du distributeur Walmart.

Craintes sur la sécurité des données
Différentes entreprises comme IBM, Oracle, Siemens, Microsoft ou encore la start-up Revolution Health, fondée par Steve Case, ancien PDG d'AOL, ont déjà travaillé sur le développement d'un dossier médical numérique unique et centralisé destiné à remplacer les dossiers médicaux manuscrits des différents professionnels de santé. En France, le développement du dossier médical personnel (DMP) est assuré par un Groupement d'intérêt public, le GIP-DMP.

Selon Eric Schmidt, les freins au développement des dossiers médicaux numériques ont plus résidé dans le défaut de prise en compte des besoins des utilisateurs que dans les craintes concernant la confidentialité des données. Le patron de Google estime que ces services doivent être conçus dans l'optique d'une utilisation par une personne lambda et non pas être développés pour les médecins.

Des organisations de défense de la vie privée se sont empressées de condamner cette initiative. Howard Simon, de l'Union des libertés civiles de Floride, a ainsi déclaré que le stockage des données médicales était risqué, soulignant "qu'une faille de sécurité serait catastrophique".

Au contraire, Andrew Rocklin, de la société Diamond Management & Technology Consultants, qui compte parmi ses clients d'importantes sociétés d'assurance santé américaines, estime que les patients pourraient tirer avantage d'un contrôle accru des données de leurs dossiers médicaux, par exemple dans le cadre d'un programme d'exercice physique ou d'un régime.

Texte : 01men

jeudi 28 février 2008

Gmail : un bot sur cinq parvient à s'inscrire automatiquement

Avec l’avancée des technologies de sécurité vient également le renforcement des méthodes visant à les contourner. C’est ainsi que l’un des barrages sécuritaires les plus régulièrement rencontrés est le CAPTCHA, ou « Completely Automated Public Turing test to Tell Computers and Humans Apart » (test public de Turing complètement automatique ayant pour but de différencier les humains des ordinateurs). Il s’agit d’une série de caractères alphanumériques qui sont en général floutés, déformés ou noyés dans un « décors » visant à rendre leur lecture plus complexe.

Cette lecture reste très simple en général pour un cerveau humain. De même que ce dernier peut visuellement identifier un visage connu ou un animal et y adjoindre une information complète, l’identification par un ordinateur est bien moins simple. C’est ainsi que les CAPTCHA sont utilisés pour défendre les inscriptions automatiques à différents services, en particulier les webmails.

Et ce sont bien ces derniers qui connaissent aujourd’hui des problèmes. Il y a quelques semaines, le service Live Mail de Microsoft a commencé à accepter les inscriptions automatiques réalisées par des bots particulièrement puissants qui ont réussi à percer son CAPTCHA. Cette fois-ci, le problème ressurgit avec le service Gmail de Google, lui aussi victime des bots.

Gmail est une cible de choix, car il est interconnecté avec un grand nombre d’autres services de la société. De plus, le fait que le service soit de Google augmente les chances que les adresses « @gmail.com » ne finissent pas sur une liste noire. La gratuité et les bonnes performances de Gmail en font une cible de choix et la société de sécurité Websense estime maintenant qu’un bot sur cinq arrive à s’enregistrer.

Une des solutions serait de renforcer l’efficacité des CAPTCHA, mais plus ils sont difficiles à lire, plus l’utilisateur est pénalisé. D’autant que selon Websense toujours, les groupes de pirates qui créent les bots engageraient désormais des personnes pour les aider manuellement à créer des comptes sur Gmail, contre des espèces sonnantes et trébuchantes. Et effectivement, Gmail finit par trébucher, offrant de nouvelles possibilités aux spammeurs.

Il est tout à coup moins étonnant que Microsoft par exemple cherche d’autres voies pour l’identification humaine, comme l’exploitation d’une base de données immense de photos de chiens et de chats afin que l’utilisateur identifie les animaux au lieu d’un CAPTCHA traditionnel.

Texte : PC INpact

Google Sites, la création de sites basée sur JotSpot

Google a lancé mercredi un nouveau service de création de sites web collaboratifs, Google Sites, né de l'acquisition de JotSpot. Spécialisée dans les applications de publication de type wiki, cette jeune pousse californienne a été rachetée, à l'automne 2006, par Google.

Avec Google Sites, les utilisateurs qui ne disposent pas forcément de connaissances techniques peuvent créer leur site web, organiser et partager leurs documents en ligne, échanger les données issues d'applications Google, de Docs à YouTube. « Créer un site collectif devient aussi facile que d'éditer et de partager un document en ligne. L'utilisateur garde le contrôle de l'accès qui peut être limité à une personne, une équipe, une organisation ou resté libre », affirme Google.

