mercredi 8 octobre 2008

Mail Goggles : Gmail empêche d'envoyer un mail lorsque l'on a (trop) bu

Voici l'éthylotest du Web 2 ! Enfin, c'est la présentation qui le dit.

Mail Goggles, une fonction du Gmail Labs, propose en effet une option pour vérifier votre état « mental » avant de répondre à un mail. Elle est censée éviter d'envoyer un e-mail sous l'emprise de l'alcool et dont les répercussions pourraient être graves...

Pour cela, une suite de 4 opération mathématiques vous est donnée et vous devez écrire le résultat avec de pouvoir envoyer l'e-mail, en moins d'une minute.


Cette option permet aussi d'éviter de répondre à des spams, en faisant réfléchir à deux fois, par exemple.

Il est possible de modifier les heures d'affichage (par exemple : le vendredi et samedi soir), ainsi que la difficulté des opérations.

Source : Gmail Blog

jeudi 2 octobre 2008

Google Blog Search mis à jour

La version anglaise de Google Blog Search (Google recherche de blogs en français) a été revue et de nouvelles fonctionnalités ont été implémentées, permettant de rendre cet outil bien plus pratique et concurrentiel, dans la lignée de Technorati.

Le service permet désormais d'afficher le nombre de blogs traitant d'un sujet similaire directement sur la page d'accueil.

La page présente plusieurs blocs où un bloc = un thème. Chaque bloc indique le nombre de blogs références et le blog qui a l'honneur de figurer sur la page d'accueil est celui qui est le plus cité parmi tous les autres traitant du même sujet.

Sur la gauche, des catégories sont visibles (Sport, politique, télévision, sciences, etc.), ce qui n'est pas sans rappeler Google Actualités.

Dans les prochains mois, les versions étrangères seront elles aussi mises à jour.

» Voir la nouvelle interface de Google Blog Search {en}

Source : Labbai.over-blog.com

mercredi 1 octobre 2008

Chute de 40% de l'action Google suite à un bug

Hier, un peu avant la clôture du NASDAQ, l'action GOOG, de Google, a chuté de 40%, passant de 489 à 212 dollars par action.

Vent de panique, accentué par la crise des places boursières qui frappe le monde.

Finalement, aujourd'hui tout va mieux et il s'agissait "simplement" de problèmes techniques ayant eu lieu pendant un certain laps de temps. Néanmoins, les transactions ayant été effectuées pendant cet instant ont été annulées.

Source : ZDNet

Les résultats du moteur de recherche Google en 2001

Pour fêter ses 10 ans, Google a décidé de rendre disponible son index de l'année 2001. Pour les plus anciens utilisateurs de Google, attention, souvenirs !

Les résultats sont ceux que l'on trouvait à l'époque. Pas question de trouver des YouTube, Facebook ou Digg.com !

Mais c'est en tout cas de très bon souvenirs, d'autant plus que Google propose un lien vers Archive.org, site qui permet de voir un site à une période précise.

» Google Search 2001

lundi 29 septembre 2008

Hubert Chang, le troisième fondateur de Google

Depuis quelques jours, un certain Hubert Chang (Hung Hsien Chang de son état civil), prétend être le troisième fondateur du moteur de recherche Google, après Larry Page et Sergey Brin.

10 ans après la création de l'entreprise, cet homme fait une apparition soudaine à travers une vidéo postée sur YouTube, dans laquelle il affime avoir développé le moteur en compagnie des deux camarades cités plus haut, en 1997. Il les aurait quittés pour continuer ses études. En 2002, il revient voir Larry et Sergey et comprend qu'il n'aura pas la paternité de Google.

En 6 minutes, Chang explique sa rencontre et les relations avec les deux fondateurs reconnus ainsi que la manière dont Google est née.



De leur coté, Page et Brin disent ne pas connaître cet individu, bien que ce dernier cite le professeur Rajeev Motwani, qui les a aidés dans leur développement. Le professeur ne se rappelle pas non plus de Chang : « D’aussi loin que je me souvienne, ses affirmations d’être un fondateur de Google ne sont pas justifiées en réalité. Je suis certain que j’aurais remarqué ce troisième fondateur, s’il avait existé, puisque j’ai travaillé en étroite collaboration avec Larry et Sergey à Stanford à cette époque. »

Source : Tom's Guide France

dimanche 28 septembre 2008

Google Toolbar 5 pour Firefox

La version 5 de la barre d'outils Google est sortie vendredi 26 septembre. Elle est compatible et disponible avec toutes les versions de Firefox.

Cette version apporte quelques nouveautés comme une suggestion à la place d'une page d'erreur, une intégration de Google Bloc-notes pour la sélection de contenu, ajout de gadgets (YouTube, Wikipédia...) et la possibilité d'y accéder depuis n'importe quel ordinateur.

La vidéo de présentation :







» Télécharger la barre d'outils Google

Texte : labbai.over-blog.com

YouTube Uploader Beta : envoi de 10 vidéos en même temps

YouTube a dévoilé son nouvel espace d'envoi de vidéos ("YouTube Uploader") en version beta, 10 mois après sa dernière mise à jour.

Cette nouvelle version, qui se veut plus claire et plus moderne permet donc d'envoyer 10 vidéos à la fois au maxium pour un poids total de 1 Go.

» Accéder à l'espace d'envoi Beta

Texte : Labbai.over-blog.com

samedi 27 septembre 2008

Google Inc. a 10 ans : joyeux anniversaire

La société Google fête ses 10 ans aujourd'hui 27 septembre 2008.

10 ans déjà, et tellement de chemin parcouru.

La puissance et le parcours de cette société en ferait rêver plus d'un.

Joyeux anniversaire tout simplement !

vendredi 26 septembre 2008

Google Moderator, pour poser des questions

Google a sorti un nouvel outil appelé Google Moderator qui vise à voter pour des questions qui seront posées à des personnalités ou des ingénieurs de Google.

Vous pourrez vous même poser les questions, qui seront soumises aux votes des internautes. Plusieurs « domaines » sont proposés :

- Présidentielles US
- Ingénieurs Google
- Personnalités politiques/Grands dirigeants
- Suggestion d'applications pour Android

Elles devraient sûrement s'étoffer d'ici à quelques mois.

Cet outil était déjà utilisé chez Google, en interne, sous le nom de "Dory".

» Visiter Google Moderator

Source : GOS

jeudi 25 septembre 2008

Google 10e anniversaire : projet le plus bienfaisant

« Vous voulez changer la face du monde ? Nous aussi. Vous avez une grande idée susceptible de venir en aide au plus grand nombre ? Faites-nous en part ! Nous nous engageons à réaliser les meilleurs projets »

Google fête ses 10 ans et lance le site « Projet 10 puissance 100 » (project10tothe100) : http://www.project10tothe100.com/intl/FR/index.html pour que le projet le plus bienfaisant gagne.

Toutes les informations ici et .

Bonne chance si vous participez !

mardi 23 septembre 2008

Android se dévoile

Dès le 22 octobre aux Etats-Unis, l'opérateur allemand T-Mobile commercialisera G1, le premier portable équipé du système d'exploitation open source Android.

Le buzz enflait depuis plusieurs semaines sur Internet. L'arrivée du premier Google Phone a été officialisée ce mardi 23 septembre à New York par T-Mobile. L'opérateur sera le premier à commercialiser, dès le 22 octobre aux Etats-Unis, un téléphone mobile équipé du système d'exploitation (OS) Android, développé par Google. Fabriqué par le taïwanais HTC, le G1 sera disponible à près de 180 dollars (couplé à un abonnement avec un engagement de deux ans).

L'appareil arrivera au Royaume-uni au mois de novembre. En France, le premier mobile Google Inside devrait être disponible chez SFR au premier semestre de 2009, nous a confirmé l'opérateur français. En revanche, ce dernier s'est refusé à indiquer un quelconque tarif ou le modèle concerné.

Le G1 a tout d'un iPhone killer. Il offre un écran tactile, une navigation Internet en mode multipage, un lecteur multimédia, une messagerie instantanée, un système de géolocalisation, un appareil photo, etc.

Avec Android, Google promet à la fois un accès à Internet comme sur un PC ainsi que des logiciels et des services en ligne à foison. Surtout, il intègre les services maison du moteur de recherche, comme YouTube, la messagerie électronique Gmail, le logiciel de cartographie Google Map et sa fonction Streetview.

Une centaine de logiciels disponibles sur Android Market
Mais ce n'est pas tout. Android est un OS ouvert. Il a été conçu par Google comme une plate-forme open source permettant aux professionnels et aux développeurs en herbe de concevoir leurs propres services en ligne et leurs applications Java.

Amazon s'est déjà attelé à la tâche. Le cybermarchand américain a conçu une application de téléchargement en ligne spécifique pour permettre l'achat de musique et de films. Elle sera intégrée dans le G1. Sur le modèle de l'App Store, d'Apple, Google a également mis en place une boutique de téléchargement de logiciels (gratuits et payants).

Les consommateurs pourront puiser sur l'Android Market les applications de leur choix parmi la centaine déjà développée par la communauté, dans tous les genres : réservation de taxi, comparateur de prix basé sur le scan de codes-barres, traducteur, jeux, etc.

L'enjeu est de taille pour Google. Le géant de l'Internet espère, une fois implanté sur ce nouveau marché, monétiser ses services et applications par de la publicité contextuelle.

Reste à savoir si le G1 connaîtra l'engouement de l'iPhone. « G1 est le premier appareil sorti sur le marché à embarquer l'OS d'Android. [...] Nous estimons qu'il sera limité. Il y aura plus [d'applications, NDLR] à venir en 2009 quand des constructeurs comme Samsung et LG livreront leurs appareils », commente dans un communiqué Roberta Cozza, analyste chez Gartner. En 2011, le cabinet prévoit qu'Android sera présent sur 10 % des smartphones dans le monde.

Texte : 01net.

dimanche 21 septembre 2008

Gaudi : la recherche de mots dans les vidéos

La recherche des laboratoires Google a encore frappé : une nouvelle application va prochainement révolutionner la recherche... de son sur le Net. En effet, Gaudi, pour Google Audio Indexing, en s'appuyant sur des algorithmes maison, pourra détecter et identifier des sons, voire des mots. Ce service sera par exemple efficace pour les vidéos et la recherche d'un terme précis ou de son nombre d'occurrences dans un discours assez long.