L'application Google Sites, intégrée à la suite Google Apps, est accessible depuis n'importe quel ordinateur connecté à Internet. Les éditions 'standard' et 'education' de Google Apps (Sites, Docs, Talk, Calendar, Start Page) sont gratuites. La 'premier edition' est facturée 50 dollars par compte utilisateur et par an.

Avec ces applications, Google cherche à séduire une nouvelle génération d'utilisateurs au sein de l'entreprise et de la sphère éducative. Il n'est pas le seul ! Sur le marché des suites collaboratives en ligne, s'activent des acteurs comme IBM (Lotus), Microsoft (SharePoint), Yahoo (Zimbra), ContactOffice ou encore Novell (SiteScape).

Texte : Clubic

mercredi 27 février 2008

L'action Google baisse, craintes sur les recettes publicitaires

L'action Google est en nette baisse mardi à Wall Street, une étude récente ayant fait état d'une baisse des publicités vues sur son site, un indicateur déterminant pour les recettes publicitaires du géant américain de la recherche sur internet.

La société d'étude sur les audiences internet comScore a indiqué lundi que les pages et annonces publicitaires vues sur le site Google avaient baissé de 7% en janvier, par rapport au mois précédent, alors que dans l'intervalle, les recherches sur internet ont grimpé de 10% selon Youssef Squali, analyste chez Jefferies & Co.

Ce rapport pèse sur l'action, qui perd 5,65% à 459,07 dollars vers 18h20 GMT, dans des échanges très animés. Le titre a touché un plus bas de 446,85 dollars, soit une baisse de plus de 8%.

Des analystes soulignent que la correction est amplifiée par le fait que des courtiers ont abaissé leurs estimations de bénéfices et leurs objectifs de cours pour Google après la publication de l'étude.

Le titre a maintenant effacé près de 35% de sa valeur depuis le début de l'année, à l'image de l'ensemble des valeurs technologiques particulièrement affectées par la perspective du ralentissement économique américain.

Malgré cela, 29 brokers sont toujours à l'achat sur la Google, et seulement quatre recommandent de "conserver" le titre. L'objectif de cours moyen demeure quant à lui à 709,23 dollars, selon Reuters Estimates.

Texte : 01men

Vidéo : Gmail expliqué en russe



C'est tout un art, plutôt bien réussi.

mardi 26 février 2008

Google investit dans la fibre pour relier les États-Unis au Japon

La pieuvre Google ne cesse de déployer ses tentacules un peu partout. Après le Web, la bibliothèque numérique, la téléphonie mobile et l'énergie renouvelable, Google s'attaque désormais aux câbles sous-marins de fibre optique. Les prévisions d'un Net saturé dans les années à venir inquièteraient-elles Google ?

7,68 Terabits par seconde de bande passante

En collaboration avec cinq opérateurs asiatiques, à savoir Bharti Airtel (Indien), Global Transit (Malaisien), KDDI Corp (Japonais), Pacnet (Singapourien), et Singapore Telecommunications (ou SingTel), Google compte dépenser 300 millions de dollars afin de relier de câbles de fibre optique les États-Unis et le Japon.

Unity – nom donné à ce consortium – souhaite ainsi augmenter les capacités de trafic entre l'Asie et l'Amérique, de l'ordre de 20 % dans un premier temps, soit 7,68 Terabits par seconde de bande passante.

10 000 kilomètres de câbles seront déployés à l'aide des sociétés NEC Corporation et Tyco Telecommunications. Ces câbles devraient être opérationnels dans deux ans, au premier trimestre 2010 selon le communiqué officiel.

Google n'investira pas le marché des câbles sous-marins

Google, après avoir été pointé du doigt pour être l'un des plus grands responsables de la forte augmentation de bande passante ces dernières années, explosion de la vidéo oblige, commence donc à prendre le sujet au sérieux.

Reste que Google est ici propriétaire de ses lignes. De quoi permettre quelques économies à long terme, alors que Google loue déjà des câbles sous-marins. Pour autant, Google se défend de vouloir investir sérieusement un tel marché.

Texte : PC INpact

Finalement, le Pakistan débloque YouTube

On apprenait il y a quelques jours que le Pakistan avait demandé à ses FAI de bloquer le site de vidéos YouTube. Finalement, le gouvernement a levé son blocage : « Nous avons donné instruction à tous les fournisseurs d'internet de débloquer l'accès à YouTube parce que le contenu incriminé en a été retiré » a expliqué à l'AFP l'Autorité pakistanaise des Télécommunications (PTA).

Pourtant... en quelques secondes de recherche, on retrouve encore les vidéos interdites, des caricatures danoises de Mahomet, jugées blasphématoire aux yeux de l'État pakistanais.

Source : PC INpact

lundi 25 février 2008

Blocage de YouTube au Pakistan

Cette fois-ci le blocage est simplement une redirection de l'adresse http://youtube.com/* vers une autre, décidée par l'État et exécutée par les FAI du pays pour une durée indéfinie.

La raison ? Selon le gouvernement, il s'agit de documents et vidéos blasphématoires (vraisemblablement des caricatures danoises du prophète Mahomet ou des vidéos du députe islamophobe hollandais Geert Wilders). Ceci étant, aucune preuve n'a été fournie

Source : PC INpact

samedi 23 février 2008

Google : la nouvelle arme du parti républicain ?

Le parti républicain annonce qu'un accord aurait été trouvé avec Google pour la médiatisation de la prochaine convention qui élira le candidat aux prochaines élections Présidentielles.

Google serait-il devenu le nouvel outil de propagande du parti républicain ? Le débat fait rage ces derniers temps au pays de l’Oncle Sam, suite à la publication d'un communiqué du parti républicain se félicitant de l’accord trouvé avec le moteur de recherche pour la médiatisation de la prochaine convention républicaine.

Dans ce communiqué, le parti républicain annonce avoir choisi le moteur de recherche comme « fournisseur officiel d’informations » avec, en guise de contre-partie, une présence accrue du parti sur Internet et une promotion soutenue dans les différentes applications made in Google comme Youtube, Google earth ou Google Apps.

Cet accord avec Google a été conclu dans le dos des employés de Mountain View qui, selon un récent sondage, seraient plutôt favorables à la cause de Barack Obama, à l’image de Chad Hurley, créateur de YouTube et donateur pour la campagne du sénateur de l’Illinois.

Il n’en fallait pas plus pour que bon nombre d’Américains crient au loup comme un certain Matthew Lee, un webmaster dont le site traite de la corruption au sein de l' ONU, qui s’en est violemment pris au moteur de recherche dans l'un de ses articles. Dans un reportage diffusé par la chaîne Fox News, Lee affirme qu’il aurait été victime de censure de la part de Google News. Une information bien entendu invérifiable et qui a été balayée d'un revers de la main par la firme de Mountain View, arguant qu'il était le seul rédacteur de son site et ne remplissait pas de fait l’un des critères imposés pour figurer dans les pages de résultats de Google News.

Alors que penser de cet accord où le moteur de recherche s'engage à faire la propagande du parti républicain ? Cet accord engendrerait-il de la censure de la part du moteur de recherche ou s’agit-il d’un simple acte commercial entre une firme privée et un parti ?

Texte : Génération-NT

Google veut Photoshop sur Linux et engage CodeWeavers

Google s’intéresse de près au fonctionnement de certaines applications très utilisées sur environnement Linux. À tel point que la société a décidé d’engager l’un des développeurs de Wine, implémentation libre de certaines interfaces de programmation de Windows pour faire fonctionner sous Linux des logiciels qui d’ordinaire ne fonctionneraient que sur le système de Microsoft.

Dan Kegel, désormais employé de Google, est donc accompagné d’une équipe et a en charge de pouvoir faire fonctionner iTunes sous Linux. Il ne s’agit que d’un défi parmi d’autres, car la société a officiellement engagé CodeWeavers, la société éditrice de Wine, pour faire fonctionner Photoshop CS et CS3 sur le système d’exploitation libre.

Ce lien rapproché entre Google et CodeWeavers n’a rien d’étonnant puisque Wine est déjà utilisé pour faire fonctionner la version Linux de Picasa. Mais pourquoi Photoshop ? Parce qu’une étude réalisée par Novell a révélé que c’était de loin l’application que les utilisateurs de Linux réclamaient le plus.

Texte : PC INpact

vendredi 22 février 2008

Google met des liens sponsorisés dans les vidéos

Le moteur de recherche va diffuser des publicités dans les vidéos des grands sites américains partenaires.

De la vidéo dans les vidéos. C'est un peu le concept du nouvel outil publicitaire de Google. Le moteur de recherche propose aux grands éditeurs américains d'insérer dans leurs vidéos des annonces contextualisées. Le système était jusque-là utilisé en bêta sur le site de partage vidéos de Google, YouTube, uniquement sur les images provenant de partenaires.

Sur la vidéo, le principe est le même qu'avec AdSense, le système classique des liens contextuels qui permet de faire remonter des publicités en rapport avec le contenu sur les sites partenaires de Google. Les marques entrent des mots-clés et envoient leur publicité aux sites sur lesquels elles souhaitent faire des annonces.