Pour l'heure, seul YouTube bénéficie de ce système et encore, sur quelques vidéos traitant uniquement de politique. Cependant, l'outil est plutôt efficace et permet sans peine de parvenir à ses fins. On peut ainsi découvrir que Michelle Obama n'a mentionné le mot "sex" que deux fois au cours d'une intervention...

Des indicateurs jaunes précisent exactement où se trouvent les mots recherchés et l'on peut ainsi profiter pleinement de la vidéo ou simplement se fixer sur les thèmes. Comme toujours, il sera possible de partager ses découvertes en envoyant la vidéo à la personne de son choix. On se fera sa propre idée en essayant directement Gaudi.

Texte : PC INpact

mercredi 17 septembre 2008

Le projet Google-Yahoo sur la publicité examiné par la CE

La Commission européenne examine le projet nourri par Google et Yahoo de partage de certaines recettes publicitaires.

"A la mi-juillet, nous avons décidé d'ouvrir une enquête préliminaire de notre propre initiative sur les effets potentiels d'un accord Google-Yahoo sur la concurrence...", a dit le porte-parole de la CE Jonathan Todd.

Google et Yahoo affirment que leur accord ne concernera que les Etats-Unis et le Canada mais l'Association mondiale des journaux pense qu'il portera atteinte à la concurrence précisément entre Yahoo et Google et l'association a appelé l'UE à se pencher sur ce dossier.

Yahoo et Google ont conclu un accord en juin en vertu duquel Google fournira à Yahoo des services publicitaires qui s'intégreront au propre moteur de recherche de Yahoo.

Texte : 01men

Google veut impressionner avec le mobile sous Android

Google entend révolutionner les services d'accès internet sans fil sur mobile à l'image de ce qu'il a réalisé sur PC dans la recherche en ligne, avec le lancement prochain du premier téléphone mobile conçu avec son système d'exploitation Android.

Google prévoit à présent de lancer son système d'exploitation pour mobile Android à l'assaut de Windows Mobile de Microsoft, de l'iPhone d'Apple, ainsi que de Symbian désormais détenu en intégralité par Nokia.

Pour Andy Rubin, le directeur de la plate-forme mobile de Google, le succès de ce système d'exploitation dépendra de l'accueil réservé au premier mobile sous Android, qui devrait sortir à la fin de ce mois.

Selon des sources proches du dossier, T-Mobile USA devrait être le premier opérateur à commercialiser un téléphone sous Android le 23 septembre prochain à New York.
Après deux ans de spéculation, Google est sous pression pour proposer un produit suffisamment différent de l'iPhone d'Apple et de la myriade de clones apparus depuis le lancement en juin 2007 du combiné de la firme à la pomme.

Au lieu de lancer le nouveau système d'exploitation avec une large gamme de combinés issus de différents fabricants de téléphones portables et d'opérateurs télécoms, Google a choisi, selon Rubin, d'"en mettre plein la vue" afin d'être certain que le premier mobile impressionnera les consommateurs. "Si nous arrivons avec une daube, les gens s'en iront et ce sera une perte de temps", a-t-il déclaré.

CONTRÔLE DU MATÉRIEL ET DU LOGICIEL
Selon Rubin, Google travaille presque exclusivement avec le fabricant taiwanais High Tech Computer Corp (HTC) et l'opérateur télécoms allemand T-Mobile pour le premier téléphone sous Android.

"Google veut s'assurer qu'il a suffisamment de contrôle sur le matériel et le logiciel pour qu'ils fonctionnent ensemble", a-t-il expliqué.

Le premier mobile sous Android, dont le nom de code est Dream, dépend aussi de l'enthousiasme des développeurs indépendants qui doivent écrire des centaines, voire des milliers de programmes, comme les logiciels de partage de photos. Selon Google, un concours pour attirer les premiers développeurs à déjà donné lieu à 1.759 applications.
"Une fois qu'ils auront quitté le magasin avec l'appareil, ce qui entretiendra leur bonheur, ce sera le logiciel ", a-t-il dit.

Google prévoit d'ouvrir son propre magasin en ligne, baptisé Android Market. "Ce n'est pas nécessairement le système d'exploitation qui fait le lien, mais la place de marché", a déclaré Rubin.

Contrairement à Apple, Google n'espère pas dégager des revenus en vendant les applications ou en partageant les revenus générés avec ses partenaires. "Nous avons pris la décision stratégique de ne pas partager des revenus avec les développeurs. Nous allons simplement nous passer des recettes éventuellement des opérateurs et des développeurs", a précisé Rubin.

Texte : 01men

Google Desktop 5.8 consomme moins

La nouvelle version de Google Desktop, la 5.8, a été largement optimisée pour qu'on puisse en parler. 

Google Desktop est, en quelque, sorte un gros annuaire listant les fichiers présents sur le disque dur. Il sert à rechercher un fichier sur le disque dur, mais à la différence de l'outil de recherche intégré à Windows, Google Desktop recherche dans son index au fur et à mesure des lettres tapées, et le résultat s'affiche en moins d'une seconde.

Avant, même en tâche de fond, le processus de Google Desktop était très gourmand en mémoire vive. Sa tâche consistant à indexer les fichiers mis à jour.

C'est donc du passé car la consommation mémoire de cette nouvelle mouture consomme 50% de moins, aux dires des développeurs qui ont fait un énorme travail d'optimisation. En plus de ça, la fermeture du logiciel a été accelérée, chose non inutile lors de l'extinction du PC.

mardi 16 septembre 2008

Quelques nouveautés chez Google Maps

Deux petites nouveautés ont fait leur apparition ces derniers jours, en toute discrétion sur Google Maps. Si elles ne sont assurément pas spectaculaires, elles n’en demeurent pas moins très pratiques.

Jugez plutôt : les numéros des rues sont désormais indiqués et vous pouvez également obtenir des itinéraires à pied !

Se balader à pied
Pour être sûr de ne plus vous tromper lorsque vous souhaitez localiser une adresse, Google Maps insère les numéros des rues sur ses cartes. Autre nouveauté : l’itinéraire à pied, très pratique pour se faire des petites balades en ville (il fait encore bon). Il suffit juste d’ouvrir l’onglet Itinéraire, d’entrer l’adresse de départ et d’arrivée puis de sélectionner l’option À pied dans la liste déroulante.

Toutefois, le service est encore en bêta et le site met en garde : « Faites attention – Cet itinéraire peut ne pas comporter de trottoirs, ni de voies piétonnes. » On moins, vous voilà prévenu...


vendredi 12 septembre 2008

L'UE salue les efforts de Google en matière de protection des données

Le climat s'est pacifié entre l'exécutif européen et Google depuis que le moteur a annoncé réviser sa politique de confidentialité. Le spécialiste des technologies de recherche web, a indiqué en début de semaine que l'historique des recherches effectuées par les internautes ne sera plus conservé 18 mois, mais 9 mois.

Jacques Barrot, VP de la Commission européenne chargé de la justice, de la liberté et de la sécurité, a déclaré que ce changement est « un grand pas dans la bonne direction », avant d'ajouter que la Commission européenne recommande « jusqu'à 6 mois » de conservation, plutôt que 6 mois fermes.

Les données conservées par Google Inc incluent les mots clés, l'adresse IP et les détails des cookies. Cette collecte 'de base' pourrait-elle servir à identifier un individu, à créer son profil, à déterminer son opinion politique, ses croyances ou encore ses préférences sexuelles ? L'an dernier, Google avait d'ores et déjà décidé de rendre anonymes ses fichiers de logs après une période de 18 mois, au lieu de 24 mois, « afin que les données ne puissent plus être associées à tel ou tel individu ». Sans convaincre... A 9 mois, Google estime avoir répondu aux attentes des critiques.

Texte : NetEco

La plate-forme de blogs TextCube rachetée par Google

TNC, l'éditeur coréen du service de blog TextCube vient d'annoncer son rachat par Google. Comme le logiciel Wordpress d'Automattic, TextCube est une plateforme en PHP à installer sur le serveur qui embarque aussi des fonctions de réseau communautaire.

En 2003, Google avait racheté le service de Blogger fondé par Pyra Labs en janvier 1999. Par ailleurs, la firme californienne possède déjà le réseau social Orkut officiellement lancé en octobre 2006 et particulièrement populaire en Amérique du Sud, ainsi que le service de micro-blogging Jaiku. Sur son blog, Chang Kim, co-fondateur de la compagnie, explique que le rachat de TNC est « une acquisition majeure de Google sur le territoire asiatique ».

Selon Chang Kim, le marché web coréen est principalement dominé par les gros portails tels que Yahoo! et cette acquisition permettrait donc à Google de développer ses activités dans le pays. Selon Kim, « l'industrie web de la Corée a besoin d'un acteur majeur qui puisse fournir plus d'options pour les utilisateurs et rendre le web plus ouvert. »

Aucune information n'a été révelée concernant le montant de cette transaction. A l'heure où nous écrivons ces lignes, le géant de Mountain View n'a publié aucune information officielle. Cependant, il serait légitime de s'interroger sur les motivations réelles de Google. Cette acquisition serait-elle strictement liée à ses activités en Corée ou Google envisage-t-il de proposer une alternative au logiciel open source d'Automattic ?

Texte : NetEco

YouTube France : des publicités dans les vidéos

En juin, le site lançait en France un programme de rémunération des partenaires. Les premiers spots ont été diffusés le 10 septembre.

C'est Toyota qui essuie les plâtres. Depuis hier, mercredi 10 septembre 2008, des publicités de sa dernière voiture, la IQ, sont diffusées sur YouTube. Rien de très nouveau, diront certains. A l'exception près que ces spots apparaissent à l'intérieur des vidéos créées par des contributeurs français, professionnels (groupes de médias, par exemple) et amateurs (créateurs indépendants). Auparavant, de classiques publicités étaient affichées à droite des clips. Ce programme de partenariat existe déjà aux Etats-Unis, en Grande-Bretagne et au Canada.

Les internautes peuvent donc désormais voir apparaître un bandeau transparent à l'intérieur des vidéos qu'ils regardent en ligne. En cliquant dessus, le clip s'arrête pour jouer la publicité du partenaire. Après celle-ci, la vidéo initiale reprend son cours. Si l'utilisateur choisit de ne pas cliquer sur la bannière, elle disparaît après 15 secondes.