Des messages texte ou vidéo
Mais, elles pourront le faire uniquement sur les sites à très forte audience. Google ne va ouvrir sa solution qu'aux éditeurs comptabilisant plus d'un million de vidéos vues par mois. Le moteur de recherche souhaite ainsi privilégier les sites grand public et éviter que les encarts des marques viennent se placer sur des vidéos douteuses, ou pour adultes.

Pratiquement, les publicités apparaissent dans les clips animés sous la forme de texte ou de vidéo. Afin de ne pas gêner la lecture du film principal par l'internaute, les annonces apparaissent dans le bas de la fenêtre en transparence. Elles sont en relation avec les tags du film (mots-clés en rapport avec le contenu). Quant aux vidéos publicitaires, elles ne démarrent qu'après un clic volontaire de l'internaute. Le film que l'utilisateur était en train de regarder s'arrête. Une minifenêtre s'ouvre. La vidéo publicitaire démarre. A tout moment, l'utilisateur peut choisir d'y mettre fin d'un clic et reprendre la lecture de son film.

Le service est disponible uniquement aux Etats-Unis, pour le moment. Il devrait être étendu à d'autres pays, mais pour l'heure, aucune date n'est précisée.



Texte : 01net.com

jeudi 21 février 2008

Google condamné pour diffusion illégale du « Monde selon Bush »

C'est ce qui s'appelle une bonne gestion du calendrier. Le 19 février, Dailymotion annonce la signature d'un accord avec la maison de production Flach Film, pour la protection du catalogue de cette dernière et pour permettre aux internautes d'en visionner des extraits. Le lendemain, Google est condamné pour donné accès sur son service de vidéo au documentaire de William Karel, Le monde selon Bush ... distribué par Flach Films !

Le tribunal de commerce de Paris a en effet condamné le moteur de recherche à verser 150 000 euros à Flach Film ainsi qu'au distributeur, Les Editions Montparnasse. L'affaire remonte à novembre 2006, quand Flach Film décidait d'intenter la première action en contrefaçon contre Google en France.

La société avait découvert que le service Google Vidéo diffusait en streaming, en intégralité, gratuitement et sans autorisation, le film de William Karel. Dans le même temps, le film était proposé en VOD et en DVD, légalement, sur le site des Editions Montparnasse . Les deux sociétés avaient porté plainte conjointement - Flach Film pour contrefaçon, Les Editions Montparnasse pour parasitisme commercial - et demandaient 600 000 euros de dommages et intérêts.

Elles ont finalement obtenu le quart. Le moteur de recherche doit également verser 1 000 euros à l'Union syndicale des producteurs audiovisuels et à la Chambre syndicale des producteurs de films qui se sont jointes à la plainte en cours de route.

Google doit publier le jugement sur son site. Et a, par ailleurs, un mois pour nettoyer toutes les copies éventuelles qui pourraient encore être accessibles sur son site, au risque de 15 000 euros par contrefaçon. Selon Les Editions Montparnasse, qui ont vérifié hier soir sitôt le jugement connu, le documentaire de William Karel n'est actuellement plus en ligne sur Google.

La question du filtrage

La sanction s'avère conséquente, surtout en comparaison d'une affaire similaire. En octobre dernier, Google écopait d'une première condamnation pour la présence illicite en ligne illégale d'un autre documentaire, Les enfants de Tranquility Bay . La société Zadig Productions avait reçu 20 000 euros de dommages et intérêts et les deux auteurs, 5 000 euros chacun.

« Nous sommes extrêmement satisfaits de ce jugement, affirme Renaud Delourme, PDG fondateur des Editions Montparnasse, parce qu'il reconnaît la contrefaçon et la responsabilité d'hébergeur de Google ».

Google, en effet, se considère comme simple hébergeur, ce qui est censé, selon lui, l'exonérer de la responsabilité de ce qui publie les utilisateurs. Une posture classique chez ce type de prestataires. Sur ce point, le moteur de recherche retire quelque satisfaction du jugement.

« Nous apprécions la reconnaissance par le tribunal de notre statut d'hébergeur , onfirmant ainsi qu'il appartient aux ayant-droits de notifier les plates-formes vidéos en cas d'atteinte portée à leur contenu. Nous pensons toutefois que l'obligation de filtrage imposée par ce jugement est impossible à respecter sans la coopération des éditeurs de contenu » considère Yoram Elkaim, le directeur juridique de Google France

YouTube et Dailymotion ont récemment mis en place des systèmes pour reconnaître les fichiers piratés, et le rapport de la mission Olivennes prévoit la généralistion de ce type de solution anti-piratage. Mais le débat n'est pas clos pour autant : « Nous sommes prêts à participer à des systèmes d'empreintes numériques, mais qui va financer ? » s'interroge Renaud Delourme. « Ce n'est pas de notre responsabilité, car ce sont bien ces sites qui mettent en place la possibilité de faire de la contrefaçon. C'est à eux de payer ».