Pour ces publicités qui s'insèrent dans leur création, les contributeurs seront rémunérés sur un modèle mêlant coût pour mille (CPM) et coût par clic (CPC). Sur les sommes qu'ils pourront espérer toucher, Google, la maison mère du site de partage de vidéos, se montre très discret.

Pas d'insertion sans autorisation
En aucun cas, YouTube n'insèrera des publicités dans les vidéos des internautes sans une autorisation explicite de leur créateur. A l'inverse, tout le monde ne pourra espérer arrondir ses fins de mois avec ses vidéos postées en ligne. Google sélectionne ses partenaires depuis juin dernier.

[...]

Source : 01net.

mercredi 10 septembre 2008

Chrome pas bien apprécié en Allemagne

Chrome, le navigateur de Google, n’est pas le bienvenu en Allemagne. Sur le journal télévisé Tagesschau diffusé lundi 8 septembre, un reportage a fait part de la position du gouvernement germanique vis-à-vis de la dernière application de Mountain View. Le département fédéral de sécurité a souhaité avertir les utilisateurs d’Internet concernant Chrome. Il affirme qu’il faut éviter toute utilisation du dernier navigateur de Google. La raison en est double : premièrement, la version bêta de Chrome ne serait pas suffisamment sécurisée dans l’absolu.

Google, grand méchant pour le gouvernement allemand
Mais ce qui alarme le plus le gouvernement d’Outre-Rhin, c’est le pouvoir supplémentaire que son utilisation donne à Google. L’institution allemande affirme sans détour que l’utilisation de Chrome combinée à un usage de Gmail ainsi que du moteur de recherche de Mountain View, donnerait une quantité d’informations bien trop importante à Google. Il est assez rare qu’une critique vis-à-vis d’un acteur d’Internet émane directement d’un gouvernement. Jusqu’alors, ce « privilège » était réservé à Microsoft. Preuve supplémentaire s’il en est que Google est devenu géant.

mardi 9 septembre 2008

Des archives de presse numérisées par Google

Le travail d'archivage, entrepris par le moteur voilà plusieurs années, continue sa route avec la numérisation de microfilms contenant les archives de plusieurs journaux. C'est durant la TechCrunch 50 de San Francisco que Marissa Meyer a annoncé que News Archive Search, le nouveau joujou de Google, en collaboration avec plusieurs des partenaires presse, va entreprendre de rassembler et rendre accessible en ligne les articles du passé.

Assumant entièrement les frais qu'impliquera cet exercice de numérisation massive, Google a cependant pris soin de réclamer l'accord des intéressés afin de ne pas avoir à faire face à de délicats problèmes juridiques, comme ce fut le cas avec sa section Google Actualités, voilà quelque temps.

Encore fin mai dernier, nous apprenions que d'autres rebondissements entre Google et CopiePresse, la société de gestion des droits des éditeurs de la presse francophone et germanophone belge, avaient lieu. En effet, cette dernière avait assigné Google en justice pour « violation des droits d’auteur de ses membres éditeurs ».

Tout ce contenu papier, et par conséquent hors ligne, sera à terme accessible via Internet, et Google. Pour l'heure, cela semble concerner des quotidiens, et particulièrement originaires d'Amérique du Nord. Ainsi, toute la presse des 250 années passées pourrait faire l'objet de la convoitise de Google.

Pour le moment, l'interface de la page est assez rudimentaire : seule une barre de recherche permet de sonder quelque peu l'ensemble et l'on tombe très vite sur l'évidence : rien n'est encore fait en matière de francophonie. Mis en ligne depuis septembre 2006, Google News Archive Search proposait déjà de faire des recherches dans les articles publiés et référencés par Google. Si le service est gratuit, l'accès à certains articles dépend du bon vouloir du journal.

Texte : PC INpact

Google réduit à neuf mois la durée de conservation des données personnelles

Changement de politique pour l'américain, qui abaisse la durée de rétention des adresses IP des internautes, de dix-huit à neuf mois.

Sous la pression des autorités de contrôle de l'informatique et des libertés des pays européens, réunies au sein du groupe Article 29 (G29), Google réduit de moitié la durée de conservation des données personnelles. Désormais, au-delà de neuf mois, les adresses IP des ordinateurs à partir desquels les internautes effectuent leurs recherches en ligne seront rendues anonymes. Ces adresses permettent d'accéder à l'historique des requêtes effectuées depuis une machine, sans toutefois identifier personnellement leurs utilisateurs.

Cette anonymisation des adresses IP était l'une des exigences faites par le G29 en avril dernier. Pour les régulateurs européens, Google, comme ses concurrents n'ont pas réussi à démontrer la nécessité de la conservation des données personnelles. Ces informations qui étaient stockées auparavant dix-huit mois chez le groupe de Mountain View, sont archivées treize et dix-huit mois respectivement chez Yahoo! et Microsoft.

Les moteurs de recherches ont toujours argué que ce stockage leur est nécessaire pour améliorer la qualité de leur algorithme, réduire le spam, lutter contre la fraude et augmenter la sécurité.

Aujourd'hui sur son blog, Google rappelle qu'il a été le premier des grands moteurs de recherche à mettre en place l'anonymisation des adresses IP en mars 2007. Et que malgré sa bonne volonté, « plusieurs régulateurs européens en matière de protection de données continuent d'être sceptiques quant à la légitimité de la conservation des logs de connexion et nous demandent des justifications sur cette conservation ».

Des informations nécessaires pour lutter contre la fraude au clic
Aussi, le moteur de recherche a-t-il adressé le 8 septembre une lettre au G29. Dans une vingtaine de pages, il tente de justifier sa politique de rétention de données par des exemples concrets. La mise en place de cookies lui permet d'identifier les vrais internautes des bots qui effectuent des requêtes pour saturer le réseau. Les données comportementales lui servent en outre à lutter contre la fraude au clic sur ses liens sponsorisés.

Google rappelle aussi s'être conformé au souhait du G29 en donnant accès le 3 septembre dernier à sa politique de conservation des données personnelles à partir de sa page d'accueil.

Pourtant l'américain est loin de satisfaire les souhaits de l'Union européenne. Celle-ci réclamait que la conservation des données n'excède pas six mois. Et exigeait que les moteurs de recherche ne croisent plus les informations qu'ils récoltent au travers de leurs différents services, sans autorisation explicite de l'internaute.

Google, Microsoft, et Yahoo ! enrichissent les informations qu'ils obtiennent grâce à leurs cookies, avec des données que laissent volontairement les utilisateurs de leurs services comme Yahoo! Messenger, Windows Live Messenger, Blogger ou Orkut.

Certes la firme de Sergey Brin et Larry Page est dorénavant l'un des moteurs de recherche qui garde le moins longtemps les logs de connexion des internautes. Mais chez Google, tout comme chez Yahoo! la durée de conservation des cookies reste inchangée. Ces marqueurs ont une durée de vie de deux ans.

Texte : 01net.

lundi 8 septembre 2008

Google Earth : bientôt des images haute résolution

Le satellite GeoEye-1 a été lancé ce week-end par une fusée américaine. Google en sera le client commercial exclusif.

La société américaine GeoEye a annoncé ce week-end le succès de la mise en orbite de son satellite GeoEye-1, qui fournira des images de la Terre à très haute résolution aux utilisateurs de Google Earth et Google Maps ainsi qu'au gouvernement américain. L'engin a été lancé depuis la base de Vanderberg en Californie, au moyen d'une fusée Delta II, arborant, entre autres, le logo de Google.

Les premières clichés seront fournis de façon exclusive à Google (dans le domaine commercial) cet automne. On devrait donc voir Google Earth et Google Maps intégrer ces clichés en haute résolution avant la fin de l'année.

Un autre satellite en 2011
GeoEye-1, d'une valeur de 502 millions de dollars, a été financé en partie par la National Geospatial Intelligence Agency (NGA), soit l'Agence d'intelligence géospatiale nationale américaine.

Le satellite captera des images de la Terre à une distance de 681 km et se déplacera à une vitesse de 7 km par seconde. Il enverra des images de 41 centimètres par pixel en noir et blanc et de 1,65 mètre en couleurs.

Google utilise déjà des images fournies par le satellite Ikonos de GeoEye, ainsi que par WorldView-1, du concurrent Digital Globe. Le petit frère de GeoEye-1 est programmé pour 2011.

Texte : 01net.

Eric Schmidt satisfait de l'accueil réservé à Chrome

Le navigateur internet Chrome de Google, dont la version test a été lancée cette semaine, a reçu un très bon accueil et a été téléchargé plusieurs millions de fois, a déclaré vendredi à Reuters Eric Schmidt, P-DG de Google.

Chrome a été conçu pour télécharger des logiciels et des pages internet plus rapidement que les autres navigateurs. Il permet aussi à ses utilisateurs de continuer à travailler quand l'une des fenêtres ne répond plus. Selon Google, Chrome autorise par ailleurs à gérer directement des applications qui auparavant demandaient à être installées sur un ordinateur pour fonctionner.

"Les premières réactions ont été très fortes (avec) beaucoup, beaucoup de millions de téléchargements (et une) réponse très favorable jusqu'ici", a déclaré Eric Schmidt en marge d'une conférence économique sur les rives du lac de Côme, dans le nord de l'Italie.

En lançant son propre navigateur, le géant de l'internet américain se pose en concurrent direct de Microsoft, qui concentre à lui seul les trois quarts du marché avec Internet Explorer. Eric Schmidt juge toutefois qu'il est encore trop tôt pour déterminer combien de parts du marché Chrome pourra conquérir.

DES NAVIGATEURS "PLUS MODERNES"
"Nous n'avons pas conçu (Chrome) avec un objectif de parts de marché. Nous l'avons développé pour tenter de faire avancer le secteur avec de nouveaux concepts concernant les navigateurs, la sécurité et les plate-formes puissantes", a-t-il déclaré, précisant que Google espérait ainsi influencer la conception des autres navigateurs "pour les rendre plus modernes".

Eric Schmidt s'est par ailleurs dit optimiste au sujet de l'issue de l'enquête des autorités américaines de la concurrence sur le partenariat entre Google et Yahoo concernant les encarts publicitaires liés aux résultats de recherche en ligne.