Texte : 01net.com

samedi 16 février 2008

YouTube annonce ses nouveautés à venir

YouTube a profité d’une conférence donnée au cours du « Videocracy » de New York pour présenter les prochaines nouveautés de son service.

Au menu, de nouveaux outils, mais aussi de nouvelles fonctionnalités sont prévus, dont certains étaient grandement attendus par les utilisateurs.

YouTube actif en 2008
YouTube continue d’apporter des améliorations à son service, afin de tenir tête à une concurrence de plus en plus rude, mais aussi d’attirer toujours plus de publicitaires. Plusieurs nouveautés sont donc au programme cette année, dont voici une petite :
  • Le lancement de l’Active Sharing, qui permet à un spectateur d’avertir un autre membre de YouTube qu’il regarde une vidéo en ce moment ;
  • Des outils d’édition et de montage améliorés ;
  • La recommandation des vidéos, qui sera bientôt basée sur les contenus visionnés précédemment par un utilisateur ;
  • L’arrivée de YouTube sur plusieurs plateformes mobiles et téléviseurs ;
  • L’inclusion d’un outil de statistiques, qui va permettre notamment de connaître la provenance des visiteurs.
Plusieurs de ces nouveautés vont faire leur apparition sur YouTube dans le courant de l’année 2008. Le service de Google compte également réaliser d’autres opérations similaires à celle lancée pour les présidentielles américaines, et veut donc coller plus souvent à l’actualité à travers son site. Notons enfin le lancement prochain de YouTube Games, sur les Jeux Olympiques, ainsi que Living Legends, qui se consacrera aux légendes vivantes (les Rolling Stones ont été pris en exemple), ou encore The YouTube Global Gathering, qui consiste à diffuser en direct un événement mondial.

Texte : Infos-du-Net

vendredi 15 février 2008

Gmail 2.0 : mises à jour en cours dans 37 langues

La dernière mouture de Gmail, populairement appelée « Gmail 2.0 » devrait débarquer dans 37 langues, dont le français, d'ici à 2 mois.

L'équipe de Google chargée de ce service est en effet en train d'appliquer la version 2.0 traduite à plusieurs milliers de comptes.

Un rappel des nouvelles fonctionnalités :
  • Gestionnaire de contacts amélioré
  • Libellés colorés et personnalisables
  • Nouveaux raccourcis claviers ainsi qu'une aide
  • Nouveaux émoticônes pour le chat
  • Méthode de navigation améliorée (Les boutons Suivant / Précédent du navigateur peuvent être utilisés pour se déplacer dans les e-mails)
Source : PC INpact

jeudi 14 février 2008

Google met à jour son SDK Android pour téléphones mobiles

Une nouvelle mouture du SDK (Software Development Kit) d’Android est apparue. Pour rappel, Android est le nom de la plateforme créée par Google pour prendre place dans les téléphones mobiles.

Chose promise, chose due : la nouvelle version du SDK, estampillée m5-rc14, est disponible au téléchargement et permet de constater le chemin parcouru depuis plusieurs mois. Google annonce avoir largement écouté les développeurs et pris en compte leurs suggestions. Parmi les nouveautés de cette version, on retrouve :
  • Nouvelle interface utilisateur : l’évolution est constante, et les captures ci-dessous ne représentent donc pas ce que sera l’interface finale par défaut
  • Possibilité de créer des animations
  • Geo-code : possibilité de traduire une adresse en coordonnées, et vice versa
  • Nouveaux codecs supportés : OGG Vorbis, MIDI, XMF, iMelody, RTTL/RTX, et OTA
  • Nouvelle version du plug-in pour l’environnement de développement Eclipse
Les intéressés pourront télécharger la nouvelle version depuis cette page.

Texte : PC INpact (+ images)

Google Street View : 12 nouvelles villes couvertes

En attendant l'arrivée des premières villes européennes intégrées à Google Street View (le module de Google permettant de naviguer dans les rues de certaines villes comme si vous y étiez), le célèbre service continue de s'étendre aux Etats-Unis. Ainsi, Google a fait savoir que 12 nouvelles villes américaines étaient à présents associés à Street View.