Cet accord a suscité des inquiétudes concernant le poids trop important qu'atteindrait alors Google dans le marché de la publicité en ligne, qui représente 65 milliards de dollars. Il a été annoncé en juin mais sa mise en oeuvre a été retardée "jusqu'à fin septembre (ou) début octobre", a-t-il précisé.

Selon lui, l'accord, qui concerne uniquement le territoire américain, porte seulement sur les textes publicitaires et ne prévoit pas d'exclusivité empêchant Yahoo de travailler avec d'autres partenaires ou concurrents.

"Nous pensons qu'il répond complètement aux opportunités ainsi qu'aux contraintes légales en vigueur aux Etats-Unis."

Eric Schmidt a indiqué qu'il ne disposait d'aucune information sur l'issue de cette enquête et a également refusé de commenter une information publiée le mois dernier par le Wall Street Journal faisant état d'un accord imminent concernant un partenariat de grande envergure entre Google et l'opérateur américain de téléphonie mobile Verizon Communications.

Texte : 01men

samedi 6 septembre 2008

Pourquoi Google Chrome ?

Pour quelles raisons Google a-t-il souhaité lancer son propre navigateur Web ?

La réponse dans cette vidéo, sous-titrée en français :



Source : ZDNet France

Les conditions d'utilisation de Chrome modifiées

Après avoir attiré tous les regards vers lui, Google se sent aujourd’hui obligé d’apporter quelques modifications aux conditions d’utilisation de son navigateur Web, Chrome.

Cette décision fait suite à plusieurs utilisateurs qui se sont plaints de certains passages jugés abusifs.

Du changement pour Chrome
Parmi les raisons de ces plaintes, citons par exemple que Google autorise aux utilisateurs un droit d’auteur sur le travail qu’ils produisent avec Chrome, mais la marque s’offre surtout « une licence perpétuelle, irrévocable, mondiale, sans royalties et non exclusive pour reproduire, adapter, modifier, traduire, publier, présenter en public et distribuer n’importe quel contenu », tant que celui-ci a été créé avec Chrome. Cette partie est extraite de la section 11 des conditions d’utilisation de Chrome. Cette section concerne les licences liées aux contenus générés avec Chrome. Cela peut donc concerner aussi bien les textes écrits que les vidéos publiées sur YouTube, et autorise ainsi Google à réutiliser ces contenus sans avoir à verser le moindre centime, sous prétexte qu’ils ont été publiés avec Chrome.

« Avec de plus en plus d’applications qui s’exportent sur Internet, c’est comme si Microsoft réclamait une licence sur tous les documents créés avec Word, Powerpoint ou Excel », explique David Loschiavo, avocat en Floride. « Et si Microsoft obtenait une licence sur sur les brevets, marques déposées et droits d’auteur de n’importe quel logiciel créé avec Visio ou Visual Studio ?... Et si Adobe obtenait une licence sur tout ce qui est créé avec Photoshop ? ». Rebecca Ward, avocate de Google pour Chrome, a expliqué par la suite que cette fameuse section 11 n’était qu’une simple omission, causée par le souhait de la Google de créer une licence “universelle” pour Chrome. « Parfois, comme dans le cas de Google Chrome, cela veut dire que les termes légaux pour un produit spécifique peuvent inclure des parties qui ne s’appliquent pas à l’utilisation de ce produit. (...) Nous travaillons rapidement pour retirer des passages de la section 11 des conditions d’utilisation actuelles de Google Chrome. »

Texte : Tom's Guide France

jeudi 4 septembre 2008

La reconnaissance faciale sur Picasa

Google ne cesse de créer l’évènement cette semaine. Après la présentation de son premier navigateur Web Chrome, voici aujourd’hui l’annonce d’une nouvelle version de Picasa.

De nombreuses nouvelles fonctionnalités arrivent donc dans Picasa 3 bêta mais aussi sur Picasa Albums Web, le service de partage en ligne de photos de Google.

Plus, plus rapide, plus alternatif
Picasa 3 est donc disponible à partir d’aujourd’hui en bêta, en anglais et sous Windows seulement. Au chapitre des nouveautés, la retouche d’image se dote d’un outil de correction des yeux rouges automatique (l’ancien fonctionnait déjà très bien) et d’options pour lifter les visages. Un mode collage permet de réaliser des montages assez sophistiqués avant de les imprimer sous forme de posters par exemple, tandis que la création de vidéos vous permet en quelques clics d’animer vos albums photo pour ensuite les mettre en ligne sur YouTube.

Globalement, le logiciel apparait vraiment plus riche et "fun" qu’auparavant mais c’est finalement sous Picasa Albums Web que les nouveautés sont les plus spectaculaires avec la reconnaissance faciale sur les albums mis en ligne, ce qui permet ainsi de tagguer très rapidement vos photos pour peu qu’elles mettent en scène les mêmes protagonistes. De plus, vous pouvez maintenant déterminer les droits adaptées à vos images : réutilisation interdite (tous droits réservés) ou réutilisation autorisée avec paternité (Creative Commons). De quoi faire bientôt de l’ombre à Flickr ?

Texte : Tom's Guide

mardi 2 septembre 2008

Google Chrome : le premier navigateur de Google

La rumeur était présente depuis de nombreuses années déjà : « Google va sortir un navigateur Web », mais non fondée.

Aujourd'hui Google a annoncé la mise sur le marché d'un navigateur open-source léger, fluide et rapide, nommé Chrome.

Deux ingénieurs de Google ont déclaré : « L'interface du navigateur est simple, dépouillée (...) Comme la page d'accueil classique de Google, Google Chrome est propre et rapide (...) Sous le capot, nous avons réalisé les fondations d'un moteur capable de bien mieux gérer la complexité des applications web d'aujourd'hui. Chaque onglet est placé dans un 'sandbox' isolé (...) Nous avons amélioré la vitesse et le temps de réponse. Nous avons également développé un moteur JavaSript plus puissant, V8, pour gérer la prochaine génération d'applications web » (TL : Clubic.com)

Ce nouveau navigateur devrait intégrer Google Gears, qui permet d'avoir accès hors-ligne à un service en ligne (Google Calendar, GMail...).

Même si ce logiciel, qui sortira en version Beta, est peut-être un futur concurrent des 3 principaux acteurs du marché que sont Internet Explorer, Mozilla Firefox et Opera, Google a reconduit son partenariat publicitaire avec la fondation Mozilla, qui développe Firefox.

Source : Clubic

samedi 30 août 2008

Android Market : enfin une boutique en ligne

Google avait annoncé au mois de juin dernier l’arrivée prochaine d’un service de téléchargement dédié à Android, son système d’exploitation mobile (voir Google veut une boutique de logiciels pour Android).

Voilà aujourd’hui que cela se confirme, alors que l’Android Market, puisque c’est son nom, se dévoile...

Android va avoir sa boutique en ligne
Les utilisateurs devraient donc y retrouver des applications classées par catégories, et vont ainsi pouvoir noter les programmes et les commenter directement sur le service. Dans un premier temps, les applications de ce service devraient être gratuites, du moins tant que celui-ci est en version bêta. C’est ensuite que les premiers programmes payants devraient faire leur apparition.

Bien entendu, ces applications devraient être compatibles avec tous les téléphones qui utilisent Android. Cependant, Google n’a pas annoncé de contrôle particulier sur son service (contrairement à Apple, qui applique un contrôle draconien aux applications), alors que des éditeurs pourront librement y diffuser des programmes. La plateforme se veut cependant très ouverte.

Texte : Tom's Guide France

vendredi 29 août 2008

Des sous-titres pour YouTube

On pourrait croire qu'il s'agit d'une énième news sur les sous-titres dans YouTube, mais cette fois-ci, c'est une option pour les utilisateurs qui permettra d'ajouter un fichier de sous-titre à l'une de leurs vidéos (anciennes ou nouvelles) aux formats SUB (Subviewer) et SRT (Subrip). Bien plus simple que l'édition de la vidéo.

La manipulation est très simple : dans la rubrique « Mon Compte » l'utilisateur doit se rendre dans la partie « Mes Vidéos » puis sélectionner une vidéo, cliquer sur Modifier et se rendre dans l'onglet Sous-titres.

» Rubrique d'aide

Source : Clubic

samedi 23 août 2008

Google bientôt sur les mobiles de Verizon ?

Selon le Wall Street Journal, Google et Verizon seraient sur le point de conclure un partenariat financier par lequel le géant de la recherche viendrait s'installer sur les téléphones de l'opérateur américain. Selon les termes de cet accord, Verizon obtiendrait une partie des revenus générés par la publicité de Google.

Avec 67,8 millions de clients, Verizon se positionne en seconde place sur le marché de la téléphonie mobile aux Etats-Unis. Pour reconstruire son portail mobile, l'opérateur aurait initialement envisagé de se tourner vers Microsoft. Cependant, il semblerait que Verizon entende tirer partie du succès phénoménal de Google dans le domaine de la recherche sur Internet. En effet, selon une analyse du cabinet d'études Comscore M:Metrics, sur les 16,7 millions d'utilisateurs affirmant effectuer des recherches sur Internet à partir de leur téléphone, 63% d'entre eux utilisent le moteur de Google contre 34% pour Yahoo! Search. Les moteurs de recherche conçus spécifiquement par les opérateurs ne représentent que 25%. Pour cette raison, Medio System INC, en charge du moteur actuel de Verizon, se verrait recentrer sur les recherches multimédias (fonds d'écran, sonneries...)

Google est l'un des pionniers dans le domaine de la publicité mobile. D'ailleurs, Google a aussi largement profité de l'intégration de son moteur sur l'iPhone, le téléphone d'Apple plébiscité à travers le monde. Le magazine eMarketer estime que l'année dernière, 224 millions de dollars ont été investis dans ce domaine. Mais pour le géant de la Toile, il s'agit avant tout de maintenir sa position. En effet, si des accords ont déjà été signés avec l'opérateur Sprint, AT&T, en pôle position du marché mobile US, projette d'utiliser le moteur de Yahoo!