Désormais, ce sont plus de 35 villes situées Outre-Atlantique qui peuvent être scrutées par les internautes du monde entier. Voici sans plus tarder la liste des 12 nouvelles villes couvertes :
  • Albany et Schenectady, NY
  • Boise, ID
  • Juneau, AK
  • Kansas City, MO
  • Manchester, NH
  • Milwaukee, WI
  • Research Triangle Park (Raleigh, Durham, Chapel Hill), NC
  • San Antonio, TX
  • Salt Lake City, UT

Voici enfin pour rappel, les différentes villes qui étaient déjà couvertes :
Texte : Clubic

mardi 12 février 2008

Nokia intègrera le moteur de recherche de Google sur ses mobiles

Nokia a signé un accord avec Google pour intégrer le moteur de recherche du géant de l'internet sur ses téléphones portables.

L'accord, qui porte pour l'instant sur les modèles haut-gamme de la série N sur certains marchés, sera par la suite étendu à d'autres modèles dans plus de 100 pays, a précisé le fabricant finlandais.

Texte : 01men.

samedi 9 février 2008

Les mobiles « Google Inside » pointent leurs antennes

Les premiers modèles seront au Mobile World Congress qui s'ouvre lundi 11 février à Barcelone. Le fabricant de puces ARM présentera son prototype.

Google avait dévoilé ses ambitions dans la téléphonie mobile en novembre 2007. Cela devrait se concrétiser un peu plus la semaine prochaine. Android, sa plate-forme open source destinée aux téléphones mobiles devrait être l'une des vedettes du Mobile World Congress qui ouvre ses portes lundi 11 février à Barcelone.

Le fabricant de microprocesseurs ARM, spécialiste des puces pour les appareils portables, y fera une démonstration d'un prototype de téléphone portable fonctionnant avec le logiciel Android de Google. C'est une source proche de la société qui l'a révélé, sans toutefois donner plus de précisions. Aucun élément n'était disponible sur l'apparence de cet appareil, ni le nom des éventuels partenaires industriels d'ARM.

Commercialisation au second semestre
Lors du lancement d'Android, Google prévoyait de commercialiser des téléphones et des services utilisant sa plate-forme logicielle au second semestre de cette année. La filiale de Deutsche Telekom T-Mobile et le taiwanais High Tech Computer (HTC) ont également déclaré qu'ils prévoyaient de proposer cette année des combinés Android.

China Mobile, NTT DoCoMo, KDDI et Telefonica figurent par ailleurs au nombre de la trentaine d'opérateurs, fabricants, éditeurs de logiciels et fondeurs regroupés au sein de l'Open Handset Alliance lancée en novembre par Google. Les quatre opérateurs ont annoncé travailler avec des fabricants de combinés pour développer des modèles utilisant Android.

Le moteur de recherche Google pourrait bousculer l'industrie des télécoms mobiles avec son logiciel libre conçu pour permettre un accès internet fluide sur les appareils nomades y compris les PC, concurrençant en cela Nokia, Microsoft et Apple. Google est également candidat à des fréquences mobiles aux États-Unis, une stratégie qui le met en concurrence avec des opérateurs bien implantés tels que AT & T ou Verizon Wireless.

Texte : 01net.

Dossier Trucs et astuces Picasa

Infos-du-Net (Tom's Guide) vient de publier un dossier de 20 trucs et astuces au propos du logiciel Picasa.

» Lire le dossier sur IDN

mercredi 6 février 2008

Google prêt à tester le téléchargement gratuit de musique en Chine

Le moteur de recherche prépare sa riposte pour contrer son concurrent Baidu en Chine : Google mettrait sur pied une coentreprise avec une société chinoise de musique en ligne pour proposer des téléchargements de musique gratuits.

Selon le Wall Street Journal, qui révèle l'information, le service pourrait diffuser le catalogue de trois des grandes majors et de plusieurs dizaines d'indépendants, qui ont signé des licences. Il devrait voir le jour dans les semaines à venir.

Google veut s'attaquer ainsi à ce qui fait la popularité de ses rivaux chinois : l'indexation de liens menant vers des fichiers MP3, téléchargeables gratuitement, sans aucun accord des maisons de disques.

Cette pratique attire d'ailleurs de nombreux problèmes aux moteurs et aux portails chinois, accusés par l'industrie du disque de favoriser le piratage, en mettant à disposition ces liens. En début de semaine, Universal Music, Sony BMG et Warner Music ont déposé plainte contre Baidu et le portail Sohu.com, les accusant de complicité de contrefaçon.

Texte : ZDNet FR

Google sécurise les mails des entreprises

Après avoir fait ses preuve avec son Webmail Gmail auprès du grand public, Google s’apprête à investir les boites mails des entreprises.

Aujourd’hui, les solutions de messagerie d’entreprise de Google touchent plus de 40000 entreprises et 14 millions d’utilisateurs.

La solution Postini
Google va s’appuyer sur sa toute nouvelle acquisition, Postini, pour annoncer une nouvelle série de produits de sécurité dédiés aux entreprises, et pas seulement aux utilisateurs de Gmail ! Ils incluront un système de filtrage, d’encryptage et d’archivage des messages, soit dans le détail :
  • Google Message Filtering : service de filtrage des spams et des spywares (3 dollars/an par utilisateur).
  • Google Message Security : filtrage des spams et détection des virus (12 dollars/an par utilisateur).
  • Google Message Discovery : filtrage des spams et des virus, archivage de l’ensemble des messages pour un an (25 dollars/an par utilisateur)
Désormais, les services Postini proposés par Google vont donc pouvoir répondre aux exigences grandissantes des entreprises. Il ne s’agit évidemment pas d’une première pour Google, qui propose d’ores et déjà de nombreuses offres aux entreprises, comme sa suite bureautique Google Apps et différentes solutions de recherche à destination des professionnels.

Ces nouveaux services devraient d’ailleurs être directement intégrés à la plate-forme Google Apps. Nous n’avons pas obtenu de date officielle de lancement en France...

Texte : IDN

lundi 4 février 2008

Fusion Microsoft-Yahoo : Google s'inquiète d'éventuelles entraves à la concurrence

Le moteur de recherche n'a pas tardé à réagir à la proposition de Microsoft de racheter Yahoo pour 44,6 milliards de dollars. Une telle fusion pourrait menacer le principe d'ouverture sur lequel est basé l'internet, estime David Drummond, le directeur juridique de Google. Cette offre « hostile » soulève « des questions troublantes », écrit-il sur son blog.

« Est-ce que Microsoft voudrait essayer maintenant d'exercer la même sorte d'influence illégale et inappropriée sur l'internet que celle qu'il a eu sur les PC ? Alors que l'internet récompense l'innovation concurrentielle, Microsoft a souvent cherché à établir des monopoles propriétaires - et étendre sa domination à de nouveaux marchés adjacents », peut-on lire. « Est-ce que l'acquisition de Yahoo permettra à Microsoft, malgré son passif d'infractions judiciaires et réglementaires, d'étendre ses pratiques injustes sur les navigateurs et les systèmes d'exploitation à l'internet ? »

Selon lui, Microsoft et Yahoo disposent ensemble d'une part de marché énorme sur le secteur des e-mails et de la messagerie électronique, et opèrent deux des plus gros portails web. Le dirigeant de Google craint ainsi que Microsoft utilise sa domination sur le marché des PC pour limiter injustement l'accès aux services concurrents.

Texte : ZDNet FR

Google et Microsoft vont se disputer Yahoo!

Vendredi dernier, Microsoft annonçait officiellement faire une offre de 44,6 milliards de dollars pour acquérir Yahoo !

Aujourd’hui, nous apprenons que Yahoo ! pourrait se défendre de cette OPA non sollicitée lancée par Microsoft, notamment en s’alliant avec Google...

Le cœur de Yahoo ! balance...

Ces derniers jours ont été chamboulés par des annonces toutes plus inattendues les unes que les autres. Ainsi, nous apprenions il y a peu que Microsoft est prêt à débourser près de 45 milliards de dollars pour racheter Yahoo ! tandis que l’intéressé, qui a dit « étudier la proposition » de son prétendant, pourrait bien finir par s’allier à Google pour contrer Microsoft.

En effet, Yahoo ! s’estime sous-évalué par Microsoft, malgré l’offre de 45 milliards de ce dernier. Ainsi, Yahoo ! pourrait bien préférer une alliance avec le géant Google, qui lui permettrait de profiter de ses services tout en conservant son indépendance. « Nous voulons souligner qu’absolument aucune décision n’a été prise et qu’en dépit de ce que certains ont essayé de suggérer, il n’y a certainement aucun processus d’intégration en cours », a indiqué Yahoo ! à son personnel dans une note interne datée de vendredi.

Plusieurs sources rapportent toutefois qu’Eric Schmidt, président de Google, aurait appelé Jerry Yang, président de Yahoo !, pour lui offrir son aide contre Microsoft. Du côté de Microsoft, on estime qu’une fusion avec Yahoo ! constituerait « un numéro deux convaincant dans la recherche sur Internet et dans la publicité en ligne ». Quoi qu’il en soit, les solutions ne sont pas très nombreuses pour Yahoo !, et l’affaire devrait connaître de nouveaux rebondissements dans les prochains jours.