Par le passé, plusieurs tensions entre Google et Verizon avaient empêché l'aboutissement de discussions similaires. Google avait estimé que la part des revenus publicitaires exigée par l'opérateur était disproportionnée. Aussi, Google avait soutenu les autorités dans leur requête auprès des opérateurs pour qu'ils puissent ouvrir d'avantage leur réseau à plus de services et plus de téléphones. Enfin Verizon n'a jamais montré d'intérêt sur l'adoption d'Android, un système d'exploitation mobile soutenu par Google.

Aucun chiffre n'a été mentionné sur les revenus éventuels d'un tel partenariat. Cependant, cet accord pourrait s'étendre au portail Internet de Verizon ainsi que sur son service de télévision numérique, FiOS TV. Plusieurs compagnies ont déjà formé des partenariats avec Google. En 2005, sur les 52,9 millions de dollars générés par la Fondation Mozilla, 50,51 millions étaient issus des liens sponsorisés Google.

Texte : NetEco

Gmail : Google corrige une faille

Google travaille actuellement à la correction d’une faille qui affecte les comptes Gmail de ses utilisateurs, et qui a été découverte par des experts en sécurité qui l’ont rendue publique.

Cette faille, dévoilée la semaine dernière lors de la conférence sur la sécurité DefCon par le chercheur Mike Perry, permet de tromper le service d’authentification du site et de s’approprier le compte de sa victime.

Un problème de cookie
Gmail n’est décidément pas dans un mois qui lui est propice. Cette fois, il s’agit du système d’identification du service qui est victime d’une faille critique de sécurité, alors que le site sort à peine de quelques soucis importants d’accessibilité sur ses serveurs (voir Gmail : panne du service). Cette faille vient du fait que l’authentification n’est chiffrée qu’à la première connexion de l’utilisateur. Ensuite, un cookie stocké dans le navigateur Web remplace cette identification pendant deux semaines, ou jusqu’à ce que l’utilisateur se déconnecte. Ainsi, ces connexions en utilisant le fameux cookie ne sont pas chiffrées, et Mike Perry a trouvé le moyen de trouver les identifiants d’un internaute à partir de la transmission de ce cookie, du navigateur vers le site.

En réaction, Google travaille sur des solutions fiables pour empêcher une fuite des mots de passe de ses utilisateurs. Ainsi, le site propose désormais une option à confirmer soi-même dans les options, qui consiste à forcer une connexion chiffrée en permanence, rendant impossible le vol d’informations. Un correctif plus efficace devrait être créé par Google, pour qui l’utilisation de connexions chiffrées en permanence représente une charge importante. Selon Mike Perry, Google n’est pas seul à utiliser cette méthode, et des sites comme Amazon ou Facebook pourraient représenter le même danger. Enfin, il est à noter que les entreprises qui ont souscrit à un compte payant ne sont pas affectées par une telle faille.

Texte : Tom's Guide France

jeudi 21 août 2008

Goopilation : les blogs Google traduits en français

« Les équipes de chez Google adorent écrire sur leurs divers produits, et ont créé un blog pour chacun d'eux. Cela fait beaucoup de blogs à lire !

Avec Goopilation (Google Compilation) retrouvez les principaux titres de l'actualité Google, et le tout en français.
»

C'est ainsi qu'est présenté le site Goopilation, créé par Kaayru.

A noter que les billets destinés uniquement aux internautes américains ne sont pas traduits sur Goopilation (services disponibles seulement aux Etats-Unis, politique américaine, etc.).

Je trouve que c'est une excellente initiative.

» Goopilation.com
» Netvibes de Goopilation

Google Dictionnaire mis à jour

Le service Google Dictionnaire, peu connu mais au combien utile, a été légèrement revu et l'équipe a rajouté de nouvelles paires de langues (nécessaires pour la traduction d'une langue à une autre).

Ce service permet donc de trouver la définition et la traduction d'un mot dans la langue de votre choix (parmi celles disponibles, bien sûr).

Pour les francophones, la traduction et la définition des mots reste toujours limitée à Anglais > Français et Français > Anglais, mais pour les anglophones, il est possible de traduire en allemand et en russe (en plus des dizaines d'autres langues déjà possible dont espagnol, coréen, italien, chinois, hindi...).

» Google Dictionnaire.

Source : AccessOWeb

mercredi 13 août 2008

Se connecter à YouTube sous son compte Google ?

Il semblerait que YouTube ait décidé de fusionner les comptes Google et YouTube (comme FlickR et Yahoo! après le rachat). En gros, ça permettra à ceux qui disposent d'un compte Google ET d'un compte YouTube de n'avoir qu'un seul compte pour ces deux sites.

C'est en effet le message que Kaayru de NeoNet France a pu lire en se connectant à son compte YouTube (personnellement, je n'ai pas le message, même en étant sur la version internationale...) :

Image Hosted by ImageShack.us

Les avantages que cela peut offrir sont listés ici :

Image Hosted by ImageShack.us

Comme NeoNet, je m'interroge sur les « services Google que nous intégrons dans YouTube ».

Source : NeoNet

vendredi 8 août 2008

Google se met au service des JO

Que les passionnés de BMX, de badminton, de triathlon, de lancer de disque ou de lutte gréco-romaine se rassurent. Pour que vous ne manquiez rien de ces disciplines de référence des Jeux olympiques, Google a mis les petits plats dans les grands.

Avec un dispositif et des outils qui permettront aux internautes de suivre en temps réel l'évolution des épreuves sur l'écran de leur ordinateur.

Sur iGoogle, la page d'accueil personnalisée de Google, chacun pourra, grâce au gadget « Jeux d'été 2008 », ajouter des flux d'informations pour se tenir informé des dernières médailles.

Certaines applications sont très ludiques. Sur Google Earth, il est possible de visiter virtuellement et en 3D les grands sites olympiques. Sur Google Maps c'est une mise à jour des résultats pays par pays qui sera disponible.

Les JO sur YouTube dans 77 pays
Enfin, Youtube, la plate-forme de vidéo filiale de Google, a obtenu du Comité international olympique le droit de diffuser gratuitement et en exclusivité les images des compétitions dans 77 pays (dont l'Inde et la Corée du Sud) où les droits de vidéo à la demande (VOD) n'ont pas trouvé preneur.

Pour la France Canal+ et France Télévisions ont mis en place des dispositifs en ligne exceptionnels pour suivre au mieux les épreuves. Avec un bémol du côté de la télévision publique : l'obligation de télécharger Silverlight 2.0, l'équivalent Microsoft de Flash, pour pouvoir profiter pleinement des programmes proposés.



Texte : 01net.

Google estime qu'AOL ne vaut plus 20 milliards

Détenteur d'une participation de 5% dans AOL, Google estimerait-il que son investissement dans le portail américain ne vaut plus le milliard de dollars investi en 2006 ? Dans un document transmis jeudi à la Commission américaine des opérations de bourse (Securities and Exchange Commission), la direction du moteur de recherche a indiqué: « notre investissement dans AOL est déprécié ».

En contrepartie de son investissement annoncé en décembre 2005 (une opération qui valorisait AOL 20 milliards de dollars), Google a assuré le renouvellement de son partenariat publicitaire avec la filiale internet de Time Warner. En deux ans la situation d'AOL s'est dégradée et Time Warner a annoncé séparer les activités de sa filiale en deux pôles : fourniture d'accès internet, d'une part, publicité, marketing et services en ligne, d'autre part. De son côté, Google a fait l'acquisition de DoubleClick et s'est engagé dans un partenariat avec Yahoo. Enfin, conformément à l'accord signé avec Time Warner, Google a la possibilité de céder sa part dans AOL depuis le début de l'été 2008.

Dans ces conditions, pour quelle raison Google conserverait-il sa part dans AOL, si ce n'est pour éviter que Microsoft - lui-même actif dans la publicité sur le Net - ne lui coupe l'herbe sous le pied ?

Texte : NetEco

jeudi 7 août 2008

Publicis acquiert la division Performics de Google

Le français Publicis, 4ème groupe mondial de communication, poursuit son expansion numérique à travers l'acquisition de Performics search marketing. Entité de DoubleClick, régie publicitaire acquise par Google, Performics dispose de bureaux à Chicago (siège), San Francisco, New York, Sydney, Singapour, Pékin, Londres, Hambourg.

A travers cette acquisition, dont le montant n'a pas été précisé, Publicis Groupe déclare dans un communiqué du 6 août 2008 « enrichir les fortes capacités de recherche marketing du groupe et renforcer l'offre de Vivaki Nerve Center ». Née en juin, l'entité VivaKi (Digitas, Starcom, MediaVest, ZenithOptimedia, Denuo, PhoneValley, Webformance, Click2Sales, iBase) travaille à l'optimisation des investissements des annonceurs et au développment de Publicis dans le numérique.

Pour Google l'américain, d'ores et déjà partenaire de Publicis Groupe dans le domaine de la publicité par internet, il s'agit d'adapter son offre aux réalités du marché. La finalisation du rachat de DoubleClick en mars dernier a entrainé une réduction de l'effectif de la société acquise et la réorganisation de Performics. Le but ? Vendre l'activité search marketing, mais conserver l'affiliation.

Le rachat de l'entité par Publicis Groupe devrait être finalisé avant la fin du troisième trimestre 2008.

Texte : NetEco

YouTube, diffuseur officiel des JO dans 77 pays

Le site de partage propose de petits reportages dans les pays qui n'ont pas acquis les droits de diffusion des JO. Le détail avec Anthony Zameczkowski, responsable des partenariats de YouTube.

Offrir à la planète entière la « magie des Jeux olympiques ». Et accessoirement couper l'herbe sous le pied des pirates. C'est le sens du partenariat signé entre YouTube et le Comité international olympique (CIO).

Selon cet accord, YouTube peut diffuser gratuitement dans 77 pays les images des compétitions, dès le mercredi 6 août. Cela concerne les pays qui n'ont pas acquis les droits pour la vidéo à la demande (VOD), comme l'Inde, la Corée du Sud, l'Afghanistan ou encore l'Irak. Un filtrage des adresses IP garantit (en théorie) que seuls les internautes concernés auront accès à la chaîne ouverte par YouTube pour la durée des JO.

Le contenu, fourni par le CIO lui-même, comprend des clips de quelques minutes, des reportages, des best of, des images du jour... mais uniquement en différé. [...]

Texte : 01net.

Dix millions de documents indexés dans le nouvelle Google Search Appliance

En décuplant les capacités d'indexation de sa nouvelle appliance, Google vise clairement les grandes entreprises.

Google a décidé de placer la barre plus haut dans la guerre qui se joue autour de l'information en entreprise avec le lancement d’une nouvelle appliance de recherche, capable de traiter jusqu’à 10 millions de documents dans une seule boîte.

Avec sa capacité d’indexation améliorée, la nouvelle mouture de Google Search Appliance (GSA) pourrait permettre au moteur de recherche d’augmenter sa part de marché auprès des grandes entreprises. Jusqu’à présent, le système n’était capable d’indexer que trois millions de documents et avait besoin pour cela d’être déployé dans des clusters.

La nouvelle version contient également toute une série de nouveautés, notamment de meilleures fonctionnalités de personnalisation qui permettent aux administrateurs d’évaluer les résultats en fonction du groupe d’utilisateurs, afin de les rendre plus pertinents.

A noter également l’introduction d’une nouvelle fonction avancée permettant aux administrateurs de biaiser les résultats en fonction du type de métadonnées. Les utilisateurs peuvent à présent recevoir des alertes Google pour des sujets et documents qui les intéressent, exactement à la manière d’une simple recherche sur le Web.

"Nous avons toujours eu à cœur de rendre les choses simples pour les utilisateurs et les services informatiques", explique Robert Whiteside, directeur de la division entreprises chez Google UK. "Cela nous permet de supprimer la complexité pour les [entreprises]."

Selon Robert Whiteside, les nouvelles fonctionnalités avancées de rapports d'activités fournissent aux administrateurs des informations sur les comportements de recherche, ce qui peut s’avérer utile pour affiner les paramètres et améliorer la pertinence des résultats pour les utilisateurs.

Le nouveau produit bénéficie également d’une sécurité renforcée, avec la prise en charge native de Kerberos, qui fournit une authentification unique pour Windows, SharePoint et les systèmes de contenu autres que Windows.

Texte : vnunet.fr

Google lance Insight for search, chasseur de tendance

Google dévoile aujourd’hui son tout nouvel outil, extrêmement pratique, de recherche et d’étude de tendances : Insights for Search.

Plus fort que Google Trends, qui vous permet de comparer la popularité de plusieurs recherches, Google Insights for Search vous propose une manière simple et efficace d’analyser les tendances, mais aussi de les localiser dans l’espace et dans le temps.

Cet outil très malin s’adresse à tout le monde : grand public, blogueurs, annonceurs, responsables marketing, etc., tous ceux qui s’intéressent aux tendances du Web et à leur évolution.

Tout savoir sur votre requête sur une page
Effectuez vos recherches et analyser en un coup d’œil son évolution dans le temps (avec les pics de popularité et leurs légendes) à travers la planète. En effet une tendance au Brésil pourra passer inaperçue en France, et vice-versa. Pour comparer différentes requêtes, séparez-les par une virgule.

En plus, vous trouverez les recherches les plus fréquentes et celles associées, ce qui peut être particulièrement pratique lorsque l’on est responsable d’un site par exemple. Le tout tient en une seule et même page. Pour accéder à des statistiques détaillées, il suffit de se connecter via votre compte Google.

Yossi Matias, le Directeur de l’ingénierie chez Google, estime qu’il s’agit « d’un nouvel outil qui séduira tous ceux qui veulent mieux connaître les sujets d’intérêts sur Internet. »

» Découvrir Google Insights for Search.

Texte : Tom's Guide France

mercredi 6 août 2008

Google lance un site internet gratuit de musique en Chine

Sur un marché chinois gangrené par le piratage, Google a lancé un site internet permettant de télécharger gratuitement des chansons protégées par le droit d'auteur.

Les revenus publicitaires de ce service seront reversés aux fournisseurs de musique.

Le géant américain espère ainsi défier Baidu.com, numéro un du marché chinois de la recherche sur internet. Celui-ci, ainsi que d'autres fournisseurs d'accès chinois, est actuellement poursuivi en justice, accusé de faciliter le téléchargement de titres protégés.

Google a précisé mercredi que son service permettrait dans un premier temps de chercher parmi des dizaines de milliers de chansons chinoises par interprète ou titre et de les télécharger ensuite depuis Top100.cn, un site chinois de musique cofondé par le basketteur vedette Yao Ming.

Les revenus publicitaires tirés de ce service seront partagés entre Top100.cn et ses partenaires musicaux.
"L'industrie d'internet ne doit en aucune façon être dans le camp adverse de l'industrie musicale", a déclaré dans un communiqué le président de Google Chine, Kai-fu Lee. "Google reste intimement persuadé que l'intérêt commun, plus que le monopole, est la clé d'une croissance durable."

Les téléchargements illégaux de musique et de vidéo sont très fréquents en Chine, le premier marché mondial de l'internet en terme d'utilisateurs. La Fédération internationale de l'industrie phonographique estime que plus de 99% des fichiers musicaux distribués en Chine sont piratés.

Si Google domine le marché mondial de la recherche sur internet, la part de ce marché de Baidu en Chine approche les 63%, contre seulement 26% pour Google, selon les chiffres du deuxième trimestre publiés par iResearch.

Texte : 01Men

samedi 2 août 2008

Google Actualités génère 100 millions de $ par an, sans publicités...

Le service d'agrégation de dépêches de Google a beau être nu comme un ver en termes d'encarts publicitaires ou de liens sponsorisés, il rapporte tout de même 100 millions de dollars par an à la firme de Mountain View.

Google News ne vaut pas que des ennuis judiciaires au géant de l'Internet avec la presse belge, et une affaire récemment relancée susceptible de lui en coûter entre 30 et 50 millions d'euros. Non, Google News fait également gagner de l'argent à Google, ce qui du reste peut paraître surprenant pour un service Web n'affichant aucune publicité. Pourtant, Marissa Meyer n'a pas perdu la tête, et la vice-présidente Produits de recherche et services aux utilisateurs chez Google d'affirmer que ce service d'agrégation de dépêches rapporte à sa société la bagatelle de 100 millions de dollars par an.

Google News a une valeur financière
Pas de magie, et comme elle l'a expliqué à l'occasion d'une conférence organisée par le magazine américain Fortune, tout est histoire de trafic généré sur le moteur de recherche Google. Google News pousserait donc les internautes à poursuivre leur quête d'information sur le moteur principal où les requêtes sont " assujetties " à la publicité. Cette formule faisant apparemment recette, Meyer a également indiqué que la monétisation du service de gestion de dossier médical se fera par le même biais. Il sera donc gratuit pour l'utilisateur.

En termes de monétisation, il n'y a finalement qu'avec YouTube que Google semble être tombé sur un os.

Texte : GNT

vendredi 1 août 2008

Google Street View : « la vie privée absolue n'existe pas »

«La vie privée absolue n'existe pas.» La phrase sonne comme un sujet de bac de philo, mais il s'agit de la réponse des avocats de Google à une plainte d'un couple d'américains qui reprochent au géant du Web d'avoir photographié et mis en ligne leur maison.

Le service Street View, disponible sur Google Maps, propose des photographies très précises des villes du monde entier. Ces clichés ne sont pas pris par satellite mais par de curieuses voitures, armées d'un bras automatique, qui sillonent les rues.

Le couple américain réclame au moins 25 000 dollars de dommages et intérêts. Selon eux, leur maison n'aurait jamais du être photographiée car, pour y accéder, il faut passer par une voie privée. Ces photos leur ont causé des «souffrances psychologiques» et diminuent le prix de leur maison, estiment-ils encore.

Même dans le désert

Dans un argumentaire envoyé au tribunal, les avocats de Google repoussent de manière inédite les frontières de la vie privée: «Aujourd'hui, avec les techniques d'imagerie par satellite, même dans le désert, la vie privée absolue n'existe pas. De toute façon, les plaignants ne vivent pas dans le désert et sont loin d'être des ermites.»

Les avocats ajoutent que le couple d'Américains aurait tout simplement pu demander le retrait des photos, comme le permet les Conditions d'utilisations de Google Street View.

Texte : 20Minutes.fr

jeudi 31 juillet 2008

Google va-t-il se lancer dans le capital-risque ?

Le moteur de recherche, qui à l'origine était une start-up, serait sur le point de créer son propre fonds d'investissement afin d'investir dans des jeunes pousses innovantes.

Selon le site du « Wall Street Journal », le groupe Internet Google est sur le point de monter un fonds de capital-risque, afin d'investir dans des start-up innovantes.
Cette structure, toujours selon la même source, devrait être dirigée par le vice-président du développement de l'entreprise américaine, David Drummond, et par Bill Maris, un ami de longue date de l'épouse de Sergey Brin, cofondateur de Google.

Pour l'instant, le moteur de recherche n'a pas confirmé l'information. Ce ne serait pas la première fois qu'un industriel de l'informatique met sur pied ce type de structure : le fondeur Intel, l'équipementier télécoms Motorola et le constructeur de mobiles Nokia disposent chacun de leur propre structure avec respectivement les fonds Intel Capital, Motorola Ventures et Nokia Growth Partners. Plus proches de nous, l'opérateur SFR a monté également son propre fond d'investissement SFR Développement.

Détecter les sociétés innovantes
Ainsi, le moteur de recherche californien, qui fût une start-up à son époque, décide lui aussi de passer de l'autre côté de la barrière et d'aider les jeunes entreprises à la recherche d'argent à se développer. Mais, qu'on se le dise, cela n'est pas une initiative désintéréssée. Ce genre de structure lui permettra de mieux détecter les jeunes pousses disposant d'une technologie à forte valeur ajoutée, sur lesquelles il est susceptible de jeter ensuite son dévolu.

Pour les start-up, laisser rentrer au capital un géant tel que Google ouvre la perspective intéressante de se faire racheter par celui-ci, et de bénéficier de certaines ressources et infrastructures du moteur de recherche lors du développement de l'entreprise. Mais cela peut également représenter une perte d'indépendance non négligeable, un risque que tous les créateurs d'entreprise ne sont pas prêts à prendre.

Texte : 01net.

Omnisio aux mains de Google

Google vient en effet de racheter Omnisio, un service qui permet d'annoter des vidéos sous forme de bulle.

Ce service sera donc intégré à YouTube, bien que récemment un système similaire avait été ajouté à YouTube.

Il n'est plus possible d'utiliser le service sur le site officiel qui nous dit d'aller sur YouTube pour le faire.