Texte : IDN

samedi 2 février 2008

Google : nouvelles options de recherche à expérimenter

Le leader mondial de la recherche Web sollicite l'avis des utilisateurs au sujet de trois fonctionnalités disponibles sous l'étiquette Google Labs.

Google LabsDeux des trois options expérimentales pour lesquelles Google souhaite des retours sont en réalité disponibles via Google Labs depuis le mois de mai 2007. Par le biais de son blog officiel, le leader mondial de la recherche Web a toutefois jugé bon d'en rappeler l'existence.

Google teste de nouvelles vues
Ces trois options modifient la manière dont les résultats sont affichés à l'issue d'une requête sur le moteur dans sa version mondiale. Il s'agit de :
  • Une vue dite cartographique ( Map View ) : affiche sur une carte des données géographiques extraites de Google Maps en relation avec la requête.
  • Une vue chronologique ( Timeline View ) : affiche une frise chronologique suite à une recherche portant sur des personnalités, des évènements.
  • Une vue baptisée Info View : affiche dans la page de résultats conventionnelle, un panneau latéral droit donnant accès à des dates, mesures, emplacements géographiques ou des images pour filtrer les résultats.
Pour activer ses nouvelles vues dans Google (version anglaise), il suffit de se rendre à cette adresse et cliquer sur le bouton Join this experiment.

Texte : GNT

YouTube : le partage des revenus débarque en Europe

YouTube testait depuis plusieurs mois maintenant la rémunération de ses vidéastes les plus en vogue (au-dessus d'un certain nombre de visites et de votes). Il s'agissait de partager ses revenus équitablement grâce à la publicité, à condition d'être le propriétaire et créateur du contenu proposé.

Selon Google, le principe en test en Amérique du nord aurait déjà rapporté plusieurs milliers de dollars par mois à certains utilisateurs dont les vidéos ont dépassé le million de vues.

Ce système arrive cette semaine en Europe, par le biais de l'ouverture du programme en Grande-Bretagne. On ignore encore quand Google va le proposer aux autres pays Européens (France, Espagne, Allemagne...).

Source : IDN

vendredi 1 février 2008

Google signe une année record avec de forts bénéfices

Après les résultats en demi-teinte de Yahoo et le futur licenciement de 1000 employés, Google publie à son tour ses résultats financiers. Comme d'habitude, outre l'aspect financier, nous reviendrons sur les sources géographiques des revenus dégagés, ainsi que les recrutements opérés lors du dernier trimestre.

Dépendance américaine

Le quatrième trimestre 2007 s'est donc soldé pour Google par un chiffre d'affaires de 4,83 milliards de dollars, en hausse de 51 % par rapport à l'année précédente, et de 14 % par rapport au trimestre précédent. Le bénéfice est pour sa part lui aussi en nette augmentation, passant d'un trimestre à l'autre de 1,07 milliard à 1,21 milliard de dollars.

Google, à l'instar de Yahoo, Dell et Apple, reste toujours dépendant des États-Unis, avec 52 % de ses revenus réalisés, soit un pourcentage stable par rapport au troisième trimestre 2007. Après le pays de l'oncle Sam, le Royaume-Uni est le deuxième pays le plus lucratif pour le géant de l'internet, avec 692 millions de dollars dégagés, soit 14 % du total de ses revenus.

De 10,6 à 16,6 milliards de dollars en un an

Globalement, 2007 a, une fois encore, été une année record, avec 16,6 milliards de dollars de chiffre d'affaires, contre 10,6 milliards en 2006. Une croissance de 56 %, confirmée par un bénéfice lui aussi en forte hausse, passant de 3,07 milliards en 2006 à 4,2 milliards en 2007 (+37 %).

Côté recrutement, Google annonce employer 16 805 personnes au 31 décembre 2007, contre 15 916 trois mois plus tôt. Les recrutements sont donc en baisse. Pas de quoi vendre ses actions Google pour autant.

Texte : PC INpact

Le chauffard de YouTube relaxé

Loïc, le chauffard de YouTube, a été relaxé suite à la décision du tribunal correctionnel de Nancy.

Son avocat a estimé qu’il y avait surtout un « empilage plus ou moins hasardeux d'un faisceau d'indices », et qu’on nageait en plein « royaume du n'importe quoi ».

Sa relaxe est principalement due jeu de la prescription étant donné qu'il est impossible de dater la vidéo en question avec certitude. Du coup, l’infraction a pu être prescrite depuis plus de trois ans, d'autant que le propriétaire du véhicule avait changé son pare-brise en 2005. Le doute profitant au mis en cause, le voilà libre de tout mouvement, même sur la route. (PC INpact)

Source : PC INpact