Source : AccessOWeb

Mediaset porte plainte contre YouTube Italie

Mediaset, le premier groupe de télévision italien réclame à YouTube 500 millions d'Euros concernant la diffusion sans autorisation de certains de ses programmes.

Le groupe a comptabilisé plus de 4 643 vidéos, soit 325 heures de programmation, diffusées illégalement sur YouTube en une seule journée du mois de juin 2008.

La somme de 500 millions d'euros de dommages et intérêts pourrait être revue à la hausse, Mediaset arguant du fait que « le site de partage de vidéos [lui] aurait fait perdre des centaines de milliers de téléspectateurs et donc des revenus publicitaires. »

Chez YouTube, on assure toujours respecter le droit d'auteurs et traiter "cette question très sérieusement".

Source : Echos Du Net

mardi 29 juillet 2008

Google n'aura pas Digg

Enfin, pour l'instant, car les négociations n'ont pas abouti...

La cause n'est pas vraiment connue mais il semblerait que ce soit en raison des personnalités des responsables des deux entités ou des problèmes technologiques des deux plate-formes ou un désaccord pur et simple sur la proposition.

Source : PC INpact

lundi 28 juillet 2008

La justice italienne s'intéresse à quatre responsables de Google

La justice italienne s'apprête à poursuivre quatre dirigeants de Google au motif que le portail internet a diffusé en 2006 une vidéo montrant un jeune homme atteint de trisomie 21 ridiculisé par un groupe d'adolescents, rapportent vendredi des sources judiciaires.

Les personnes mises en cause sont l'ancien dirigeant de la filiale italienne de Google, un ancien membre du conseil d'administration, un responsable de la politique de confidentialité de Google et celui qui dirigeait Google Video pour l'Europe à l'époque des faits.

Ils auraient manqué à leurs devoirs en n'exerçant pas le contrôle adéquat sur les données diffusées.

Un groupe de défense des personnes atteintes de trisomie 21, Vividown, ainsi que le père de la victime avaient déposé plainte en novembre 2006.

Un porte-parole de Google a indiqué que le groupe allait poursuivre sa coopération avec la justice milanaise, "pour montrer que les employés de Google n'ont aucune implication" dans cette affaire.

Texte : 01men

Et en parlant d'ex-employés de Google, vous devez déjà savoir qu'un nouveau moteur de recherche, nommé Cuil ("Cool"), vient d'être lancé, affichant fièrement les plus de 120 milliards de pages indexées. Le moteur mise sur un affichage par catégorie.

www.cuil.com

samedi 26 juillet 2008

Google recense 1 000 000 000 000 URLs uniques

Juste un petit billet rapide pour une info qui vient d'être publiée sur le blog officiel de Google .

Aujourd'hui, Google indexe 1 000 000 000 000 (mille milliards) d'URLs uniques dans son moteur de recherche. En 1998, il en indexait 26 Millions.

Hormis la croissance exponentielle du Web dans le monde, Google reste tout de même une énorme machine capable de faire le tri dans ces Milliards d'URL afin de nous donner des résultats pertinents dans les recherches effectuées chaque jour.

Et le pire dans tout ça, imaginez un instant le nombre de croisements qu'il y a entre ces milliards de pages.

Et si un jour Google perdait toutes ces données ..... Ce serait un véritable cataclysme :)

Texte : AccessOWeb

jeudi 24 juillet 2008

YouTube doit cesser la diffusion des contenus de Telecinco

YouTube vient d'être sommé par la justice espagnole de faire cesser la diffusion des contenus de la chaîne de télévision Telecinco.

L'affaire dont il est question ici remonte au mois de juin dernier. Telecinco, chaîne de télévision privée espagnole propriété du groupe de médias Mediaset, avait alors déposé une plainte auprès du tribunal de commerce de Madrid à l'encontre de YouTube, célèbre plate-forme de vidéo en ligne appartenant à Google depuis fin 2006, pour la diffusion illégale de ses contenus.

Le juge en charge de l'affaire vient de rendre son verdict. Considérant que YouTube ne peut se retrancher derrière son statut d'hébergeur et laisser la seule responsabilité incomber à ses usagers, il a déclaré celui-ci coupable pour la diffusion de contenus soumis aux droits d'auteur et lui a ordonné de faire en sorte que la diffusion des contenus de Telecinco sans autorisation écrite de la part de la chaîne cesse.

La procédure n'est pas sans rappeler celle engagée par le groupe de médias Viacom aux États-Unis dans le cadre de laquelle celui-ci réclame 1 milliard de dollars à YouTube et dont on attend toujours l'issue.

Source : GNT

Google Maps pour les piétons

Après avoir lancé des itinéraires pour les automobiles sur son site de cartographie, Google se lance aujourd’hui dans les itinéraires pour piétons.

Une fonction qui est déjà présente dans certains services concurrents, et qui fait aujourd’hui son entrée sur le site du géant de la recherche.

Un Google pour les piétons
Un nouveau mode d’utilisation vient de faire son apparition sur le service d’itinéraires de Google Maps : les trajets pour piétons. Celui-ci vient s’ajouter aux automobiles et permet d’alterner entre les deux modes. Il s’agit en revanche d’itinéraires dont la longueur ne doit pas dépasser dix kilomètres.

Actuellement en phase de test, comme l’écrasante majorité des nouveaux services lancés par Google, cette fonction se montre toutefois assez précise et pratique. Les itinéraires semblent du moins optimisés pour un voyage à pied, et vont systématiquement au chemin le plus court. Voilà donc un service pratique, qui devrait prendre tout son sens dans des systèmes embarqués comme l’iPhone d’Apple.

Texte : Tom's Guide France

L'encyclopédie Knol de Google s'ouvre au public

S'attaquer à Wikipédia n'est pas une mince affaire. Site parmi les plus visités de la planète, l'encyclopédie libre, de par son concept, a les défauts de ses qualités, son côté "libre" permettant un essor rapide et une réactivité très grande, mais aussi des modifications par des personnes malintentionnées, ou bien peu rigoureuses.

Google a donc pensé, dès l'année dernière, à proposer une alternative à Wikipédia. Baptisée Knol, cette alternative dispose cependant de nombreuses différences avec la fameuse encyclopédie libre. Web 2.0 oblige, les internautes sont soumis à contribution, non seulement leur implication peut aller au-delà de celle proposée sur Wikipédia (ils peuvent notamment publier de simples conseils), mais de plus, Google supprime le côté collaboratif de son encyclopédie, puisque chaque article a son auteur unique, non anonyme qui plus est. Une différence fondamentale avec Wikipédia donc, qui, selon Google, permettra de multiplier les points de vues sur un même sujet.

Mais les oppositions à Wikipédia ne s'arrêtent pas là. Knol affiche de la publicité, ce qui permet de rétribuer les contributeurs à succès, à l'instar des vidéos stars de YouTube. De quoi pousser les internautes à partager leurs connaissances et rattraper son retard sur l'encyclopédie libre aux plus de 10 millions d'articles et aux dizaines de langues ?

Encore en version bêta, Knol est désormais ouvert à tous. Particulièrement vide à l'heure actuelle, l'encyclopédie made in Google arrivera-t-elle à se faire une place dans le paysage du Web ? Rien n'est moins sûr.

Jimmy Wales, le fondateur de Wikipédia, ne s'inquiétait quoi qu'il en soit pas outre mesure à l'époque : « Google fait beaucoup de choses géniales, mais beaucoup de ces choses géniales ne réussissent pas tant que ça ».

Texte : PC INpact

mercredi 23 juillet 2008

Digg va-t-il tomber dans l'escarcelle de Google ?

La nouvelle se fait de plus en plus importante : Google serait sur le point de racheter Digg pour un montant de 200 millions de dollars.

Digg permet de faire voter les internautes sur un article proposé par d'autres membres. C'est un service très communautaire, fort de 20 millions de membres et qui est lié par un contrat publicitaire avec Microsoft.

Ce rachat pourrait faire l'objet d'une intégration au service Google News.

Néanmoins, quelques questions se posent : Google rachèterait-il ce service uniquement dans le but de contrer l'offensive Microsoft et ainsi de mettre la main sur une manne publicitaire conséquente ?
Google souhaite-t-il éliminer un potentiel concurrent et laissera-t-il "couler" Digg une fois racheté ?
Google souhaite-t-il développer encore plus l'intérêt de ce service ?

Réponses dans les prochaines semaines...

Source : TechCrunch US

mardi 22 juillet 2008

Google rachète un spécialiste de la publicité en Russie

Pour 140 millions de dollars, Google fait tomber dans son escarcelle le spécialiste russe de la publicité contextuelle, ZAO Begun, future ex propriété de Rambler Media.

Le lendemain de l'annonce de ses résultats pour le deuxième trimestre de son exercice en cours, qui, une fois n'est pas coutume, ont déçu les attentes de Wall Street, la firme de Mountain View a annoncé la signature d'un accord avec Rambler Media pour le rachat de ZAO Begun. Coût de l'opération pour ce spécialiste russe de la publicité contextuelle, près de 140 millions de dollars. Ce rachat devrait être finalisé au troisième trimestre 2008.

Google investit en Russie
De son côté, Rambler Media a indiqué détenir actuellement 50,1 % de Begun. La transaction consistera donc dans un premier temps pour le portail Internet russe à racheter les 49,9 % de Begun qui lui manquent à la société Bannatyne, puis de vendre le tout à Google. Sur les 140 millions de dollars, 69,9 millions iront ainsi à Bannatyne.

Avec Begun, Google va pouvoir bénéficier d'un réseau de plus de 40 000 annonceurs pour faire son trou dans le domaine à l'Est, et d'expliquer que cet accord est le signe de son engagement dans l'amélioration du service fourni aux utilisateurs, partenaires et donc annonceurs en Russie. " Cet accord va permettre de meilleurs résultats de recherche, et plus de pertinence dans l'affichage des publicités pour nos utilisateurs russes et annonceurs ", a déclaré le responsable des marchés émergents pour Google.

Texte : GNT

lundi 21 juillet 2008

Gmail et Google Agenda : le hors ligne d'ici 6 semaines ?

Google Gears devrait continuer à faire des siennes en apportant prochainement ses fonctionnalités de travail hors ligne à Gmail et Google Agenda.

Cela fait presque un an que l'on parle d'un logiciel de messagerie dévolu à Gmail. Une version offline du célèbre service de messagerie en ligne de Google qui devrait pointer le bout de son nez à la rentrée de septembre grâce à Gears. Logiciel gratuit et open source, Gears se présente sous la forme d'une extension du navigateur Web, et il a déjà notamment trouvé matière à expression avec la mini suite bureautique Google Documents.

Le offline pour les services Google
Depuis le mois d'avril, et après installation préalable de Gears qui peut être téléchargé à partir de cette adresse, il est en effet possible de profiter de Google Documents en mode hors ligne. Ainsi, après un premier chargement du service, l'utilisateur non connecté peut accéder à ses documents, les modifier pour une synchronisation lors d'une connexion ultérieure. Ce même principe devrait être appliqué prochainement à Gmail et Google Agenda si l'on en croit Google Operating System, se faisant l'écho d'un billet publié par Adrew Fogg qui a ses entrées dans les bureaux de la firme de Mountain View et a pu voir fonctionner ce support offline. Un délai de 6 semaines est annoncé pour une mise en application.

Selon Fogg, Google devrait également ajouter le support SyncML pour les contacts Gmail, ce qui devrait permettre une synchronisation de données avec les appareils mobiles dont probablement l'iPhone 3G.

A noter par ailleurs concernant Gmail, un récent remaniement au niveau de la gestion des contacts avec l'apparition de deux sections distinctes pour les contacts :

  • fréquemment utilisés : les contacts sont ajoutés manuellement
  • suggérés : les contacts sont ajoutés automatiquement
Texte : GNT

Google améliore la gestion des contacts dans Gmail

Google a décidé de revoir la gestion des contacts au sein de son service de courrier électronique Gmail. Par défaut, jusqu’à présent, l’envoi d’un courrier à un contact inscrivait automatiquement l’adresse dudit contact dans le carnet d’adresses. Ce qui peut être potentiellement pratique, mais qui agace d’autres, car le carnet peut se remplir à une vitesse folle.

De nombreux utilisateurs ont demandé à pouvoir mieux choisir quels contacts sont ajoutés dans le carnet d’adresses. De même que Yahoo Mail et Live Mail de Microsoft ne permettent l’auto-complétion que si un contact a été ajouté manuellement, Google propose désormais un contrôle accru sur la base de données des adresses et leur manipulation.

Il y a maintenant deux sections, l’une nommée « My Contacts » et l’autre « Suggested Contacts ». La première correspond aux contacts que l’utilisateur a manuellement sélectionnés, l’autre à ceux qui sont ajoutés automatiquement dès que vous envoyez un courrier à une personne qui n’était pas référencée. Toutefois, il y a quelques subtilités.

Tout d’abord, Gmail compte le nombre de fois où vous envoyez un courrier à un contact donné. À partir de la cinquième fois, le service considère qu’il s’agit d’un contact fréquent et l’ajoute à « My Contacts ». Toutefois, il est possible de bouger les contacts entre les deux sections. De même, il est possible dans les options d’indiquer à Gmail qu’aucun contact ne doit être ajouté automatiquement, pour avoir la pleine maîtrise du sujet.

Texte : PC INpact

vendredi 18 juillet 2008

YouTube se met à la reconnaissance vocale

Google teste actuellement un système de reconnaissance vocale sur son site de partage de vidéos YouTube.

Ce service devrait notamment permettre de transcrire les voix contenues dans les vidéos en texte, dans le but premier d’améliorer la recherche sur ses contenus.

Google écoute ses vidéos
Pour l’instant, Google teste cette fonctionnalité sur les discours des deux candidats à l’élection présidentielle américaine, Barack Obama et John McCain. Il s’agit d’un service qui se présente, pour l’instant, sous la forme d’un widget nommé “Video Search Gadget” à intégrer à iGoogle. Cela permet ainsi d’effectuer une recherche sur une vidéo à partir des mots prononcés dans celle-ci, et par exemple de se rendre au passage précis où le mot en question est prononcé. De la même manière, Google peut également améliorer la recherche générale sur ses vidéos, et ainsi renvoyer des résultats de vidéos dans lesquelles l’expression recherchée est prononcée un certain nombre de fois.

Si cette première utilisation semble intéressante, il est possible d’imaginer plusieurs autres usages de cette fonction. La première qui vient à l’esprit est bien entendu une meilleure accessibilité pour les sourds et les malentendants, qui pourraient ainsi profiter des vidéos plus facilement. Si Google n’a pas encore évoqué cette possibilité, se concentrant pour l’instant uniquement sur les effets de ce service sur la recherche en ligne, celle-ci reste parfaitement envisageable.

Découvrir Video Search Gadget

Texte : Tom's Guide France

Le bénéfice de Google déçoit, l'action baisse

Google annonce une hausse de 35% de son bénéfice net trimestriel, un résultat néanmoins inférieur aux attentes de Wall Street, sanctionné par un net recul de son action dans les transactions hors séance.

Alors que plusieurs grands noms d'internet ont souffert du ralentissement de l'économie américaine, les investisseurs espéraient voir Google échapper à cette tendance et confirmer sa capacité à dépasser le consensus trimestre après trimestre.

"Il est difficile d'applaudir les résultats" a commenté Colin Gillis, analyste de Canaccord Adams. "Cela fait un choc de voir la meilleure entreprise du secteur décevoir les attentes."

Le premier moteur de recherche sur internet du monde a réalisé sur le trimestre avril-juin un bénéfice net de 1,25 milliard de dollars, soit 3,92 dollars par action, contre 925 millions (2,93 dollars/action) un an plus tôt sur la même période.

Hors coût liés aux rémunérations en actions, le groupe affiche un bénéfice de 4,63 dollars par action, inférieur au consensus de Wall Street, qui était de 4,72 dollars.

Le chiffre d'affaires trimestriel a progressé de 39% à 5,37 milliards de dollars, un montant qui correspond exactement au consensus Reuters Estimates. Les estimations des analystes s'échelonnaient de 5,16 à 5,62 milliards.

L'action Google a perdu jusqu'à un peu plus de 10% dans les transactions hors séance après la publication des comptes, avant de se reprendre légèrement et de remonter à 497 dollars environ, contre 533,44 dollars en clôture sur le Nasdaq, soit une baisse de près de 7%.

Le titre a bénéficié des propos d'Eric Schmidt, le directeur général du groupe, assurant que le trafic et le chiffre d'affaires résistaient bien à la dégradation du climat économique.

LES MARGES INQUIÈTENT
Selon les dirigeants de Google, le fait que les résultats n'aient pas atteint le consensus n'est pas lié à l'activité de publicité en ligne ou à la santé de l'économie, mais plutôt à diverses décisions, en matière de gestion de la trésorerie notamment, qui ont fait chuter les "autres revenus" à 57,9 millions de dollars contre 137,1 millions un an plus tôt.

Le directeur financier, George Reyes, a évoqué une moindre rentabilité de la trésorerie ainsi que des coûts liés au rachat du spécialiste de la publicité en ligne DoubleClick.

Google a aussi augmenté ses dépenses de couverture de changes pour prendre en compte le fait qu'il réalise désormais 52% de son chiffre d'affaires hors des Etats-Unis, contre 48% il y a un an.

Pour Jeffrey Lindsay, analyste de Sanford C. Bernstein "dans ce secteur, si vous ne publiez pas des résultats explosifs, les investisseurs sont très sceptiques. Il semble qu'ils aient battu le consensus sur le chiffre d'affaires mais le problème tient aux marges: elles sont un peu décevantes. C'est pourquoi les profits sont bas."

Depuis son introduction en Bourse en août 2004, Google a très régulièrement publié un chiffre d'affaires supérieur d'environ 2% au consensus du marché selon les données de Reuters Estimates.

Cette capacité à dépasser les attentes a nourri la forte hausse de son cours de Bourse. Mais elle a pour revers de susciter la déception lorsque les résultats ne sont "que" conformes aux attentes.

Texte : 01Men

mardi 15 juillet 2008

YouTube : Viacom renonce aux historiques de connexion

Dans l'action en justice à 1 milliard de dollars intentée par Viacom à l'encontre de YouTube, les plaignants renoncent aux historiques de connexion des utilisateurs.

Depuis mars 2007, le site de partage de vidéos en ligne de Google est en sérieuse bisbille judiciaire avec le groupe de médias Viacom qui lui réclame la bagatelle de 1 milliard de dollars à titre de dommages et intérêts, pour avoir diffusé illégalement plus de 150 000 vidéos soumises à des droits d'auteur, à l'instar d'épisodes de la série animée South Park par exemple. A cause de cette affaire, YouTube n'a pas pu nouer de partenariat avec Viacom comme c'est le cas avec NBC Universal et CBS.

Non seulement Viacom continue d'accuser Google et YouTube de ne presque rien faire pour empêcher la mise en ligne de copies illicites de programmes TV et de films, ce qui constituerait son fond de commerce, mais de réclamer les historiques de connexion des utilisateurs afin d'étayer ses dires. Une requête à laquelle a récemment accédé un juge d'un tribunal de San Franciso, provoquant un tollé général de la part des ardents défenseurs de la vie privée, et ce malgré l'obligation de Viacom de ne pas procéder à des identifications via les adresses IP.

Dans un billet publié hier sur le blog officiel de YouTube, l'équipe du populaire site de partage informe ses utilisateurs que les plaignants, à savoir Viacom mais aussi MTV et d'autres, ont finalement renoncé à ce droit. Sans doute pour leur plus grand soulagement, YouTube ne fournira donc pas les historiques de connexion, et les plaignants de renoncer ainsi à 4 To de données.

YouTube dit se battre pour ses utilisateurs
Rappelant que la Cour s'est rangée de son côté en ce qui concerne l'accès à sa technologie de recherche et d'identification de vidéos, YouTube promet de continuer à informer ses utilisateurs des suites de la plainte, réaffirmant son engagement dans la protection de la vie privée. " Nous allons continuer à nous battre pour votre droit à partager et diffuser votre travail sur YouTube. "

Concernant la plainte de Viacom, Google avait déclaré au mois de mai qu'elle représentait une " menace pour la manière dont des centaines de millions de personnes échangent légitimement de l'information et s'expriment. "

Texte : GNT